Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Le second vin de Haut-Bailly, dénommé La Parde de Haut-Bailly jusqu'en 2018. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot depuis 2010.
Un second vin "d'une régularité sans faille et d'une élégance à toute épreuve", d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 93/100 Coup de ♥ « Très noblement parfumé, le second vin de Haut-Bailly affiche une profondeur remarquable. »
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 93/100 « Haut-Bailly II 2019, le deuxième vin de Haut-Bailly, a accentué les éléments sous-bois au nez depuis la mise en bouteille, se sentant maintenant quintessentiellement Pessac-Léognan et assez influencé par la mer dans le style. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, tendue et fraîche, encore un peu piquante en finale mais avec plus de précision que dans mon souvenir. Ce vin est très impressionnant. Excellent. »
Le second vin de Haut-Bailly, depuis 1967. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot en 2010.
Renommé Haut-Bailly II à partir du millésime 2019.
Rondeur, souplesse et profondeur de chair sont la marque des vins rouges consensuels produits à Larrivet Haut-Brion, conseillé par M. Rolland jusqu'en 2014 puis par M. Derenoncourt. Aucun lien entre Larrivet (à Léognan) et Haut-Brion (à Pessac).
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Larrivet Haut-Brion 2022 est dense, puissant et explosif. La cerise noire, la prune, le cuir neuf, la réglisse et le moka sont amplifiés dans ce vin dramatique et profondément résonnant. Magnifique. »
J-M Quarin (février 2025) : 92/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité mûr. Touche solaire à l'agitation du verre. Délicieux dès l'entrée en bouche, avec beaucoup de goût au milieu, le vin fond sur le palais. Il évolue juteux, savoureux, vers une finale tramée qui se serre avant de se relâcher sur l'arôme. Bonne longueur parfumée. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Latour-Martillac 2022 est un vin puissant et charnu, tel qu'il était en primeur. Une explosion de fruits rouges sombres, de cuir, d'épices, d'herbes séchées et de réglisse se dessinent dans le verre. Le 2022 a un punch assez intense. Quelques années en bouteille l'aideront dans une certaine mesure. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Beau rouge sombre. Nez moyennement intense et fruité. Touche chaleureuse. Le vin débute fruité, se montre savoureux avant que la finale devienne un peu plus agrippante. Longueur moyenne. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 90/100 « Toujours un peu austère, comme pendant les dégustations en primeur, ce vin possède cependant l’équilibre nécessaire pour évoluer favorablement. »
Vinous (Antonio Galloni - Décembre 2023) : 91/100 « Le Latour-Martillac 2021 est un très joli vin ouvert. Une explosion de fruits rouges et violacés, d'épices, de pétales de rose, de lavande, de menthol et de moka ouvre le bal. Tous les éléments sont si bien équilibrés. Les tanins soyeux et les notes florales en fin de bouche ajoutent au raffinement. Le 2021 est d'une grande sobriété et d'une grande classe. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 92+/100 « La Tour-Martillac 2020 présente un bouquet délicieusement complexe de mûre, de myrtille, de terreau humide et de cèdre. Frais et vibrant, le palais est moyennement corsé et doté de tanins fins. Des touches de sel marin et d'olive noire apparaissent en fin de bouche. Excellent. »
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 92/100 « Une belle plénitude, une acidité discrète, une allonge posée sur un grain ferme et savoureux. Comme le rouge du même millésime, c'est un vin d'avenir. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 91/100 « Latour-Martillac 2018 est chargé de fruits noirs, de chocolat, de cuir, de réglisse, de clous de girofle, de gravier, de gibier et d'herbes séchées. Puissant et dense dans le verre, le 2018 est actuellement marqué par d'énormes tanins qui vont avoir besoin de temps pour s'adoucir. Le 2018 était beaucoup plus charmant en barrique. Aujourd'hui, c'est une véritable brute. Les lecteurs devront faire preuve de patience. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 92/100 « Solaire, mais conservant une belle fraîcheur aromatique, ce vin tannique et charnu affirme un potentiel indéniable. »
En Magnum (avril 2021) : 93/100 « Bien marqué par le merlot, rond et voluptueux en texture, en opposition avec un tannin un peu plus classique. Vin de caractère, qui s'épanouira au long de son vieillissement. On se hâte de le laisser en cave. La famille Kressmann conduit ce cru classé des Graves dans la bonne direction. C'est aujourd'hui l'un des étendards de l'appellation et une belle affaire pour l'amateur. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Carbonnieux 2022 est souple et expressif, mais aussi un peu plus retenu et plus léger dans sa texture globale qu'il ne l'était en barrique. Des accents floraux soulevés gardent ce vin agile. La finale longue et soutenue ajoute à un sentiment de raffinement. Il me manque un peu de la profondeur que j'avais observée en primeur, mais le 2022 est néanmoins très fin. »
