Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
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Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Voisin de Palmer et 3ème grand cru classé comme lui, Issan réalise des vins nettement différents, plus droits et croquants. Depuis 2004, les vins d'Issan se sont étoffés, ont pris de l'ampleur et du corps sans perdre en élégance ni renier leurs origines margalaises.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le 2020 est évidemment plus concentré et profond, mais lui aussi doté d'un charme indéniable, avec une très belle qualité de tanins. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93/100 « Issan 2020 présente un magnifique bouquet floral et parfumé, avec des notes de baies rouges, de pétale de rose et de violette. La bouche est mi-corsée, très concentrée et linéaire, avec des tanins fins. Elle manque peut-être d'un peu plus de densité en fin de bouche. L'arrière-goût est légèrement amer, mais cela ne fait qu'ajouter de la tension et du nerf. Il est délicieux. »
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 96/100 « Très classique et fort bien tramé, avec un admirable volume et toute l'élégance qu'on attend d'un margaux. »
Voisin de Palmer et 3ème grand cru classé comme lui, Issan réalise des vins nettement différents, plus droits et croquants. Depuis 2004, les vins d'Issan se sont étoffés, ont pris de l'ampleur et du corps sans perdre en élégance ni renier leurs origines margalaises.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2020) : 93/100 « Délicat et moelleux dès l’entrée en bouche, ravissant au milieu, finement pulpeux et aromatique, le vin glisse en finale savoureux et long, sur une tannicité au grain fin. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 94/100 « Issan 2016 présente un bouquet bien défini d'arômes de mûre, de violette, de pétale de rose et de léger sous-bois, affichant une belle élévation et une grande intensité. La bouche moyennement corsée offre des tanins au grain fin et une fine perle d'acidité. Frais et vibrant, avec une finale très harmonieuse, élégante et persistante. Excellent. »
Voisin de Palmer et 3ème grand cru classé comme lui, Issan réalise des vins nettement différents, plus droits et croquants. Depuis 2004, les vins d'Issan se sont étoffés, ont pris de l'ampleur et du corps sans perdre en élégance ni renier leurs origines margalaises.
Le millésime 2015 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 95/100 « Beau rouge sombre, intense. Nez très aromatique, fin, fruité, pur, mûr. Minutieux en entrée de bouche, particulièrement savoureux au milieu, avec un port gracieux, le vin fond au palais, juteux, gras, long et même profond. Bravo ! »
Vinous (N. Martin - mars 2021) : 94/100 « Le Château d'Issan 2015 présente un bouquet intense, encore plus que le 2010 lorsqu'on le juxtapose, avec de multiples couches de fruits noirs, de myrtilles, de légères senteurs marines et des notes de bruyère sauvage que je n'avais pas remarquées il y a trois ans. La bouche est magnifiquement équilibrée avec des tanins très souples et légers. Il y a plus de fruits rouges que dans le 2010, avec un peu plus de sapidité. En fait, j'ai l'impression que, sur cette base, le d'Issan pourrait finalement l'emporter. Ce vin est très élégant et harmonieux, avec une finale presque pixelisée. »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 97/100 « Couleur sombre, pourpre, intense et belle. Nez très aromatique, au fruité mûr et subtil. Ensemble complexe. Minutieux en entrée de bouche, très, très aromatique au milieu, avec de la classe dans le toucher et beaucoup de goût, le vin évolue juteux, long, savoureux, sur un corps fondant. C'est superbe et surtout impossible à cracher. »
Vinous (A. Galloni - février 2019) : 97/100 « Le Brane-Cantenac 2019 est sauvage et exotique dès la première dégustation. Les arômes à eux seuls sont éblouissants. La cerise noire surmûrie, la prune, les épices, le tabac, le cuir neuf, le menthol et la cannelle se déchaînent dans ce Margaux flamboyant. Le 2019 est radieux et généreux, tout en conservant une structure très classique. La précision est tout simplement irréelle. En 2019, le Brane-Cantenac fait tourner les têtes. C'est un type de vin qui abonde à Bordeaux, un vin qui offre une qualité extraordinaire et une valeur relative. »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 96/100 « Couleur sombre, d'intensité moyenne et légèrement évoluée. Nez très aromatique, fruité et crémeux. Moelleux en entrée de bouche, savoureux au milieu, avec de la classe dans le toucher, le vin fond au palais, profond, délicat, tendu et tendre à la fois. Très grande persistance aromatique, au grain fin. C'est superbe ! »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 96/100 « Le Brane-Cantenac 2016 a le vent en poupe ces derniers temps, sous l'œil attentif d'Henri Lurton. Ce dernier millésime mis en bouteille est superbe. Le bouquet divin