
Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Ce vin a tous les défauts, même celui de me plaire. » Stéphane Planche
« J'ai oublié le nom de l'endroit, j'ai oublié le nom de la fille, mais le vin, c'était du Chambertin. » Hilaire Belloc
« Le thé peut parfaitement remplacer le vin au petit-déjeuner. » Anthelme Brillat-Savarin
« Le rock français... c'est un peu comme le vin anglais. » John Lennon
« Favorable : le fruit est dans le verre. Défavorable : le ver est dans le fruit. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
Propriété familiale depuis les années 1950, l'arrivée d'une nouvelle génération a réveillé ce cru bourgeois de 32 ha à Cussac-Fort-Médoc, entre Saint-Julien et Margaux. Révélé en 2012, du Retout grimpe encore d’un cran en 2018 et 2019 avec des Haut-Médoc enthousiasmants, sincères et savoureux, pleins de fruit et portés par des tanins frais. Un grand bravo !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mars 2025) : 89/100 « Issu d'un terroir argilo-graveleux, vinifié sans souffre, ce "supérieur" au bouquet plaisant de fruits rouges affiche sa fraîcheur sur un toucher de bouche plus dur, aux tanins encore très charpentés. À savourer dans un an ou deux. »
J-M Quarin (mars 2024) : 91/100 « Nuances épicées. Minutieux en entrée de bouche, très bien construit au milieu, à la fois fondant et dense, le vin évolue juteux, savoureux et un tantinet ferme dans la persistance. Cette fermeté rappelle Saint-Estèphe. »
Belle initiative de Belle-Vue (Haut-Médoc), qui élabore depuis 2016 une cuvée originale, 100% petit verdot, avec ses plus vieilles vignes (77 ans et +) de ce formidable cépage fruité et tardif (verdot), adapté au rechauffement climatique.
Si vous souhaitez connaître l'apport du petit verdot dans les vins de Bordeaux, cette cuvée ample et épicée en est une parfaite illustration.
Voir le film de présentation (30'') de Petit-Verdot By BELLE-VUE
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 90/100 « Véritablement remarquable, le Petit Verdot 2017 de Belle-vue est tellement délicieux. D'encre, profond, super expressif, le 2017 hurle de caractère. La confiture de mûres, la lavande, les épices, le menthol et le poivre noir infusent le 2017 avec une complexité remarquable. Ces vieilles vignes, plantées en 1936, 1940 et 1950, donnent un Petit Verdot d'une grande distinction. »
Vinifiée dans les chais de Ch. Ducru-Beaucaillou, cette cuvée bénéficie des meilleurs soins. Sa plus forte proportion de merlot (68%) en fait un vin de plaisir, gourmand et rapidement appréciable.
Vinifiée dans les chais de Ch. Ducru-Beaucaillou, cette cuvée bénéficie des meilleurs soins. Sa plus forte proportion de merlot (68%) en fait un vin de plaisir, gourmand et rapidement appréciable.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 92/100 « Madame de Beaucaillou et son caractère gourmand et souple, tout en fruit. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le 2022 Madame de Beaucaillou est un vin élégant et raffiné. Les fleurs écrasées, les fruits rouges brillants, l'orange sanguine, la cannelle et le poivre blanc sont tous magnifiquement mis en valeur. Le Madame de Beaucaillou est un vin magnifique du propriétaire Bruno Borie et de son équipe à Ducru-Beaucaillou. »
Vinifiée dans les chais de Ch. Ducru-Beaucaillou, cette cuvée bénéficie des meilleurs soins. Sa plus forte proportion de merlot (68%) en fait un vin de plaisir, gourmand et rapidement appréciable.
Indépendamment de sa production en appellation Margaux, Mille Roses élabore aussi un Haut-Médoc sur 4 parcelles, 5.5 ha, autour du Château. 50% cabernet sauvignon, 40% merlot et 10% petit verdot donnant un vin fringuant, accessible et soyeux, finement boisé (25% de fûts neufs). Et bien sûr conduit en bio depuis 2010.
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
Domaine historique de l'appellation Listrac, en nette progression depuis 2010.
« Le Fonréaud 2018 est issu d’une des adresses les plus fiables de l’appellation » pour Neal Martin (Vinous), tandis que le millésime 2020 est noté 91/100.