J.M Quarin (Février 2025) : 88/100 « Couleur sombre, d'intensité normale et légèrement évoluée. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr. Délicat à l'attaque, aérien au développement, le vin évolue d'abord fondant avant de se raffermir un peu dans la persistance. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « Carbonnieux 2021 est un délice absolu. Il offre un mélange exotique de fruits à chair noire, d'espresso, de réglisse, de clous de girofle, de cuir et de lavande. Profond, savoureux et très expressif, le 2021 a tellement de choses à faire, tellement de choses à offrir. Le cabernet sauvignon occupe le devant de la scène, ce qui se reflète dans la personnalité des saveurs et la structure générale du vin. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 92/100 « Très réussi, le 2020 s'installe en bouche avec une accorte douceur, un fruit pulpeux qui enrobe une structure fine. La finale ferme et harmonieuse démontre tout le sérieux de ce vin, qui durera longtemps. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 90/100 « Carbonnieux 2020 est très équilibré au nez, avec des senteurs de mûre, de framboise et de cèdre léger, ainsi qu'un boisé bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière vive. Il présente une belle structure et une bonne colonne vertébrale, avec une finale fraîche et teintée d'olive noire. Ce vin mérite d'être recherché. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2022 est un vin assez sexy, ses tannins considérables n'étant pas en reste. Une explosion de cerise noire, de prune, de réglisse, de chocolat, de cuir neuf et d'épices constitue une déclaration d'ouverture forte. Le 2022 est dense et dense jusqu'au cœur, avec une formidable intensité de fruit et des tanins tout aussi imposants. C'est une brute. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez intense, pur, subtil, au fruité mûr. Bouche immédiatement délicieuse, se développant très parfumée et complexe au milieu, vers une finale à la délicatesse de chair incroyable. Vin très original, aérien, minutieux et profond. C'est incrachable. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2022 est un vin assez sexy, ses tannins considérables n'étant pas en reste. Une explosion de cerise noire, de prune, de réglisse, de chocolat, de cuir neuf et d'épices constitue une déclaration d'ouverture forte. Le 2022 est dense et dense jusqu'au cœur, avec une formidable intensité de fruit et des tanins tout aussi imposants. C'est une brute. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez intense, pur, subtil, au fruité mûr. Bouche immédiatement délicieuse, se développant très parfumée et complexe au milieu, vers une finale à la délicatesse de chair incroyable. Vin très original, aérien, minutieux et profond. C'est incrachable. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 91/100 « Délicat à l'attaque, un brin salin au milieu, le vin évolue suave, fondant et délicatement charnu vers une finale savoureuse à la salinité présente. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 92/100 « Le Malartic Lagravière 2021, qui contient un peu plus de Cabernet Sauvignon que d'habitude, a un bouquet attrayant - pas incroyablement intense, mais délimité avec une prédominance de fruits noirs, d'olives noires et de légères senteurs estuariennes. Il est concentré, mais sans fioritures. La bouche est moyennement corsée avec une touche d'écorce d'orange à l'entrée. Le chêne finement intégré confère à ce Pessac-Léognan une texture soyeuse attrayante, qui s'épanouit gracieusement en fin de bouche. Ce vin semble avoir bien évolué au cours de son élevage en barrique, et il devrait se boire tranquillement pendant 20 à 25 ans. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 94/100 « Habilement vinifié avec un léger allègement du tanin qui va dans le sens d'une recherche d'élégance plus immédiate, finement épicé, très typique de Léognan, finale fraîche et délicate. Plus que jamais, Malartic fait partie des incontournables de l'appellation. »
J-M Quarin (septembre 2021) : 93/100 « Robe rouge foncé. Intense. Nez intense, frais, fruité, mûr, complexe et profond. Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, très savoureux en milieu et un tantinet austère, le vin évolue vers une finale légèrement épicée. Bonne longueur. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2018 est tout aussi convaincant qu'il l'était en primeur. Des fruits noirs d'encre, des herbes séchées, de la réglisse, de la lavande et du chocolat sont tous mis en valeur dans ce somptueux Pessac-Léognan. Des courbes douces et des tanins soyeux ajoutent à l'attrait considérable de ce vin. Le 2018 est indéniablement tape-à-l'œil et séduisant, je l'ai adoré. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 93/100 « Dense, velouté, gardant un bel équilibre, construit sur des tanins longs, soyeux, accomplis, avec une générosité alcoolique bien intégrée. Potentiel de longue garde. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Un Pessac-Léognan souple avec des notes de mûre, de prune rouge et de groseille, agrémentées de clou de girofle et de poivre blanc en fin de bouche. Ce n'est pas un vin d'une complexité étonnante, mais il est élégant et d'une persistance satisfaisante. À savourer dans les 15 prochaines années, voire plus. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 91/100 « Nez très aromatique et fin, au fruité mûr. Caressant en entrée de bouche, puis suave au milieu, savoureux et très parfumé, ce vin glisse au palais, juteux et noble dans sa présence finale. C’est bon! »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2016 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (février 2019) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez moyennement intense, au fruité mûr, avec une touche qui rappelle plutôt la rive droite. Une nuance de bois de pin participe à la fraîcheur générale. Moelleux et fondant dès l’attaque, le vin se développe juteux et parfumé en milieu de bouche, avec une touche de résine dans sa saveur. Il évolue gras, profond, avec du goût, de la chair et des tanins fins.»
