Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Jusqu'en août 2012, seule la culture des raisins était certifiée en culture biologique (exempte de produits de synthèse) à l'issue d'une période de conversion de 3 ans. Depuis, donc à partir du millésime 2012, la teneur des vins en dioxyde de soufre est également contrôlée pour l'obtention du label européen .
Seuls les vins certifiés bio et affichant le label européen sur leur étiquette sont signalés comme tel sur notre site.
D'autres labels existent (Demeter, Biodyvin, Nature et Progrès...). Ceux-ci ont des cahiers des charges plus exigeants que celui de la culture biologique mais ne sont pas reconnus par les organismes publics.
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Bellegrave 2022 est un Pomerol puissant et vibrant. Graphite, cuir neuf, fruits noirs et lavande se déploient dans le verre. Le 2022 a beaucoup d'énergie pour correspondre à son volume et à son ampleur. Même avec toute son intensité évidente. Bellegrave est si expressif. L'assemblage de 75 % de merlot et de 25 % de cabernet franc fonctionne bien. »
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 91/100 « Bellegrave 2020 est bien défini et équilibré au nez, avec des arômes de mûre et de brioche, et des notes de truffe qui se développent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière marquée par le graphite. Très solide et structuré, presque comme un "mini-Lafleur", avec une finale bien définie et persistante qui présente une splendide minéralité. Très fin. »
En cessant d'utiliser tout intrant chimique dans son vignoble dès 1988, Claire Laval a été l'un des précurseurs bordelais de la culture biologique. Son beau terroir de 7 ha proche de l'église de Pomerol donne des vins francs, droits, assez rapidement séducteurs mais pour autant capables de très bien vieillir. Des Pomerol authentiques, à prix accueillant.
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Fonroque 2022 est cossu, sensuel et assez profond. Les tannins soyeux enveloppent un noyau de cerise noire et de prune, de cuir neuf, d'épices, de menthol et d'espresso. Ce Saint-Émilion juteux et ouvert d'Alain Moueix est un gagnant. »
J.M Quarin (Février 2025) : 92/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, pur, subtil, au fruité frais. Délicat en entrée de bouche, délicat au milieu, avec du goût et un toucher raffiné, le vin se développe aromatique, en rebondissant, séveux, vers une longue finale à la tannicité noble. C'est très bon. Le meilleur jamais fait avec le 2020. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 91/100 « Un vin en demi-corps aux belles tonalités d'épices et de fruits rouges acidulés. On y sent une réelle sincérité d’expression, et on perçoit la maturité al dente des raisins dans cette finale ferme, encore serrée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 92/100 « Fonroque 2021 est un vin exotique et séduisant. Profond et intensément savoureux, le 2021 offre un mélange frappant de fruits de merlot et d'arômes de cabernet franc. Des fleurs écrasées, de la menthe, des épices, des pétales de rose et des fruits rouges brillants traversent ce Saint-Emilion soyeux et très expressif. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Septembre 2023) : 93/100 « Couleur sombre et densité caractérisent ce 2020. Un vin à l'approche austère, tant au nez qu'en bouche. Bien trop jeune manifestement, sa masse a besoin de s'affiner en bouteille. Un Saint-Emilion à la carrure impressionnante, dont l'élevage s'intègre peu à peu. A n'ouvrir qu'à partir de 2027. »
Jean-Marc Quarin (Mars 2023) : 94/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique et profond. Nuances de fruits frais. Touche d'agrumes. Moelleux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, subtil et même complexe à l'évolution, ce vin gras et complet évolue long, avec une grâce inédite dans son toucher. C'est superbe ! »