et pur de mûre et de myrtille développe des touches de graphite dans le verre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins, une texture soyeuse et un superbe cordon d'acidité. Ce n'est pas un Brane-Cantenac puissant, et il est peut-être moins austère que je ne le pensais en primeur, mais il devrait se boire magnifiquement au cours des trois prochaines décennies. Si vous avez un penchant pour les bordeaux traditionnels, vous ne trouverez pas mieux. »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Le millésime 2015 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 97/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité pur, mûr et suave. Ample à l'attaque, moelleux en milieu de bouche, avec de la classe dans le toucher et une très belle ascension entre le milieu et la finale, le vin évolue long, réglissé et profond. C'est superbe et la bonne expression de ce millésime vis-à-vis de la veille. »
Vinous (A. Galloni - février 2018) : 96/100 « Le Brane-Cantenac 2015 est puissant, structuré et explosif au toucher. Un vin profond et résonnant, le 2015 se targue d'une maturité hors norme alliée à une structure formidable et à un poids tannique. J'imagine que le 2015 aura besoin d'un certain nombre d'années pour devenir approchable et plus que cela pour être à son meilleur. Les saveurs de fruits noirs à noyau, de fumée, de tabac, d'épices et de cuir sont très puissantes, mais c'est l'équilibre du vin qui le place parmi l'élite de la rive gauche en 2015. Le Brane-Cantenac est une véritable bombe de plaisir. J'ai hâte de le déguster avec un peu de vieillissement en bouteille. »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Le Brane-Cantenac 2014 présente un bouquet franc et opulent de fruits noirs éclatants, avec des touches de jus de viande, de menthe et de pot-pourri. Il s'agit de l'un des arômes les plus complexes de la cuvée Margaux. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, légèrement épicée avec une pointe de poivre noir. Elle se développe en bouche pour aboutir à une finale structurée et impressionnante. Ce vin devrait bien vieillir en bouteille, il est splendide et constitue l'une des meilleures valeurs de ce millésime. »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Re-dégusté 10 ans après par la Revue du Vin de France, il est noté 18/20 « très séduisant, avec une bouche intense, toujours marquée par des saveurs de fruits frais ».
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 93/100 « Brane-Cantenac 2010 est cohérent avec les notes précédentes, même si j'ai observé un parfum de poivron accentué au nez. La bouche est très bien équilibrée, typiquement « classique » dans le style avec des tanins assez rigides indiquant qu'il a besoin de quelques années supplémentaires en bouteille. »
J-M Quarin (septembre 2023) : 95/100 « Couleur sombre, intense, pourpre, belle et légèrement évoluée. Nez très aromatique, fin, au fruité pur, mûr, évoluant complexe et noble à l'agitation du verre. Touche toastée. Pulpeux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, avec de la classe dans le toucher, le vin grandit en finale, fin, long, tendre et savoureux. Néanmoins, il conserve une touche un brin vive. (Cabernet franc ?) »
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Un terroir exceptionnel classé en 1855 en tête des seconds crus classés (avec Mouton-Rothschild). Le classicisme à l'état pur, un Margaux exemplaire et certainement le cru classé dont le style est le plus proche de celui du Château Margaux. Propriété Chanel (comme Canon).
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93+/100 « Le Rauzan-Ségla 2019 est revêche et en retrait au nez malgré l'aération. Les fruits noirs graveleux, le sous-bois et les touches d'algues émergent avec le temps dans le verre. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, charnue et lisse, une pincée de poivre blanc et de cèdre vers la finale décortiquée. C'est une bouteille qui a désespérément besoin de plus d'aération pour montrer ses capacités - un vin à garder longtemps en cave. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 97/100 « Encore une splendide réussite pour ce cru. A la matière intense et très civilisée, il tombe en bouche avec évidence et grâce, telle une robe de haute couture. Une grande incarnation de margaux à son sommet. »
J-M Quarin (mars 2022) : 96/100 « Délicat en entrée de bouche, très aromatique au milieu, complexe et savoureux, le vin prend du goût entre le milieu et la finale et s'étire, offrant du fruit et des nuances florales. Ensemble juteux, profond, à la trame tannique un brin austère derrière laquelle reviennent de multiples arômes. Du grand vin racé. Bravo ! »
Un terroir exceptionnel classé en 1855 en tête des seconds crus classés (avec Mouton-Rothschild). Le classicisme à l'état pur, un Margaux exemplaire et certainement le cru classé dont le style est le plus proche de celui du Château Margaux. Propriété Chanel (comme Canon).
