Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 92/100 « Branas Grand Poujeaux 2016 présente un joli bouquet de fruits rouges rameux, de cèdre, de touches de menthe et d'anis étoilé. Il est bien défini et concentré. La bouche est souple et flexible, charnue mais structurée avec une douce adhérence en fin de bouche. Ce Moulis semble se délecter d'une saison de croissance bienveillante, avec juste ce qu'il faut d'amertume en fin de bouche. Un potentiel énorme - l'un des meilleurs millésimes à ce jour. »
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N.Martin - février 2024) : 90/100 « Le Branas Grand Poujeaux 2014 présente un nez beaucoup plus frais que de nombreux grands noms, avec des senteurs de fruits noirs, de framboise, de piment de la Jamaïque et de cèdre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, peut-être un peu moins serrés que dans mon souvenir, mais avec une belle finale caressante. Il s'agit sans aucun doute de l'un des meilleurs vins de la rive gauche du millésime. »
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N.Martin - juin 2021) : 91/100 « Le Branas Grand Poujeaux 2010 est plus frais et plus vigoureux au nez que le 2009 : mûre, framboise, cuir marbré et arômes mentholés qui se déploient avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tannins au grain fin, le cèdre et le poivre noir se mêlent à de légères notes ferreuses, bien qu'il y ait ici plus de précision sur la finale par rapport au 2009. Très beau - peut-être le premier à réaliser tout le potentiel du domaine, même s'il a fini par être dépassé. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 93/100 « Le 2020 est en place, avec une bouche de belle finesse, des tanins fondus et une jolie rondeur. »
Vinous (N. Martin - Décembre 2022) : 92/100 « Le Poujeaux 2020 est un merveilleux Moulis-en-Médoc qui devrait offrir un excellent rapport qualité-prix. Au nez, la mûre brillante se mêle à la myrtille et au graphite, et le vin est intense et déterminé à faire bonne impression. La bouche est structurée mais bien équilibrée, le fil d'argent de l'acidité courant du début à la fin. Un peu vitreux en fin de bouche, il sera tempéré par le vieillissement en bouteille dont le Poujeaux a toujours besoin. Ne l'ignorez pas. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 94/100 « Poujeaux 2019 présente un bouquet très délimité et concentré de mûre, de cèdre, de menthe et de légères feuilles de thé, l'un des plus complexes que j'ai rencontrés dans ce grand domaine au cours des dernières années. La bouche mi-corsée est fraîche, vibrante et accrocheuse, avec des tanins légèrement crayeux et une finale saline et persistante. »
J-M Quarin (février 2022) : 92/100 « Le vin caresse le palais offrant une sensation de plénitude inconnue jusqu'alors. Très longue finale aux saveurs multidimensionnelles. Une grande réussite. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2021) : 92/100 « Poujeaux 2018 présente un bouquet intense avec des couches de mûres et de myrtilles, un léger parfum marin et une patine persistante de chêne qui a encore besoin de temps pour être subsumée. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière douce, des tanins soyeux et très souples encadrant un Poujeaux au volume et à la poigne impressionnants. Cohérent du début à la fin, il se referme un peu sur la finale, ce qui indique que ce Moulis a des projets à long terme. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2019) : 90+/100 « Il semble un peu pincé pour l'instant, mais il a le poids et l'intensité nécessaires pour s'étoffer avec le vieillissement en bouteille. Il gagnerait peut-être à être plus complexe en fin de bouche, mais sinon, c'est un Poujeaux bien construit. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 92/100 « Chasse-Spleen 2022 est lui porté par l'excellence du millésime, mais il n'impressionne pas par sa densité et sa puissance. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2022 est un Moulis puissant et profond. La terre brûlée, le tabac, l'encens et les fleurs séchées complètent un noyau de fruits noirs. Le 2022 a besoin de quelques années en bouteille pour être à son meilleur. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 92/100 « Chasse-Spleen 2022 est lui porté par l'excellence du millésime, mais il n'impressionne pas par sa densité et sa puissance. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2022 est un Moulis puissant et profond. La terre brûlée, le tabac, l'encens et les fleurs séchées complètent un noyau de fruits noirs. Le 2022 a besoin de quelques années en bouteille pour être à son meilleur. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90+/100 « Le Chasse-Spleen 2019 présente un bouquet bien défini, avec des notes de mûre et de myrtille, de sous-bois et de tabac - un vrai classique du Médoc. La bouche est moyennement corsée avec beaucoup de fruits rouges fougueux, une profondeur modeste et montrant une certaine austérité vers la fin. Un 2019 plus cérébral de la rive gauche, même si j'aurais aimé un peu plus de persistance. Il est peut-être en train d'entrer dans une adolescence difficile. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A Galloni - décembre 2017) : 93/100 « Le Chasse-Spleen 2016 possède un merveilleux bouquet détaillé et minéral qui ressemble à un ressort enroulé en ce moment. La bouche harmonieuse est moyennement corsée avec des tanins souples, une profondeur impressionnante et une finale pure mais accrocheuse et convaincante. L'un des meilleurs Chasse-Spleen de ces dernières années. Bravo à tous ! Ce vin pourrait représenter l'un des meilleurs rapports qualité/prix de la Rive Gauche. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A Galloni - décembre 2017) : 90/100 « Chasse-Spleen 2015 est un vin de finesse et de grâce. Des notes florales, des épices, du cuir et de la menthe sont magnifiquement délimitées dans ce vin attrayant et de poids moyen. Tous les éléments sont très joliment équilibrés. Les lecteurs qui apprécient le côté raffiné du bordeaux seront enthousiasmés par le 2015. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2014 a un nez plus rétro que dans mes souvenirs, anisé, teinté de fruits rouges, avec juste une touche de menthe sauvage. La bouche est moyennement corsée avec des fruits rouges légèrement épicés, bien équilibrée et ferreuse vers la fin avec une finale épicée. »
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Avec toute l'élégance margalaise que l'on est en droit d'attendre du cru. Déjà séduisant, avec son côté velouté, il évoluera sur une décennie sans problème. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 91/100 « Le Sociando-Mallet 2020 montre plus de chêne neuf au nez que ses pairs, bien qu'il y ait suffisamment de fruits rouges pour absorber cela. La bouche est moyennement corsée, fraîche et bien délimitée, avec des notes de cerise amère et un soupçon de balsamique. La texture est granuleuse, la longueur satisfaisante et une touche de clissisme. Donnez-lui quelques années en bouteille. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 91+/100 « Le Sociando Mallet 2019 a plus de présence au nez que le Le Boscq ; le fruit est plus sombre et plus audacieux. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés, beaucoup de cassis et de framboises agrémentés de cèdre et de poivre noir. Solide, même s'il manque un peu d'élégance en fin de bouche. Donnez-lui quelques années et il reviendra régulièrement à son niveau d'évaluation après la mise en bouteille. »
J-M Quarin (avril 2022) : 90/100 « Beau nez très aromatique, fruité et subtil. Nuances fines de gelée de mûres. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 94/100 « Les amateurs avisés le savent, Sociando-Mallet, marque largement diffusée en France, est un vin d'un rapport qualité/prix remarquable.[..] les derniers millésimes semblent un peu moins profonds, mais demeurent très agréables, parfaits à boire dans la décennie, comme en 2018 au velouté séduisant. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 93/100 « Sociando Mallet 2018, qui est enveloppé dans une resplendissante étiquette du 50e anniversaire pour célébrer l'acquisition du domaine par feu Jean Gautreau, prend un peu de temps pour vraiment coalescer au nez, révélant finalement des senteurs de mûre de Boysen et de mûre, ainsi que des arômes de cèdre et de terre légère. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples qui démentent la concentration de ce Sociando-Mallet. Très cohérent, il offre beaucoup de fruits rouges mélangés à du sous-bois et du tabac, bien qu'il y ait juste un peu plus de sécheresse sur la finale que ce à quoi je m'attendais. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 90/100 « La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et une fine acidité, un Bordeaux classique ou traditionnel du début à la fin, avec une belle délimitation sur la finale teintée de tabac. Excellent. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « Sociando Mallet 2016 présente un bouquet attrayant de canneberge, de fraise des bois, de cèdre et de légers arômes limoneux. Le palais est moyennement corsé avec des tanins granuleux, bien qu'il soit bien équilibré avec une finale fraîche et assez minérale qui a de la grâce et du charme. Il s'agit d'un splendide Sociando-Mallet qui, je pense, s'améliorera avec le temps. »
En isolant 15 ha de ses meilleures parcelles, M. Guyon, propriétaire de Rollan de By, a créé Haut-Condissas, cuvée de prestige pour se mesurer aux grands crus classés voisins du Haut-Médoc. Dans un style riche, puissant et concentré, Haut-Condissas doit être attendu en bouteille une bonne dizaine d'années pour révéler sa réelle finesse et sa grande complexité. Réservé aux amateurs patients mais le jeu en vaut la chandelle ! Pour M. Bettane « Haut-Condissas est l'archétype du super-bordeaux ».