Vinous (N.Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Malartic-Lagravière 2016 présente un merveilleux bouquet de fruits rouges parfumés, agrémenté de pot-pourri, de tapenade d'olives noires et de légers arômes de saumure - un bouquet plein de personnalité. La bouche fraîche et harmonieuse est moyennement corsée, avec des tanins souples, une fine acidité et juste ce qu'il faut de salinité dans la finale aux accents de terreau. Bon vin de la part des Bonnie. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 91/100 « Goûter ce vin à 9 h le matin et ne pas pouvoir cracher, voilà la rareté. Et puis il y a la volupté du corps et cet arôme si particulier que je ne trouve nulle part ailleurs. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 90/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2021 est bordé de fleurs écrasées, de baies rouges sucrées, d'épices et de tabac à pipe. La Chapelle est assez floral et délicat en 2021. Sa personnalité discrète est tout à fait charmante. L'acidité vive de la finale rappelle la saison fraîche et pluvieuse. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2020 est très contrôlé et plus en retrait au nez par rapport à ses pairs, avec des arômes de mûre, de framboise, de terre humide et d'olive noire légère. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes mais fins. Il y a ici une forte influence marine avec une pointe de réglisse en finale. Ce vin a besoin de temps pour trouver sa voie, mais il le fera. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 93/100 « Bouche particulièrement caressante, éclatante de fruits et fondante entre le milieu et la finale. Très belle persistance au grain fin. C’est remarquable. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2020) : 91/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2016 a un bouquet plus riche et plus dense que le 2016 Haut Bailly, offrant plus de fruits noirs d'entrée de jeu avec des notes d'algues et de saumure. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs croquants, une fine perle d'acidité, des notes d'olive noire et de sauge et une finale assez complexe et engageante. Très bon, bien qu'il n'ait pas la persistance de ses pairs. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 94/100 « Unanimement salué, le 2022 s'inscrit de toute évidence dans la lignée remarquable des derniers millésimes. Soutenu par une très belle acidité, il possède un caractère plus marqué par la puissance tannique et alcoolique, à l'instar du 2018, que par le rayonnement du fruit qui fait la grandeur singulière du 2016 ou du 2020. La comparaison des mérites de cette succession historique de grands millésimes nourrira la plaisir des sens et du débat de plusieurs générations ! »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96+/100 « Le Domaine de Chevalier 2022 est fabuleux. Je m'attendais à voir un vin plus turbulent dans ce millésime, mais au lieu de cela, le Domaine de Chevalier est un peu strict et serré. Je pense que ces qualités lui seront utiles dans les décennies à venir. Des arômes de fruits rouges, d'orange sanguine, de cuir neuf et d'épices s'échappent du verre. J'admire particulièrement l'énergie et la tension de ce vin. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Beau rouge sombre, légèrement évolué. Nez intense, fin, fruité et subtil. Bouche gracieuse à souhait, évoluant savoureuse vers une finale un brin vive et plus stricte que la douceur ressentie en entrée et en milieu de bouche. Corps fondant. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 93/100 « Dans le contexte du millésime et par rapport à ses pairs, 2021 impressionnait dès les dégustations en primeur. Il confirme aujourd'hui ! Le cabernet-sauvignon est nettement dominant (80% de l'assemblage), définissant un fruit d'une magnifique transparence, intense, "bleu" (comme 2017), satiné et fumé, d'un éclat d'autant plus vif que le boisé est d'une totale discrétion. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Le Domaine de Chevalier 2021 se présente comme assez timide et réticent dans ce millésime. Les arômes sont séduisants, mais en bouche, le vin semble un peu strict et bridé. Des fleurs écrasées, des fruits rouges sucrés, des épices, de la menthe et de l'orange sanguine émergent, mais seulement avec beaucoup de réticence. Il sera intéressant de voir comment le 2021 évoluera avec le temps. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 91/100 « Coulis de fruit, délié, tendre et solaire à la fois, 2019 offre une respiration pleine de charme mais manque un peu de densité et de relief par rapport aux millésimes qui l'encadrent. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