Vinous (N. Martin - Décembre 2022) : 90/100 « J'ai suggéré/espéré que le Fonroque 2020 montrerait plus de finesse au moment de la mise en bouteille, et il semble avoir entendu mes paroles. Avec des arômes de mûre, de brioche et de léger sous-bois au nez, ce vin fait preuve d'un plus grand raffinement. La bouche est moyennement corsée avec des tanins légèrement anguleux, frais et salins, avec une pointe de poivre noir en finale. D'un style un peu médocain et d'une bonne longueur, il devrait bien vieillir en bouteille. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce vin qui peut passer inaperçu lors de dégustation horizontales demeure pourtant un incontournable dans les grands millésimes. Sa couleur très dense déroute. En bouche, ce cru nous a habitués à plus de finesse. Ce millésime de puissance s'adoucit soudain dans une finale à la texture soyeuse, teintée d'épices douces et de fruits à noyau (prune, cerise). »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « Le Fonroque 2019 est un vin riche et hédoniste qui déborde de cerises rouges surmûries, de chocolat et d'épices douces. Racé et voluptueux, c'est l'un des vins les plus complets de l'année. Ce n'est pas un vin timide, loin de là. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 95/100 « Certifié en biodynamie, Fonroque livre un vin qui ne force jamais sa nature et respecte les équilibres. Il possède un fruit et une chair veloutée qui continuent à s'épanouir dans le temps. Jeune, 2018 se montre d'une grande fraîcheur aux accents minéraux. Mais c'est avec l'âge qu'il s'exprime au mieux l'empreinte de son terroir. Les millésimes chauds sont remarquables. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 90/100 « Le Fonroque 2018, que j'ai carafé une heure, a conservé son bouquet très opulent, assez ostentatoire, de cerise noire, de figue, de cassis et des touches d'olive noire. La bouche est moyennement corsée et confite à l'entrée. Il est très exubérant, avec des fruits rouges infusés d'orange sanguine, et se concentre davantage vers la fin de bouche bien délimitée. J'aurais aimé que les arômes soient un peu moins prononcés, mais sinon, c'est un bon Saint-Émilion. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Petit Gravet Aîné 2022 est un vin magnifique et exotique. Kirsh, fleurs séchées, moka et cuir neuf s'ouvrent. Mûr, charnu et étagé, le 2022 est définitivement du côté le plus mûr. De texture crémeuse et opulente, il a manifestement besoin de temps pour s'assagir après la mise en bouteille. Aujourd'hui, j'admire sa pureté. Il s'agit d'un vin sauvage qui ne manquera pas d'entraîner les lecteurs dans une véritable chevauchée au cours des deux prochaines décennies, voire plus. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et vive. Intensité normale. Nez très aromatique, fruité, frais et épicé. Délicat en entrée de bouche, bien fruité au milieu, avec un corps plus élancé que large, le vin évolue ascendant en finale. Il s'y montre légèrement ferme, mais sait rester parfumé. »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 92/100 « Le Petit Gravet Ainé 2021 s'est bien présenté dès sa sortie de barrique. Dominé par 90 % de cabernet franc, il présente un bouquet frais et salin qui parvient à atteindre une maturité phénolique. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins croquants à l'attaque qui se transforment en un milieu de bouche à la texture crémeuse et une finale très cohérente, teintée de poivre blanc et de garrigue. Excellent ! »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Petit Gravet Aîné 2018 éblouit dès la sortie de la bouteille. La signature du cabernet franc est au premier plan dans ce saint-émilion qui affiche une magnifique présence aromatique ainsi que de la profondeur. Pétale de rose, moka, kirsh, menthol et sauge sont quelques-unes des nombreuses notes qui s'ouvrent avec un peu d'amabilité. Quelques années en bouteille feront des merveilles pour les tanins. Outre sa beauté saisissante, le Petit Gravet Aîné est l'un des vins les plus uniques et distinctifs de Bordeaux, le genre de vin qui reste gravé dans la mémoire. En un mot : magnifique ! »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
À l'écart des modes et volontairement des classements, Coutet est une propriété unique en son genre : un vignoble de 13 ha (uniquement complanté en sélection massale autochtone, vieilles vignes jusqu'à 100 ans) qui n'a jamais connu de produits phytosanitaires, appartenant depuis le XVIIIème siècle à la même famille (David-Beaulieu, 14ème génération). Entouré de voisins prestigieux (entre Angélus, Grand-Mayne et les deux Beauséjour), Coutet produit sans artifice des vins fins, charnus et profonds sans être massifs, finement extraits sans sécheresse ni dureté tannique. Un cru authentique et particulièrement attachant dans sa démarche familiale et écocitoyenne.