Le millésime 2020 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 91/100 « Le Fonréaud 2020 est beaucoup plus net au nez qu'il ne l'était en barrique. Mûres et myrtilles, aucun signe de brettanomyces, très concentré. La bouche est bien équilibrée avec une délimitation fine, tendue et fraîche avec une finale saline. Donnez-lui 3 à 4 ans en bouteille car il est prometteur. »
Domaine historique de l'appellation Listrac, en nette progression depuis 2010.
« Le Fonréaud 2018 est issu d’une des adresses les plus fiables de l’appellation » pour Neal Martin (Vinous), tandis que le millésime 2020 est noté 91/100.
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 93/100 « Mauvesin 2022 est sans doute le meilleur que nous avons dégusté à la propriété : un vin d'équilibre, suave et surtout d'un excellent rapport qualité-prix. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Mauvesin Barton 2022 est un vin puissant et charnu. Plutôt inflexible aujourd'hui, le 2022 révèle progressivement des notes de cassis, de réglisse, de lavande et d'épices. Je lui donnerais quelques années en bouteille pour résoudre certains de ses tannins brûlants. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité mûr et même profond. Bouche séduisante pour sa densité veloutée. Le meilleur que je connaisse. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 90/100
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Juteux à souhait, avec une bouche aux notes de fruits rouges frais et aux tanins soyeux. Un très joli vin déjà bien en place. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 90/100 « Mauvesin Barton 2021 a un bouquet bien défini avec des fruits rouges rameux, de la fleur d'iris écrasée et un soupçon de cannelle. D'un style très classique, il est joliment concentré avec une bouche bien intégrée. Le palais est moyennement corsé avec plus de tension que le Deuxième Vin et une douce adhérence. Assez juteux grâce aux 48% de Merlot, une pincée de poivre noir craquelé émerge vers la finale, picotant en fin de bouche. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 91/100
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 91/100 « Le Mauvesin Barton 2020 présente un bouquet généreux avec des notes parfumées de fruits rouges rameux, de bruyère et de boîte à crayons légère. La bouche est moyennement corsée et bien définie, bien qu'assez feuillue, avec une entrée mûre et vivace et une touche d'épices brunes pour animer le tout ; elle a du poids et de la poigne en milieu de bouche et se termine avec entrain. Il devrait être agréable à boire pendant plus d'une décennie. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2022) : 91/100 « Mauvesin Barton 2019 est magnifique. Des fleurs écrasées, des petits fruits rouges sucrés, du tabac, de la menthe et des épices nuancent ce Moulis gracieux et magnifiquement relevé. Le 2019 est discret mais merveilleusement expressif et très savoureux. »
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 92/100 « Sous la houlette de Mélanie Barton, cette petite propriété de Moulis élabore des vins très gourmands et accessibles à des prix doux. Le 2019 est superbe de distinction, doté de tanins suaves et d'une finale veloutée. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 90/100 « Le Mauvesin Barton 2018 bénéficie de sa vinification parcellaire. Il présente un joli bouquet, joliment défini, avec des arômes d'encens et de pétales d'iris pressés qui flottent dans le verre. La bouche moyennement corsée offre des tanins au grain fin, un perlant d'acidité et une touche de poivre blanc en finale. Il semble un peu pincé si peu de temps après sa mise en bouteille, mais il gagnera à être conservé en cave. Très bon. »
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Léoville-Barton n'avait pas jusqu'ici de cru rattaché (comme Potensac et Léoville-Las Cases, Pibran et Pichon-Baron, etc.). Cette 'lacune' a été comblée en 2011 avec l'acquisition d'un beau cru bourgeois historique de Moulis, Mauvesin, aussitôt rebaptisé Mauvesin-Barton pour montrer l'implication de la famille Barton dans ce nouveau challenge. En toute confiance !