J.M Quarin (Février 2022) : 95/100 « Moelleux en entrée de bouche, particulièrement fruité au milieu, accompagné d'un corps fondant et d'un toucher raffiné, le vin gagne de l'ampleur et de l'expression dans la seconde partie du palais. Il s'achève long sur des tannins fins et sans cesse aromatiques. C'est très bon. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2019 présente un bouquet précis et complexe avec des senteurs de mûre, de cèdre et de tabac, dans un style assez proche du Médoc. C'est un vin très engageant. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples, un chêne exquisément intégré, charnu et finement osé avec une finale précise. Ce vin est exceptionnel. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 94/100 « On retrouve ce caractère fruité original, profond et noble, dans un 2018 pur et remarquablement constitué, avec toutefois par rapport au 2016 une acidité semblant plus basse et une présence alcoolique qui reprend de la voix-ce qui est tout à fait dans la logique du millésime. »
En Magnum (avril 2021) : 96/100 « Excellent corps, ensemble puissant et frais, très équilibré, tannin racé, pas encore tout à fait formé en milieu de bouche, mais prometteur pour la longue garde. Fidèle à son style toujours énergique et lumineux, ce terroir spectaculaire s'exprime de la plus belle des manières. Nouvelle réussite d'ampleur pour la famille Bernard et ses équipes. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2018 est facilement l'un des vins du millésime. Un vin d'une précision époustouflante et d'une élégance royale, le Domaine de Chevalier éblouit dès la première dégustation. Les herbes séchées, le pétale de rose, la menthe, l'orange sanguine, la grenade et les notes minérales éclatantes se développent toutes dans le verre. Richement étagé mais aussi translucide, le 2018 fait tourner les têtes. À ne pas manquer ! »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 97/100 « L'éclat du 2016 est d'emblée saisissant, le fruit retranscrit avec enthousiasme ce caractère spécifiqueque l'on retrouve dans les expressions les plus accomplies du cru, cette floralité profonde, suggestive, articulée. Les qualités de constitution et de forme sont admirables, l'équilibre avec les qualités de fraîcheur (vibration, vitalité) s'approche de la perfection. »
J-M Quarin (février 2019) : 95/100 « Nuances originales de bois de pin, d’encre et de crème. Fondant à l’attaque, moelleux au développement, très agréable, un brin vif, le vin caresse sur un corps séveux et s'achève profond, avec du goût et des tannins fins. Très bonne longueur. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2016 est un vin passionnant. Dense et magnifiquement étagé, le 2016 est également un peu plus riche qu'il ne l'est habituellement. Les arômes et la structure du Cabernet Sauvignon sont omniprésents dans le vin. Les fruits rouges sont incroyablement primaires à ce stade. Les lecteurs doivent être prêts à conserver le 2016 pendant au moins une poignée d'années. Il a été tout simplement magnifique les trois fois où je l'ai dégusté jusqu'à présent. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97+/100 « Le Smith Haut Lafitte 2022 est soyeux, élégant et nuancé. Tout est là. Un vin de précision et de classe, le 2022 est très impressionnant. Des tannins raffinés et souples enveloppent un noyau de fruits bleus et violacés, de lavande, d'espresso et de moka. Je trouve le 2022 un peu fermé aujourd'hui, mais c'est probablement une très bonne chose pour ses perspectives à long terme. J'ai hâte de le voir vieillir. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur très intense. Nez très aromatique, fin, pur et riche. Nuances un brin solaire, puis de fruits noirs relevés par l'épice et le beau chêne. Délicat en entrée de bouche, avec de la classe dans le toucher, le vin monte lentement en finale. Il s'achève puissant, un brin ferme mais aussi très savoureux et long. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97+/100 « Le Smith Haut Lafitte 2022 est soyeux, élégant et nuancé. Tout est là. Un vin de précision et de classe, le 2022 est très impressionnant. Des tannins raffinés et souples enveloppent un noyau de fruits bleus et violacés, de lavande, d'espresso et de moka. Je trouve le 2022 un peu fermé aujourd'hui, mais c'est probablement une très bonne chose pour ses perspectives à long terme. J'ai hâte de le voir vieillir. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur très intense. Nez très aromatique, fin, pur et riche. Nuances un brin solaire, puis de fruits noirs relevés par l'épice et le beau chêne. Délicat en entrée de bouche, avec de la classe dans le toucher, le vin monte lentement en finale. Il s'achève puissant, un brin ferme mais aussi très savoureux et long. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 95/100 « Ample à l'attaque, complet en milieu de bouche, le vin avance sur un corps fondant avec un peu plus de nuances si on le déguste juste décanté. Belle longueur à la tanicité allégée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Smith haut Lafitte 2021 est un vin engageant et dynamique. Les graviers, le menthol, la réglisse, le moka et les épices sont tous magnifiquement délimités. Un vin d'énergie et de concentration, le 2021 est absolument captivant - moyennement corsé, raffiné et super-impressionnant. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 96/100 « Ensemble harmonieux, splendide fin de bouche et noble intégration du tannin qui laisse augurer un vieillissement qui lui rendra justice et où il exprimera toute la splendeur de son terroir. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 95/100 « Smith Haut Lafitte 2018 était très impressionnant en barrique, et maintenant en bouteille, il tient ses promesses. Merveilleuse précision au nez, subtile au début mais se déployant à chaque tourbillon du verre, révélant des senteurs de mûre et de pierre broyée, des pétales d'iris comme auparavant, et peut-être une touche de plus de violette. La bouche est moyennement corsée, avec une belle tension et une bonne structure. C'est un Smith Haut Lafitte très serré, et même en le carafant pendant 3 à 4 heures, il reste plus réservé que les millésimes récents. Il offre finalement beaucoup de fruits noirs, d'olives noires, une légère influence marine et une pincée de poivre noir concassé sur la finale robuste. Un Smith Haut Lafitte exceptionnel, compte tenu du millésime. »
J-M Quarin (mars 2019) : 95/100 « Minutieux à l’attaque, fondant au développement, très aromatique et juteux, le vin glisse en bouche, parfumé et savoureux, long, avec du chic et de l’arôme. C’est très bon. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 94/100 « En 2016 le grand vin impose une présence encore serrée sur elle-même, intense et de grande tenue. C'est un vin prometteur, plein de ressources, moins extraverti et explosif que le 2015 mais peut-être plus apte à la longue garde. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 95+/100 « Smith Haut Lafitte 2016 présente un bouquet opulent et somptueux avec des couches de cerise noire, de gâteau de Noël, de chocolat noir et de vanille. Ce vin veut faire bonne impression. La bouche est très séduisante, avec des fruits rouges luxuriants, des épices brunes et des tanins saturés. Un peu de chêne neuf est visible en fin de bouche, mais il sera absorbé par le vieillissement en bouteille. Je le vois bien vieillir. »
J-M Quarin (janvier 2019) : 96/100 « Nez intense et fin, au fruité mûr, pur et légèrement toasté. Gras à l’attaque, suave au développement, très fruité, puissant et caressant, mais aussi tendre, le vin avance savoureux, vers une longue finale sèveuse, au goût de fruits noirs et de violette, avec une touche tannique à fondre. A noter que la décantation lui est très favorable. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2008 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2018) : 92/100 « Le Smith Haut Lafitte 2008 est un beau vin pour le millésime, encore assez poli au nez avec des senteurs de cassis et de coulis de framboise, une touche de goudron fondu et de tabac ; jeune pour son âge et faisant preuve d'une belle vigueur. A l'aération, un fort parfum de réglisse apparaît soudain. La bouche est douce et ronde à l'attaque, mais elle est très profonde en milieu de bouche, avec des couches de fruits noirs légèrement grillés, agrémentés de tabac, de poivre noir et de fumée. J'ai juste eu l'impression qu'il y avait un peu de sécheresse en fin de bouche, mais il s'agit néanmoins d'un excellent Pessac-Léognan. »