Le millésime 2015 dans la presse :
J-M Quarin (août 2020) : 96/100 « Bouche moelleuse à souhait, au corps complet et fondant, avec du gras à partir du milieu de bouche et une réelle puissance aromatique. C'est long et très bon. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Rauzan-Ségla 2015 présente un bouquet très pur et charmant de cerises noires cératées, de myrtilles et d'arômes de vanille ; de subtiles senteurs de violette et d'iris s'épanouissent avec l'aération dans le verre. La quintessence du Rauzan-Ségla. La bouche nette, précise et moyennement corsée présente des tanins souples, un fin cordon d'acidité et une finale serrée mais assez persistante. Il semble plus primitif que ses pairs, mais il y a un énorme potentiel ici, ce qui témoigne d'un château qui "va quelque part". »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Pavillon Rouge 2022 est un vin riche et ample. C'est aussi l'une des éditions les plus opulentes et crémeuses du Pavillon Rouge que je me souvienne d'avoir goûté. Souple et juteux, avec beaucoup de richesse et de volume en milieu de bouche, le 2022 est étonnamment intense dans sa texture. En même temps, les tanins sont très polis, sans arêtes dures ni contours anguleux. En 2022, le Pavillon Rouge est un vin de plaisir extrême et total. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Grand nez très aromatique, pur, mûr, profond. Nuances de fruits rouges et noirs mêlées à une superbe touche de bois vanillée. Cette touche exotique lui sied très bien. Aérien en entrée de bouche, accompagné d'un gras fin qui parcourt le palais, le vin avance juteux, distingué et noble. Très aromatique, il glisse avant de se serrer légèrement dans une grande finale délicate et puissante à la fois. C'est incrachable. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 95/100 « Bouche toujours autant minutieuse, autant suave, avec un déroulé ascendant et complexe, toujours autant classe dans le toucher. Finale noble, séveuse, subtile et même profonde. Depuis quelques millésimes, Pavillon rouge s'élève encore. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 92/100 « Pavillon Rouge 2021 s'est bien montré en barrique. Maintenant, en bouteille depuis fin juin, il présente un magnifique bouquet très pur, presque bourguignon, qui s'épanouit dans le verre : des senteurs de framboise, de mûre et de violette écrasée. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins très sucrés, une acidité fine, une douce poigne et une finale désarmante, minérale et fraîche. Un très beau pavillon. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2020 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 94/100 « Pavillon Rouge 2020 présente un bouquet merveilleusement délimité et tout à fait charmant - pur et floral avec des violettes séduisantes qui infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins très souples et raffinés. Une prise en main douce dissimule la puissance de ce Margaux, qui est persistant et caressant en fin de bouche - exceptionnel. Il dépasse largement mes espérances ! »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2018 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Pulpeux en départ de bouche, gras et parfumé à la fois, avec une forte occupation du palais, le vin s'étire en finale, complexe et racé dans son retour frais et long. C'est très bon. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 94/100 « Le Pavillon Rouge 2018 est un vin puissant, couvant, avec un fruit énorme et des tanins tout aussi imposants. Le temps passé dans le verre fait ressortir des éléments de la finesse de Château Margaux pour équilibrer les choses. En 2018, le Pavillon comprend quelques lots qui ont tendance à aller dans le Grand Vin, mais qui ont été jugés trop tanniques pour ce vin. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2015 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (septembre 2020) : 95/100 « Nez pour l'heure un peu discret, avec un fruité mûr et suave accompagné d'une note viandée. C'est surtout la bouche qui distingue ce vin. Moelleuse et fondante dès l'attaque, elle se développe complexe en milieu de bouche, en gagnant de la puissance en finale, mais tout en nuances. Très belle longueur au grain fin, avec beaucoup de goût. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 94/100 « Le Pavillon Rouge de Margaux 2015 présente un bouquet détaillé et merveilleusement concentré de fruits noirs infusés à la violette, une minéralité sublime et une réelle sophistication ; le chêne est parfaitement intégré. La bouche très bien équilibrée offre des tannins filigranes et des couches de cerise noire sucrée et de cassis qui s'enchaînent dans une finale tendue et minérale. La joie à l'état pur, la classe à l'état pur. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 93/100 « Pavillon Rouge 2014 présente un nez plus classique que ses pairs, avec des fruits noirs mélangés à du graphite et du tabac, se développant agréablement dans le verre et gagnant progressivement en opulence. La bouche est moyennement corsée, avec des arômes de fruits noirs séveux. Elle est ronde, charnue et moelleuse, et ne présente aucune aspérité. C'est un Margaux assez séduisant, mais il s'en sort bien. »