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Le millésime 2023 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2025) : 92/100 « Le rouge, expression originale du cabernet-sauvignon sur calcaire, possède la même élégance distinguée et semble avoir passé un cap dans les millésimes de haute maturité que sont 2020 et 2022. »
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (février 2022) : 91/100 « Couleur sombre, pourpre, vive et belle. Nez intense, fruité et frais. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « Le Clos Floridène 2019 est un vin magnifique. Soyeux et poli jusqu'à la moelle, le 2019 est d'une beauté exceptionnelle. Des fleurs écrasées, des fruits rouges, de la cannelle, de la réglisse et de l'orange sanguine agrémentent ce Graves moyennement lourd et nuancé. Tous les éléments sont si bien équilibrés. Superbe. »
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 90/100 « Le Clos Floridène 2017 est un vin magnifique. Les baies rouges mûres, l'orange sanguine, le pétale de rose, la menthe et les épices s'épanouissent dans ce joli Graves tout en nuances. De douces notes florales ajoutent un registre supérieur séduisant. Souple, le 2017 est merveilleusement expressif aujourd'hui. »
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Rollan de By a toujours été une excellente introduction aux vins du Médoc, proposant à chaque millésime un vin franc, sapide, velouté et séducteur sans être dénué de finesse, à point après seulement 3 à 5 ans de vieillissement. Son accessibilité en vin jeune s'explique par un encépagement aux 2/3 merlot.
Le travail incessant de M. et Mme Dief depuis 2000 porte aujourd'hui ses fruits : dans un style tendu et racé, Clos Manou brille par une énergie vibrante, profonde, au fruité pur et éclatant, conjuguant allonge et densité. Incontestablement la plus belle révélation du nord Médoc dans les derniers millésimes.
En Magnum (Mai 2025) : « Brillants et subtils, les produits par cette propriété un peu hors des sentiers battus du Médoc affichent un caractère profondément médocain, entre droiture et fraîcheur aromatique. Capables de veillir avec grâce, mais également accessibles dès à présent, les derniers millésimes sont des modèles de style que tout amateur doit avoir dans sa cave. Ils feront à coups sûr leur effet. »
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 91/100 « Le Clos Manou 2021 est un Médoc audacieux et juteux à boire maintenant et au cours des prochaines années. La mûre, l'espresso, le gravier, la réglisse, les épices et le chêne français doux se construisent bien dans cette succulente année 2021. »
J-M Quarin (février 2024) : 92/100 « À l'ouverture du vin, la note est celle accordée en Primeur, à savoir 15,75. Le nez se présente fruité, la bouche bien faite. La tendreté remarquée du corps est attribuable au millésime. »
La Revue du Vin de France (juin 2022) : 90-91/100 « Cette petite propriété du nord Médoc élabore régulièrement un vin séduisant et délicieux. C’est encore le cas avec ce 2021 bien juteux, aux notes de fruits rouges et à la pointe vanillée. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 91/100
Le travail incessant de M. et Mme Dief depuis 2000 porte aujourd'hui ses fruits : dans un style tendu et racé, Clos Manou brille par une énergie vibrante, profonde, au fruité pur et éclatant, conjuguant allonge et densité. Incontestablement la plus belle révélation du nord Médoc dans les derniers millésimes.
En Magnum (Mai 2025) : « Brillants et subtils, les produits par cette propriété un peu hors des sentiers battus du Médoc affichent un caractère profondément médocain, entre droiture et fraîcheur aromatique. Capables de veillir avec grâce, mais également accessibles dès à présent, les derniers millésimes sont des modèles de style que tout amateur doit avoir dans sa cave. Ils feront à coups sûr leur effet. »
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « LE plus abouti. Un vin gourmand, séduisant et rond en bouche, avec tout le charme des jolis merlots bien élevés et des tanins au toucher soyeux. »
Guide Hachette (Guide 2024) coup de ♥ : « Beaucoup de densité, de volume, des tanins puissants mais moelleux, un fruit explosif bien marié au bois, une très longue finale qui ramène de la fraîcheur et de l'énergie. »
Le Point (Mai 2024) 17.5/20 « Réglisse, bouche ronde, savoureuse, dense, mais sans dureté, tanins soyeux. »
Vinous (N.Martin - décembre 2022) : 92/100 « Le Clos Manou 2020, élevé pour un tiers en béton, s'est un peu refermé après sa mise en bouteille, mais il offre néanmoins un magnifique bouquet de baies rouges, d'orange sanguine et de subtils arômes de sous-bois. La bouche est moyennement corsée avec des tanins qui se sont raffermis depuis que je l'ai dégusté en barrique - ce qui en fait un Médoc plus " sérieux " qui nécessitera un peu plus de vieillissement que je ne l'avais estimé. Très bon. »
Le travail incessant de M. et Mme Dief depuis 2000 porte aujourd'hui ses fruits : dans un style tendu et racé, Clos Manou brille par une énergie vibrante, profonde, au fruité pur et éclatant, conjuguant allonge et densité. Incontestablement la plus belle révélation du nord Médoc dans les derniers millésimes.