À l'écart des modes et volontairement des classements, Coutet est une propriété unique en son genre : un vignoble de 13 ha (uniquement complanté en sélection massale autochtone, vieilles vignes jusqu'à 100 ans) qui n'a jamais connu de produits phytosanitaires, appartenant depuis le XVIIIème siècle à la même famille (David-Beaulieu, 14ème génération). Entouré de voisins prestigieux (entre Angélus, Grand-Mayne et les deux Beauséjour), Coutet produit sans artifice des vins fins, charnus et profonds sans être massifs, finement extraits sans sécheresse ni dureté tannique. Un cru authentique et particulièrement attachant dans sa démarche familiale et écocitoyenne.
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Clos de l'Oratoire 2022 est un vin magnifique et sensuel. En même temps, c'est un véritable concentré de puissance. Le 2022 est un assemblage de 80% de merlot et de 20% de cabernet franc, donc un peu plus de franc que ce qui était autrefois la norme. Cette caractéristique, associée à des vendanges plus précoces, a permis d'accroître l'intensité aromatique et la structure du vin. Des notes de pétale de rose, d'herbes séchées, d'écorce d'orange, de menthe et de sauge s'harmonisent avec un noyau de fruits rouges foncés. Donnez-lui du temps. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clos de l'Oratoire 2021 est un vin magnifique et dynamique. Énergique et brillant, le 2021 grésille de tension. Des acides vifs et des veines de tannins donnent au vin sa personnalité vibrante. Les arômes de fruits rouges et violacés, de lavande, de pétale de rose, de menthe et de moka abondent. C'est un très, très beau Clos de l'Oratoire. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
La millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 92/100 « Clos de l'Oratoire 2020 présente un bouquet vif et pur de mûres et de framboises mêlées à des notes de cèdre et de pot-pourri. Une dose judicieuse de chêne neuf ajoute à la complexité. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et des fruits rouges infusés de graphite, avec une finale linéaire, fraîche et presque rive gauche. Excellent. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 90/100 « Doté d'une générosité naturelle, le vin est construit sur une matière enrobée charmeuse. C'est un vin bien calibré, mené avec une certaine précision, à l'enveloppe séduisante, jusqu'à une allonge qui assume la richesse de ce millésime 2020. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Clos Saint-Julien 2022 est un coup d'éclat de la propriétaire Catherine Papon Nouvel. Paradoxalement, il semble avoir mieux supporté les fortes chaleurs et la sécheresse que le Petit Gravet Aîné, même s'il y a plus de merlot ici. Il faut dire que cette minuscule parcelle est perchée sur le célèbre plateau calcaire de Saint-Émilion. Des arômes de fruits noirs d'encre, de chocolat, de réglisse, de lavande et de menthol tapissent le palais. La finale longue et soutenue est de toute beauté. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, fruité, subtil, profond et particulièrement frais, tout en étant bien mûr. Minutieux en entrée de bouche, très, très savoureux au milieu, avec de la classe dans le toucher et un déroulé ascendant, le vin monte, monte, long, ample, parfumé et même complexe. Grande persistance séveuse. C'est délicieux et d'une grande précision. Une qualité d'expression qui laisse penser qu'une marche supérieure est accessible. Bravo et à suivre ! »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2024) : 94/100 « Clos Saint-Julien 2021 est sublime. Délicat, soyeux et merveilleusement nuancé, le Clos Saint-Julien est exquis dans ce millésime. avande, prune, épices, menthol, réglisse et moka ne sont que quelques-unes des nombreuses nuances qui traversent ce Saint-Émilion exceptionnellement raffiné et subtil. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 96/100 « Le Clos Saint-Julien 2020 est une beauté magnifique et somptueuse. Crème de cassis, myrtille, lavande, réglisse et épices infusent le 2020 avec des tonnes de nuances à la hauteur de sa personnalité flamboyante. Le Clis Saint-Julien est un Saint-Émilion capiteux et voluptueux qui livre vraiment la marchandise. Superbe. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 94/100 « Le Clos Saint-Julien 2019 est tout aussi fabuleux en bouteille qu'il l'était en barrique. Dense et explosif au toucher, le 2019 capture le côté le plus opulent de l'année dans un style grandiose. Des arômes de fruits bleus foncés et violacés, de lavande, de clou de girofle, de menthol et de réglisse enveloppent le palais, magnifiquement encadré par des contours doux et somptueux. La propriétaire Catherine Papon-Nouvel a une fois de plus produit un vin captivant à partir de son petit vignoble de 1,2 hectare situé sur le plateau calcaire de Saint-Émilion. »
