Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 97/100 « L'ensemble est un pur délice. Des arômes nobles circulent sur une texture très raffinée et savoureuse, sans effet de puissance, sans fragilité, tout en appuis distingués. Belle longueur où la bouche reste fraîche. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 96+/100 « Le Haut-Brion 2017 est riche et viril, même dans un millésime où il a moins de puissance que la norme. Mon impression est que le 2017 va rester en sommeil pendant de nombreuses années avant de se réveiller, mais son pedigree est tout à fait évident. La cerise noire, la prune, le gravier, la fumée, la réglisse et les épices sombres jaillissent du verre. Le 2017 est un Haut-Brion puissant et vertical doté d'une réelle sensation de gravité et d'intensité sombre. La finale longue et substantielle suggère que les lecteurs peuvent s'attendre à de nombreuses années de bonne consommation. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 100/100 « Ultra raffiné en entrée de bouche, particulièrement fondant tout le long de son parcours, complexe au milieu, savoureux, juteux, frais, mais aussi puissant, le vin ne cesse de glisser sur le palais, raffiné, gras, noble, dans une immense longueur sèveuse. Ouh là là, que c’est bon. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 100/100 « Le Haut-Brion 2016 est très probablement encore plus magnifique en bouteille qu'il ne l'était en barrique. Puissant et riche, mais pas du tout lourd, le 2016 est un vin d'une beauté presque indescriptible. Le Haut-Brion est souvent un vin passionnant, mais il est rarement aussi raffiné dans sa jeunesse. Le gravier, la viande de cure, le tabac et le cèdre sont quelques-unes des nombreuses nuances qui se développent avec l'air, mais c'est un sens extraordinaire de l'harmonie qui se démarque vraiment. Quel vin ! »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mai 2021) : 95/100 « Le Haut-Brion 2012 commence à montrer ses muscles. Le bouquet est peut-être l'un des plus en retrait des cinq premiers crus, Le merlot fermement dans les légères senteurs de sous-bois percolent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins légers, un très bon poids, des arômes de prune et d'épices légères, avec beaucoup de poids sur la finale légèrement charnue. C'est un excellent Haut-Brion, mais il a besoin de vieillir en bouteille. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2017) : 100/100 « Nuance de chêne frais. Moelleux à l’attaque et particulièrement suave au développement, très riche en milieu de bouche, mais fondant, à la texture très aérienne et raffinée et pourtant solide, le vin s’envole en finale, complexe, long, puissant et très profond. Cette seconde et même cette troisième partie de bouche sont fabuleuses. Du très grand vin précis et noble. La parfaite expression du Haut-Brion. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « Haut-Brion 2009 a un bouquet moins précoce mais plus détaillé, plus nuancé peut-être avec des ardoises chaudes qui cuisent au soleil d'été, du terreau labouré et du cèdre qui infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, une acidité parfaite, des couches de fruits noirs riches en minéraux. Ce vin semble avoir gagné en complexité au cours des dernières années et commence à flirter avec la perfection. Il n'y est pas encore parvenu, mais il s'oriente dans cette direction. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2010) : 94/100 « Rouge rubis brillant. Le nez pur mais jeune et inexpressif laisse entrevoir des notes de framboise et de tabac après une aération prolongée. Doux, suave et souple, avec une texture soyeuse stimulée par la minéralité et relevée par une composante épicée. La maturité est vraiment belle et constante, ne montrant ni torréfaction ni verdeur. A l'air, il a pris un caractère plus floral. Ce vin superbement élégant sature vraiment le palais et persiste. Les tanins sont fins et doux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2009) : 95/100 « Rouge rubis moyen. Arômes invitants de prune, de pierres chaudes, de réglisse rouge et de menthol. Suave, doux et élégant ; nettement plus doux et pulpeux aujourd'hui que le La Mission, avec encore plus de profondeur en milieu de bouche. Il montre également plus de fruits rouges aujourd'hui, avec une minéralité piquante qui donne au vin de l'élan et de la jutosité. La finale s'achève sur des tanins suaves mais substantiels. L'année dernière, ce vin montrait sa colonne vertébrale alors que le La Mission était plus opulent ; en bouteille, c'est l'inverse. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2005 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - octobre 2015) : 100/100 « Un de mes vins de la soirée, le Haut-Brion 2005 est stratosphérique. Remarquablement vif et nuancé, le 2005 présente un mélange convaincant de saveurs sombres lacées avec les notes savoureuses/minérales qui sont si typiques du Haut-Brion. Le 2005 est passionnant à suivre dans le verre, car il révèle continuellement de nouvelles nuances de sa personnalité, ce que je considère comme un attribut commun à tous les grands vins du monde. La finale dense et explosive laisse présager un avenir très prometteur. Les lecteurs qui possèdent le 2005 devraient être ravis, car il est vraiment merveilleux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2003 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 90/100 « Le Haut-Brion 2003 a un bouquet décadent avec une charge de fruits noirs brillants. Il y a une certaine chaleur de l'alcool et juste une touche de Brettanomyces. Oui, c'est un élément du Rhône Nord. La bouche présente un doux noyau de fruits noirs, des tanins soyeux et des couches de myrtille et de mûre avec une finale anisée. C'est un vin sensuel, mais en fin de compte, il manque un peu de tension et de pedigree. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2002 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 92+/100 « Beau rouge rubis. Nez de groseille, de prune, de tabac et de fleurs. Suave et léger sur ses pieds, avec une excellente acidité intégrée encadrant et prolongeant les saveurs. Classique et classique, il se termine sur des tannins mûrs et bien construits. Ce vin serait parfait avec un cigare. Aujourd'hui, Delmas et Masclet préfèrent ce 2002 au Haut-Brion 2001, mais pour La Mission, ils donnent l'avantage au 2001. »
Second vin du Clos Manou, le Médoc comme on l'aime : généreux, suave et équilibré par une bonne vivacité. Un vrai régal !
