Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Été chaud, vendanges sous le soleil, parfait état sanitaire des raisins, 2009 est à Bordeaux un des plus grands millésimes hédonistes, dans la lignée de 1989, 1982, 1959 ou 1947. Sur les deux rives, les rouges sont éblouissants avec une douceur et un moelleux diablement séducteurs.
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise.
Goûté en février 2020 par la Revue du Vin de France, le millésime 2010 a obtenu 19/20 « il s'impose comme une réussite majeure, un vin tout en intensité mais surtout en équilibre ».
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
La Revue du Vin de France a noté 16/20 le 2004 (regoûté en 2014) « rond, très épanoui, fruit plein et dense, élevage indicible » et 18/20 le 2017 « tout le raffinement du cru se retrouve dans cette bouteille d’une admirable définition et d’un équilibre très juste ».
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Appartenant à la famille Boivert depuis 1764 (la propriétaire actuelle, Hélène Boivert, représente la 9ème génération), Les Ormes Sorbet produit avec application un Médoc des plus classiques, avec un encépagement axé sur le cabernet-sauvignon. Parfois revêche dans les années moins ensoleillées, Les Ormes Sorbet a en 2009 produit un vin fringant, vif, avec une excellente extraction de tanins fins. Belle garde assurée.
En isolant 15 ha de ses meilleures parcelles, M. Guyon, propriétaire de Rollan de By, a créé Haut-Condissas, cuvée de prestige pour se mesurer aux grands crus classés voisins du Haut-Médoc. Dans un style riche, puissant et concentré, Haut-Condissas doit être attendu en bouteille une bonne dizaine d'années pour révéler sa réelle finesse et sa grande complexité. Réservé aux amateurs patients mais le jeu en vaut la chandelle ! Pour M. Bettane « Haut-Condissas est l'archétype du super-bordeaux ».
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Tenu par M. Guillemet tout à la fois propriétaire, ingénieur agronome et œnologue. Marqué en vin jeune par un boisé assez présent, Boyd-Cantenac offre après une dizaine d'années toutes les qualités d'un Margaux délicieux et bien défini.
Rauzan-Gassies, fort d’un des meilleurs terroirs de l’appellation, propose des vins dans l’esprit des Margaux, fins et délicats.
Plus petit cru classé de Margaux (8 ha), Ferrière est un Margaux traditionnel, franc et plaisant, moyennement puissant mais parfaitement équilibré. Sa capacité au vieillissement est indéniable. Même propriétaire que Haut-Bages-Libéral. En conversion bio depuis le millésime 2012, certifié à partir du millésime 2015, et maintenant dans le palmarès des 25 meilleurs producteurs français pour le guide Bettane&Desseauve 2020. Bravo !
En 2000, Malescot Saint-Exupéry s'est réveillé sous la houlette de Michel Rolland. Depuis, dans un style généreux et séveux, très étoffé pour un Margaux, il ne cesse de se distinguer. Comme l'a écrit la Revue du Vin de France « En 10 ans, c'est le cru qui, parmi les Margaux, a le plus progressé ».
Exceptionnel 2009, regoûté dix ans après par la Revue du Vin de France et noté 18/20 « En pleine forme, énergique, dense et raffiné à la fois. Il ira loin ».
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance qui force le respect !
Toujours noir d’encre, toujours délicieusement gras et suave, toujours St-Julien et surtout toujours régulier. Supervisé par M. Derenoncourt à partir de 2009, Talbot a gagné en intensité et en précision aromatique.
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux.
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux.
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Les jeunes vignes de Latour étant réservées au simple ‘Pauillac’ du domaine, le second vin, Les Forts de Latour, peut être qualifié de grand vin à part entière, issu des parcelles extérieures à l'enclos du château Latour.
Noté 91/100 par Neal Martin (Vinous) en mars 2018 « La bouche est nette et fraîche avec des tanins très fins, presque nerveux. La précision est ici indéniable, un Les Forts de Latour tendu qui comme beaucoup de 2012 s'est épanoui lors de son élevage en bouteille. Une touche de menthe caractéristique de Pauillac apparaît en fin de bouche. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Second vin de Nénin. Une belle matière, avec un élevage bien maîtrisé : voilà une excellente introduction, d'un prix raisonnable, à l'univers des Pomerol.
Toujours de haut niveau pour un prix raisonnable (à Pomerol), les vins de Gazin, moyennement corsés et marqués par la truffe, sont l'archétype de l'appellation.
Délicatement parfumé (bouquet aromatique toujours très floral, violette et pivoine en tête) et d'une élégante suavité quel que soit le millésime, La Conseillante occupe une place à part au sein des plus grands Pomerol, peut-être le plus attachant d'entre eux. Sa finesse et sa texture supérieurement sensuelle et raffinée ne sont pas sans évoquer les grands crus de la Côte de Nuits (côté Vosne-Romanée). Toutefois, derrière l'apparente amabilité de La Conseillante se cache un vin de belle énergie et doté d'une excellente aptitude à la garde. Comme l'a écrit A. Galloni (Vinous) pour le millésime 2018 (noté 98/100) « It is, in a word : dynamite ! ».
Vieux Château Certan est certainement, avec une proportion importante de cabernet franc (30% en moyenne), le cru de Pomerol le plus classique, ferme et distingué. Il n’a pas le moelleux et le charme immédiat d’autres grands Pomerol, mais tient toujours toutes ces promesses au vieillissement. Très grande classe !