J-M Quarin (septembre 2020) : 94/100 « Très bien construit, savoureux, le vin caresse le palais ascendant en finale, avec une présence tannique légèrement plus ferme, sans que la saveur en soit altérée. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2010 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 94/100 « Nez légèrement discret, au fruité mûr et même solaire. Touche viandée. La bouche est une caresse. Le vin fond et se développe aérien, délicieux, sans aucune présence tannique. »
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 92/100 « Le Pavillon Rouge 2010 a un bouquet délicieux et élégant avec des arômes de fraise des bois, de mûre et de cèdre, très bien définis et concentrés. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, des veines de fruits bleus émergeant avec le temps dans le verre et avec juste une touche de réglisse salée vers la finale. Ce vin pourrait être à point. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2005 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - avril 2021) : 93/100 « Le Pavillon Rouge 2005 est dans un bel endroit en ce moment où il commence juste à montrer des signes de complexité aromatique et de nuance. À cinquante ans d'âge, l'ADN du millésime demeure - ¨Pavillon Rouge est un vin puissant et costaud. Le tabac doux, le cèdre, la menthe, les fleurs séchées et l'anis ajoutent des couches de nuances. Les lecteurs qui ont la chance de posséder le 2005 devraient être ravis. J'imagine que c'est un vin exceptionnel. Plus il s'ouvre dans le verre, plus il devient classique. »
J-M Quarin (juin 2019) : 94/100 « Superbe ! Vin confondable avec Château Margaux...A essayer ! »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 99/100 « Couleur profonde, rouge sombre. Grand nez complexe et subtil. Nuances de framboise et de fleurs. Touche d'encre. Pointe de réglisse. C'est fascinant. Ultra minutieux en entrée de bouche, ultra fondant au milieu, avec une classe folle dans le toucher, le vin fond au palais, raffiné, subtil et gracieux. Très grande longueur complexe au grain fin. C'est beau, pur, dense et néanmoins incrachable. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2020) : 97/100 « La minutie tactile de l’entrée en bouche est remarquable. Le vin se développe sans cesse pulpeux, avant de libérer une saveur de fruits noirs qui scintille dans la persistance. C’est superbe, long, très minutieusement réalisé, avec un grain très fin. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 97/100 « L'un des points forts évidents de la rive gauche, le Margaux 2017 est magnifique. D'une intensité fulgurante, le 2017 respire la classe dès la première dégustation. Margaux est tout sauf cela. Au lieu de cela, Margaux est sombre, sombre et mystérieux, avec des couches de nuances sépia qui s'ouvrent avec le temps dans le verre. Le cabernet sauvignon, cueilli cinq jours plus tard que prévu, est particulièrement présent. Le 2017 aura besoin d'un certain nombre d'années pour être à son meilleur, mais c'est un vin très prometteur. Wow. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Le Château Margaux 2014 présente un bouquet bien défini de fruits noirs infusés au cèdre, de sous-bois et de touches d’épices brunes. Un peu plus de précision que le Haut-Brion. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs sapides, finement équilibrée. Ce n'est pas le premier cru le plus complexe, et il semble linéaire et strict vers la finale qui ressemble à celle d'un Pauillac. C’est un Château Margaux « sérieux » qui, espérons-le, va se détendre dans les prochaines années. Nous verrons. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mai 2021) : 94+/100 « Le Château Margaux 2012 est un vin qui, sur la base de cette présentation, est un peu fermé en ce moment et a besoin d'être le plus cajolé dans le verre ; Beaucoup de fruits noirs sur place, bien qu'ils ne s'épanouissent pas vraiment. Il est très bien équilibré, assez profond et puissant, mais il a besoin de temps pour développer son raffinement en finale. »