Le millésime 2018 dans la presse :
Bettane & Desseauve (Guide 2023) : 16.5-17/20
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 92/100 « La Tour Carnet 2020 était impressionnant en barrique. En bouteille, il présente un bouquet sobre et posé qui prend de l'ampleur à l'aération. Une deuxième bouteille a révélé un parfum marin plus accentué. La bouche est mi-corsée avec des tanins fins, une acidité bien dosée, très harmonieuse avec une finale expressive, légèrement épicée et persistante. Excellent. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 92/100 « La Tour Carnet 2019 présente un bouquet joliment composé avec des senteurs de mûre, de coulis de framboise, de cèdre et de sous-bois subtil, assez précis et concentré. La bouche est très bien équilibrée avec des tanins finement sculptés, une acidité bien jugée et une finale harmonieuse de style classique. Très beau ».
J-M Quarin (février 2022) : 90/100 « Délicat à l'attaque, savoureux au milieu, avec un corps fondant et une légère vivacité dans la saveur, le vin s'achève bien construit et long. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2013) : 91+/100 « Rouge foncé et brillant. Les arômes sexy de cerise noire, de myrtille, de réglisse, de menthol et de fleurs ont semblé s'éteindre à l'aération. Densément emballé et frais, avec une acidité saine intensifiant les jolies saveurs de fruits noirs bien délimitées. La colonne vertébrale ferme des tanins et de l'acidité est agréablement soutenue par la concentration du milieu de bouche. Un millésime très impressionnant pour cet embouteillage, qui demande de la patience. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 94/100 « En 2020, le cru livre un vin élégant, à la matière souple, mais au joli fond. Il offre une belle allonge sur des saveurs fruitées, avec des tanins soyeux. Il devrait être parfait à déguster d'ici une dizaine d'années. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93/100 « La Lagune 2020 présente un beau bouquet de fruits noirs purs et très parfumés, avec des pétales de violette et des sous-bois. Le chêne est très bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, de style classique et harmonieux, développant des notes de cèdre, de poivre noir et de tabac en fin de bouche. Excellent. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 95/100 « La Lagune 2019 offre une transparence exquise au nez - l'un des vins de Pessac-Léognan les plus expressifs sur le plan du terroir ce millésime. La bouche est moyennement corsée avec des tanins à grain fin, tendue et fraîche, assez saline avec une finale très intégrée et équilibrée qui persiste en bouche. Merveilleux - pourrait-il s'agir du meilleur La Lagune depuis des années ? »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 92/100 « Le vin se montre assez tendre et souple, avec une rondeur et des tanins fondus. Un La Lagune en demi-corps, déjà très accessible et équilibré. »
J-M Quarin (mars 2022) : 91/100 « Le vin caresse le palais, savoureux, avec une touche de vivacité dans la persistance. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Janvier 2020) : 91/100 « La Lagune 2016 a un bouquet très bien défini, avec des senteurs de pétales de rose qui accompagnent les fruits de la canneberge et de la framboise ; le chêne est ici bien intégré. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et un style légèrement goudronneux, faisant preuve d'une belle précision vers une finale qui semble juste un peu sèche. Il s'agit d'un autre 2016 dont j'ai rencontré de meilleurs exemples dans le passé. »
Le second vin de Prieuré-Lichine, à forte dominante de merlot (80%) pour favoriser la rondeur et la gourmandise. Son fruité éclatant est mis en valeur par un élevage discret (pas de bois neuf, 60% barriques de 2 vins).
Vinifié de façon à la fois moderne et intelligente, ce second vin est spécialement gourmand et séducteur dans le millésime 2022, avec suffisamment d'étoffe pour durer a minima 10 ans.
Le millésime 2022 dans la presse :
Jacques Dupont (Le Point septembre 2025) : 94/100 « Joli nez d'épices douces et de cerise, bouche onctueuse, souple, un style tendre, tanins veloutés, Zan à la violette en finale ».
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.