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 88/100 « Couleur sombre et pourpre. Nez très aromatique, au fruité pur et frais. Délicat en entrée de bouche, parfumé au milieu, le vin fond sur le palais, délicieux, vers une finale à la tannicité enrobée. »
Second vin du Clos Manou, le Médoc comme on l'aime : généreux, suave et équilibré par une bonne vivacité. Un vrai régal !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 90/100 « Petit Manou offre le charme juvénile des fruits juteux, à consommer rapidement. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 92/100 « Clos Manou 2020 est un vin opulent et flamboyant, tel qu'il était en primeur. Une ruée de confiture de cerises noires, de chocolat, de cuir neuf, d'épices et de chêne doux sature le palais. Tous les éléments sont si bien équilibrés dans un 2020 qui est irrésistible, même maintenant. »
Propriété familiale depuis les années 1950, l'arrivée d'une nouvelle génération a réveillé ce cru bourgeois de 32 ha à Cussac-Fort-Médoc, entre Saint-Julien et Margaux. Révélé en 2012, du Retout grimpe encore d’un cran en 2018 et 2019 avec des Haut-Médoc enthousiasmants, sincères et savoureux, pleins de fruit et portés par des tanins frais. Un grand bravo !
Propriété familiale depuis les années 1950, l'arrivée d'une nouvelle génération a réveillé ce cru bourgeois de 32 ha à Cussac-Fort-Médoc, entre Saint-Julien et Margaux. Révélé en 2012, du Retout grimpe encore d’un cran en 2018 et 2019 avec des Haut-Médoc enthousiasmants, sincères et savoureux, pleins de fruit et portés par des tanins frais. Un grand bravo !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mars 2025) : 89/100 « Issu d'un terroir argilo-graveleux, vinifié sans souffre, ce "supérieur" au bouquet plaisant de fruits rouges affiche sa fraîcheur sur un toucher de bouche plus dur, aux tanins encore très charpentés. À savourer dans un an ou deux. »
J-M Quarin (mars 2024) : 91/100 « Nuances épicées. Minutieux en entrée de bouche, très bien construit au milieu, à la fois fondant et dense, le vin évolue juteux, savoureux et un tantinet ferme dans la persistance. Cette fermeté rappelle Saint-Estèphe. »
En jouant la carte de l'équilibre entre puissance et douceur, finesse et longueur, Lousteauneuf s'est imposé en moins de 5 ans comme l'exemple à suivre dans le nord du Médoc. Il nous rappelle Poujeaux il y a 20 ans.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 90/100 « Le Lousteauneuf 2022 présente un bouquet parfumé avec une touche de cerise noire mêlée de réglisse qui s'ouvre dans le verre. La bouche est moyennement corsée et assez fine, avec des tannins granuleux et une finale légèrement granuleuse et persistante. C'est un Médoc de belle facture. »
En jouant la carte de l'équilibre entre puissance et douceur, finesse et longueur, Lousteauneuf s'est imposé en moins de 5 ans comme l'exemple à suivre dans le nord du Médoc. Il nous rappelle Poujeaux il y a 20 ans.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juillet 2024 ) : 89/100 « Un joli classique à la bouche bien bâtie et au fruit respecté par l'élevage (fûts, cuves et amphores). Un ensemble équilibré et de bonne densité, à boire sans urgence. »
Belle initiative de Belle-Vue (Haut-Médoc), qui élabore depuis 2016 une cuvée originale, 100% petit verdot, avec ses plus vieilles vignes (77 ans et +) de ce formidable cépage fruité et tardif (verdot), adapté au rechauffement climatique.
Si vous souhaitez connaître l'apport du petit verdot dans les vins de Bordeaux, cette cuvée ample et épicée en est une parfaite illustration.