J-M Quarin (février 2020) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, puis complexe au milieu, le vin se développe particulièrement aromatique sur une stimulation ascendante en finale où il vient s’achever sophistiqué, long sur un grain fin. Ce superbe équilibre le rend incrachable ! »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 98/100 « Waouh, impossible de s’attendre à tant de délicatesse après pareil nez ! Le vin ne cesse de fondre, complexe au toucher comme au goût. Il évolue séveux pour devenir comme plus solide en finale sans perdre sa complexité. Très longue persistance, fraîche, noble et finalement incrachable. Du charme, de l’hédonisme, de l’esthétique et de la précision. Un style à l’opposé du 2005. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « Le Château Margaux 2009 est doté d'un nez époustouflant qui délivre des senteurs intenses de mûre et de canneberge, des pétales de rose écrasés et des touches d'ardoise. La bouche est moyennement corsée avec des tanins très fins, tendue et assez linéaire avec une finale précise et sans effort qui est un pur bonheur. On a l'impression d'un Château Margaux qui ne fait que commencer à montrer ce dont il est capable. Brillant. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 98/100 « Waouh, impossible de s’attendre à tant de délicatesse après pareil nez ! Le vin ne cesse de fondre, complexe au toucher comme au goût. Il évolue séveux pour devenir comme plus solide en finale sans perdre sa complexité. Très longue persistance, fraîche, noble et finalement incrachable. Du charme, de l’hédonisme, de l’esthétique et de la précision. Un style à l’opposé du 2005. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « Le Château Margaux 2009 est doté d'un nez époustouflant qui délivre des senteurs intenses de mûre et de canneberge, des pétales de rose écrasés et des touches d'ardoise. La bouche est moyennement corsée avec des tanins très fins, tendue et assez linéaire avec une finale précise et sans effort qui est un pur bonheur. On a l'impression d'un Château Margaux qui ne fait que commencer à montrer ce dont il est capable. Brillant. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2004 dans la presse :
Vinous (N.Martin - avril 2024) : 95/100 « Le Château Margaux 2004 présente un nez séduisant de fruits rouges avec une légère teinte de cèdre et de fer. Il est mûr mais encore vigoureux et a beaucoup de réserves. La délimitation est fine. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière fraîche et tendue. Il est ferrugineux (encore une fois) et présente une note épicée en fin de bouche. Plus concentré qu'on pourrait le croire, ce vin se boit merveilleusement bien aujourd'hui, mais il est clair qu'il se boira pendant encore 20 à 30 ans. »
J-M Quarin (novembre 2023) : 96/100 « 26 bouteilles goûtées lors de la préparation d'un dîner, sans aucun écart ! C'est du jamais vu ! Vin parfumé au nez qui glisse sur la palais à la fois solide et raffiné dans un style longiforme très cabernet sauvignon. Grain fin. Bonne tenue à l'air. »
La Revue du Vin de France (2014) : 97/100 « Il a ce nez envoûtant typique du cru, sur les fruits croquants et les fleurs. »
Second vin de Lagrange, d'une incroyable régularité dans sa qualité comme dans ses prix. Ce grand classique est un 'fond de cave' idéal !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Fiefs de Lagrange 2022 est un formidable second vin. Dodu, juteux et très expressif, le 2022 est un charmeur. Des contours succulents s'enroulent autour d'un noyau de fruits rouges mûrs, d'orange sanguine, de cannelle et de menthe. »
J-M Quarin (février 2025) : 91/100 « Belle couleur sombre, intense et jeune. Joli nez très aromatique, au fruité pur, mûr et vanillé. Moelleux à l'attaque, suave en milieu de bouche et parfumé, le vin évolue fondant, juteux, avec une subtilité générale jamais vue jusqu'alors. Très beau relais fruité et boisé dans la persistance. »
Second vin de Lagrange, d'une incroyable régularité dans sa qualité comme dans ses prix. Ce grand classique est un 'fond de cave' idéal !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2022) : 90/100 « J'ai acheté ce Deuxième Vin en pensant qu'il serait prêt à boire. J'avais tort. Il a un nez intense de mûre et de myrtille qui, malgré le carafage, reste assez fermé. La bouche a du potentiel, mais je conseille de le garder en cave encore deux ou trois ans. »
Second vin de Lagrange, d'une incroyable régularité dans sa qualité comme dans ses prix. Ce grand classique est un 'fond de cave' idéal !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 90/100 « Le 2015 Les Fiefs de Lagrange présente un bouquet généreux avec des arômes de cerise rouge, de fraise et de jus de groseille léger. Le chêne est ici joliment intégré, et un peu plus grégaire dans le style que ses pairs. La bouche est moyennement corsée, avec une texture poudreuse et une acidité fine, assez vive et citronnée, avec une généreuse touche de poivre blanc en fin de bouche. Ce vin est en train de devenir un bien meilleur second vin que je ne l'avais imaginé. »
Second vin de Gruaud-Larose. Dans un registre assez puissant et serré, Sarget est un Saint-Julien sérieux et convaincant, avec du fond, au mieux après 5 à 7 ans de vieillissement.
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, fruité, subtil et plus vif que lors de la présentation Primeurs. Bouche fruitée, savoureuse, au corps fondant, gagnant de la puissance en finale. Longueur normale séveuse et parfumée. »