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre, intense et pourpre. Nez moyennement aromatique, fruité et truffé. Charnu à l'attaque, charnu en milieu de bouche, le vin fond sur le palais, juteux et plus uni que jamais dans son déroulé. Voilà qui lui donne une belle allure. Bonne longueur sans angle tannique. »
Vinous (N. Martin - février 2025 ) : 94/100 « Le Canon La Gaffelière 2022, de l'écurie Von Neipperg, a eu besoin de temps pour s'ouvrir dans le verre. D'abord discret, il offre des arômes de fruits rouges, de sous-bois et de calcaire qui gagnent en cohésion à l'aération. La bouche est fraîche et vibrante, avec des tanins crayeux et une acidité argentée. Il est tendu et linéaire, mais avec une grande quantité de fruits rouges acidulés qui animent la finale. Ce Canon La Gaffelière de style classique et légèrement poivré devrait vieillir en bouteille. Il est excellent. »
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Le charme discret de ce vin aux tanins crémeux est enthousiasmant. Le cru se révèle au mieux de sa forme dans les années sèches et chaudes grâce à la composition de ses argiles. L'exposition sud se ressent dans la profondeur du vin. Son fruit noir très prononcé présente une chair densifiée par un tanin qui reste frais grâce aux massales de cabernet franc. Encore sous l'emprise du bois, sa matière, riche et enrobée à la trame élégante, est parfumée d'une pointe fumée. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93/100 « Canon-La-Gaffelière 2019 est assez percutant et gras au nez. La mûre et la framboise, le cèdre et la menthe émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins arrondis, assez pelucheux mais cohérents, se déployant vers la finale veloutée avec un pinceau de poivre blanc en fin de bouche. L'un des vins de Saint-Emilion les plus accessibles de ce millésime ».
Devenu premier grand cru classé en 2012, juste récompense de 20 ans d'effort de M. Neipperg (Canon-La Gaffelière, Clos de l'Oratoire) sur ce petit vignoble de 4,5 ha jouxtant Troplong-Mondot. Un très grand Saint-Émilion, charnu, intense et pénétrant, mais à la production confidentielle.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Un 2021 stylisé et d’une grande élégance. Il conjugue la race du terroir, la fraîcheur du millésime et la patte séductrice du vinificateur. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 95/100 « La Mondotte 2021 est une beauté dense et puissante, avec des profondeurs de cerise noire, de prune, de gravier, de terre brûlée, de cuir, de lavande et d'encens. En 2021, la Mondotte est assez savoureuse et sombre, un style avec de la fraîcheur et moins d'opulence que la plupart des années. C'est aussi un vin qui a besoin de temps. J'imagine que le 2021 sera toujours un saint-émilion assez sombre. »
Devenu premier grand cru classé en 2012, juste récompense de 20 ans d'effort de M. Neipperg (Canon-La Gaffelière, Clos de l'Oratoire) sur ce petit vignoble de 4,5 ha jouxtant Troplong-Mondot. Un très grand Saint-Émilion, charnu, intense et pénétrant, mais à la production confidentielle.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « La Mondotte 2016 est ouvert et généreux sur un nez intense de cerise noire, de mûre de Boysen, de tabac et de cèdre. A l'aération, il s'affine et perd de sa fougue initiale. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, un fin perlage d'acidité et beaucoup de somptuosité, bien que je la trouve un peu sèche et abrupte en finale, où je recherche plus de persistance. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
La millésime 2022 dans la presse :
Bettane+Desseauve (Guide 2024) « Ce domaine continue de nous régaler avec des cuvées d’une concentration et d’une densité sans peu d’équivalents dans le secteur. Issu d’un terroir très particulier, le Hauterivien, le petit-chablis est sans doute le meilleur de l’appellation. »
La Revue du Vin de France (juillet 2024) : 90/100 « Si l'iode marque fortement le premier nez, l'expression aromatique d'un fruit bien mûr (pêche blanche) n'est pas en reste. Cela se traduit par une matière volumineuse avec la sensation d'un fruit sucré. Gourmand et salin. »