En Magnum (Mai 2025) : « Brillants et subtils, les produits par cette propriété un peu hors des sentiers battus du Médoc affichent un caractère profondément médocain, entre droiture et fraîcheur aromatique. Capables de veillir avec grâce, mais également accessibles dès à présent, les derniers millésimes sont des modèles de style que tout amateur doit avoir dans sa cave. Ils feront à coups sûr leur effet. »
Le millésime 2017 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 93/100 « Depuis déjà quelques années, nous sommes sous le charme de cet "outsider" discret. Le 2017 est ample, riche, avec une pointe d'eucalyptuse et de café. La bouche est généreuse, ample mais termine sur une très belle finale fraîche. »
Vinous (N. Martin - décembre 2019) : 91/100 « Clos Manou 2017 est sombre et somptueux dans le verre, sans aucune dureté et avec un équilibre exceptionnel. La cerise noire surmûrie, le chocolat, les épices, le cuir neuf et la réglisse se fondent dans ce vin racé et flamboyant. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 92/100 « Délicat à l’attaque et très savoureux en milieu de bouche, le vin glisse tout le long de la dégustation avant de s’achever long, agréable et à peine marqué par le tannin. »
Le travail incessant de M. et Mme Dief depuis 2000 porte aujourd'hui ses fruits : dans un style tendu et racé, Clos Manou brille par une énergie vibrante, profonde, au fruité pur et éclatant, conjuguant allonge et densité. Incontestablement la plus belle révélation du nord Médoc dans les derniers millésimes.
En Magnum (Mai 2025) : « Brillants et subtils, les produits par cette propriété un peu hors des sentiers battus du Médoc affichent un caractère profondément médocain, entre droiture et fraîcheur aromatique. Capables de veillir avec grâce, mais également accessibles dès à présent, les derniers millésimes sont des modèles de style que tout amateur doit avoir dans sa cave. Ils feront à coups sûr leur effet. »
Situé à la pointe nord du Médoc, le vignoble du château La Goulée était à l'abandon en 2007 quand Cos d'Estournel l'a acquis. La volonté était d'y produire un vin intensément savoureux, friand et charmeur grâce à un encépagement quasi (90%) pur merlot.
Situé à la pointe nord du Médoc, le vignoble du château La Goulée était à l'abandon en 2007 quand Cos d'Estournel l'a acquis. La volonté était d'y produire un vin intensément savoureux, friand et charmeur grâce à un encépagement quasi (90%) pur merlot.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 91/100 « Le G d'Estournel 2022 est un vin puissant et dense. Une explosion de fruits noirs, de cuir, de réglisse, d'espresso et de clous de girofle est au premier plan. Ce Haut-Médoc à base de Merlot montre l'intensité naturelle d'une saison de croissance très chaude et sèche dans son volume et sa présence générale. Le 2022 est grand, audacieux et magnifique. Le temps passé dans le verre libère les arômes et donne une idée de ce qui se passera en vieillissant. »
J.M Quarin (Février 2025) : 91/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez aromatique, au fruité mûr et crémeux. Bouche pleine et très fruitée, se développant aromatique et grasse, avec du corps, du goût et des tannins enrobés. Vin riche. »
Situé à la pointe nord du Médoc, le vignoble du château La Goulée était à l'abandon en 2007 quand Cos d'Estournel l'a acquis. La volonté était d'y produire un vin intensément savoureux, friand et charmeur grâce à un encépagement quasi (90%) pur merlot.
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2023) : 91/100 « Touche fumée. Bouche immédiatement juteuse, se développant gourmande et savoureuse, avec de la tenue dans le déroulé. Longue finale séveuse et parfumée. C'est très bon. »
Situé à la pointe nord du Médoc, le vignoble du château La Goulée était à l'abandon en 2007 quand Cos d'Estournel l'a acquis. La volonté était d'y produire un vin intensément savoureux, friand et charmeur grâce à un encépagement quasi (90%) pur merlot.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 91/100 « G est un cru de bonne facture, forcément plus accessible, mais bien défini. »
Vinous (A. Galloni) : 92/100 « Contrat parfaitement rempli avec ce magnifique 2019, véritable gourmandise. »