Voir le film de présentation (30'') de Petit-Verdot By BELLE-VUE
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 90/100 « Véritablement remarquable, le Petit Verdot 2017 de Belle-vue est tellement délicieux. D'encre, profond, super expressif, le 2017 hurle de caractère. La confiture de mûres, la lavande, les épices, le menthol et le poivre noir infusent le 2017 avec une complexité remarquable. Ces vieilles vignes, plantées en 1936, 1940 et 1950, donnent un Petit Verdot d'une grande distinction. »
Vinifiée dans les chais de Ch. Ducru-Beaucaillou, cette cuvée bénéficie des meilleurs soins. Sa plus forte proportion de merlot (68%) en fait un vin de plaisir, gourmand et rapidement appréciable.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le 2022 Madame de Beaucaillou est un vin élégant et raffiné. Les fleurs écrasées, les fruits rouges brillants, l'orange sanguine, la cannelle et le poivre blanc sont tous magnifiquement mis en valeur. Le Madame de Beaucaillou est un vin magnifique du propriétaire Bruno Borie et de son équipe à Ducru-Beaucaillou. »
Vinifiée dans les chais de Ch. Ducru-Beaucaillou, cette cuvée bénéficie des meilleurs soins. Sa plus forte proportion de merlot (68%) en fait un vin de plaisir, gourmand et rapidement appréciable.
Indépendamment de sa production en appellation Margaux, Mille Roses élabore aussi un Haut-Médoc sur 4 parcelles, 5.5 ha, autour du Château. 50% cabernet sauvignon, 40% merlot et 10% petit verdot donnant un vin fringuant, accessible et soyeux, finement boisé (25% de fûts neufs). Et bien sûr conduit en bio depuis 2010.
Indépendamment de sa production en appellation Margaux, Mille Roses élabore aussi un Haut-Médoc sur 4 parcelles, 5.5 ha, autour du Château. 50% cabernet sauvignon, 40% merlot et 10% petit verdot donnant un vin fringuant, accessible et soyeux, finement boisé (25% de fûts neufs). Et bien sûr conduit en bio depuis 2010.
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
Domaine historique de l'appellation Listrac, en nette progression depuis 2010.
« Le Fonréaud 2018 est issu d’une des adresses les plus fiables de l’appellation » pour Neal Martin (Vinous), tandis que le millésime 2020 est noté 91/100.
Le millésime 2020 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 91/100 « Le Fonréaud 2020 est beaucoup plus net au nez qu'il ne l'était en barrique. Mûres et myrtilles, aucun signe de brettanomyces, très concentré. La bouche est bien équilibrée avec une délimitation fine, tendue et fraîche avec une finale saline. Donnez-lui 3 à 4 ans en bouteille car il est prometteur. »
Domaine historique de l'appellation Listrac, en nette progression depuis 2010.
« Le Fonréaud 2018 est issu d’une des adresses les plus fiables de l’appellation » pour Neal Martin (Vinous), tandis que le millésime 2020 est noté 91/100.
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Mauvesin Barton 2022 est un vin puissant et charnu. Plutôt inflexible aujourd'hui, le 2022 révèle progressivement des notes de cassis, de réglisse, de lavande et d'épices. Je lui donnerais quelques années en bouteille pour résoudre certains de ses tannins brûlants. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité mûr et même profond. Bouche séduisante pour sa densité veloutée. Le meilleur que je connaisse. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Juteux à souhait, avec une bouche aux notes de fruits rouges frais et aux tanins soyeux. Un très joli vin déjà bien en place. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 90/100 « Mauvesin Barton 2021 a un bouquet bien défini avec des fruits rouges rameux, de la fleur d'iris écrasée et un soupçon de cannelle. D'un style très classique, il est joliment concentré avec une bouche bien intégrée. Le palais est moyennement corsé avec plus de tension que le Deuxième Vin et une douce adhérence. Assez juteux grâce aux 48% de Merlot, une pincée de poivre noir craquelé émerge vers la finale, picotant en fin de bouche. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 91/100 « Le Mauvesin Barton 2020 présente un bouquet généreux avec des notes parfumées de fruits rouges rameux, de bruyère et de boîte à crayons légère. La bouche est moyennement corsée et bien définie, bien qu'assez feuillue, avec une entrée mûre et vivace et une touche d'épices brunes pour animer le tout ; elle a du poids et de la poigne en milieu de bouche et se termine avec entrain. Il devrait être agréable à boire pendant plus d'une décennie. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2022) : 91/100 « Mauvesin Barton 2019 est magnifique. Des fleurs écrasées, des petits fruits rouges sucrés, du tabac, de la menthe et des épices nuancent ce Moulis gracieux et magnifiquement relevé. Le 2019 est discret mais merveilleusement expressif et très savoureux. »
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 92/100 « Sous la houlette de Mélanie Barton, cette petite propriété de Moulis élabore des vins très gourmands et accessibles à des prix doux. Le 2019 est superbe de distinction, doté de tanins suaves et d'une finale veloutée. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 90/100 « Le Mauvesin Barton 2018 bénéficie de sa vinification parcellaire. Il présente un joli bouquet, joliment défini, avec des arômes d'encens et de pétales d'iris pressés qui flottent dans le verre. La bouche moyennement corsée offre des tanins au grain fin, un perlant d'acidité et une touche de poivre blanc en finale. Il semble un peu pincé si peu de temps après sa mise en bouteille, mais il gagnera à être conservé en cave. Très bon. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !