Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 92/100 « Le Montlandrie 2015, élevé en chêne neuf à 45 %, présente un bouquet très succinct et cohérent avec des senteurs de mûre, de framboise, de biary et de léger esoressi. Le bois est magnifiquement assimilé. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, une acidité parfaitement dosée, un peu de sarriette et de sang séché faisant surface vers la finale pour compléter un vin glorieux qui tient ses promesses depuis la barrique. Superbe. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (A. Galloni-février 2017) : 91/100 « Le Montlandrie 2014 est magnifique. Sombre, sensuel et invitant, il offre un mélange fascinant de cerise rouge foncé, de sauge, de tabac, de menthol et de réglisse. Souple et expressif, c'est un excellent choix à boire dès maintenant et au cours des prochaines années. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 90/100 « Le Montlandrie 2012 a un bouquet ouvert et expressif avec un mélange de fruits rouges et noirs, de tabac et de légères senteurs de terre ; il est un peu plus floral que ses pairs, ce qui ajoute une couche supplémentaire de complexité. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples et un fin cordon d'acidité, légèrement épicée avec des notes de sarriette et de sang séché qui filtrent sur la finale granuleuse. Ce vin a du caractère, bien qu'il soit arrivé à maturité et qu'il ne s'améliorera pas davantage en bouteille. »
Beau vignoble de 10 ha (90% merlot) à Fronsac, où la propriétaire, Mme Rullier, s'investit sans compter. On retrouve son énergie dans Dalem, avec des vins, pleins et affirmés mais aussi dotés d'une réelle élégance.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 90/100 « Fidèle à son style fin et élancé, Dalem se distingue par son équilibre mesuré, joliment réglissé et fruité. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 92/100 « Dalem 2021 offre un nez ample de fruits noirs avec des notes de lavande et de pétales de rose, montrant une pureté de pastille tout à fait séduisante. La bouche est moyennement corsée avec des tannins fins, une texture très soyeuse, révélant juste une touche d'amertume sur la finale qui donne de la tension et de l'énergie. C'est un beau Fronsac qui vieillira bien au cours des 15 à 20 prochaines années. »
Jean-Marc Quarin (Avril 2022) : 90/100 « Couleur sombre et vive. Nez moyennement intense, au fruité précis. Aromatique. Délicat en entrée de bouche, très aromatique au milieu et surtout très bien construit, le vin s'étire en finale, agréable et parfumé, sans une once de tannin. C'est très bon. »
Beau vignoble de 10 ha (90% merlot) à Fronsac, où la propriétaire, Mme Rullier, s'investit sans compter. On retrouve son énergie dans Dalem, avec des vins, pleins et affirmés mais aussi dotés d'une réelle élégance.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 91/100 « Il recèle une matière conduite en douceur, s'exprimant sur les fruits noirs mûrs. Des tannins savoureux lui apportent une structure avenante. »
Vinous (N. Martin-décembre 2022) : 93/100 « Premier millésime sous la direction d'Eric Boissenot, présente un bouquet tertiaire infusé de sous-bois avec un mélange de fruits rouges et noirs, discret au début mais qui s'ouvre magnifiquement dans le verre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins, une fraîcheur d'agrumes et une concentration impressionnante, se développant progressivement vers une finale nette et précise. C'est un Fronsac de premier ordre qui donnera du plaisir pendant 20 à 25 ans. »
J-M Quarin (mars 2023) : 93/100 « Couleur sombre, intense et jeune. Nez très aromatique, fruité, frais, mûr et subtil. Nuances de fleurs et de fruits rouges. La bouche n'est qu'un monde aromatique suave et fondant, avec de l'éclat au milieu. Très jolie finale délicieuse et longue au grain très enrobé. Belle longueur. »
Beau vignoble de 10 ha (90% merlot) à Fronsac, où la propriétaire, Mme Rullier, s'investit sans compter. On retrouve son énergie dans Dalem, avec des vins, pleins et affirmés mais aussi dotés d'une réelle élégance.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 91/100 « Il recèle une matière conduite en douceur, s'exprimant sur les fruits noirs mûrs. Des tannins savoureux lui apportent une structure avenante. »
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 93/100 « Premier millésime sous la direction d'Eric Boissenot, présente un bouquet tertiaire infusé de sous-bois avec un mélange de fruits rouges et noirs, discret au début mais qui s'ouvre magnifiquement dans le verre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins, une fraîcheur d'agrumes et une concentration impressionnante, se développant progressivement vers une finale nette et précise. C'est un Fronsac de premier ordre qui donnera du plaisir pendant 20 à 25 ans »
J-M Quarin (mars 2023) : 93/100 « Couleur sombre, intense et jeune. Nez très aromatique, fruité, frais, mûr et subtil. Nuances de fleurs et de fruits rouges. La bouche n'est qu'un monde aromatique suave et fondant, avec de l'éclat au milieu. Très jolie finale délicieuse et longue au grain très enrobé. Belle longueur. »
Beau vignoble de 10 ha (90% merlot) à Fronsac, où la propriétaire, Mme Rullier, s'investit sans compter. On retrouve son énergie dans Dalem, avec des vins, pleins et affirmés mais aussi dotés d'une réelle élégance.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 90/100 « La bouche brille de par son éclat aromatique, son caractère juteux, sa structure fondante, sa finale parfumée, sans aucune dureté tannique. C’est très bon. »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Le Dalem 2017 est vinifié sans SO2 [...] Il présente un bouquet net et précis avec des arômes de mûre parfumée et de menthe fraîchement cueillie. La bouche est moyennement corsée avec des tanins au grain fin. C'est l'un des vins Dalem les plus élégants que j'ai dégustés ces dernières années, avec une finale nette et précise de premier ordre. »
Coralie de Boüard (fille d'Hubert de Boüard, propriétaire d'Angélus) s'est lancée dans un nouveau projet à Montagne Saint-Émilion. Dès son premier millésime (2016), Clos de Boüard est déjà un succès, gourmand, charnu, et diablement séducteur (85% merlot). "Une adresse de confiance pour l'amateur", selon Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - février 2020) : 92/100 « Clos de Boüard 2017 offre au nez de délicieux parfums de mûre, de brioche et de tabac léger, qui se révèlent joliment concentrés. La bouche est moyennement corsée avec une excellente trame acide. La texture est veloutée et très harmonieuse, avec de subtiles notes de goudron et de graphite en fin de bouche. Il s'agit d'un excellent Montagne Saint-Émilion de la famille de Boüard. Apogée 2022-2036. » (note remarquable pour un vin à moins de 25,00 € la bouteille)
Coralie de Boüard (fille d'Hubert de Boüard, propriétaire d'Angélus) s'est lancée dans un nouveau projet à Montagne Saint-Émilion. Dès son premier millésime (2016), Clos de Boüard est déjà un succès, gourmand, charnu, et diablement séducteur (85% merlot). "Une adresse de confiance pour l'amateur", selon Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (février 2019) : 90/100 « Couleur sombre, intense, belle et même profonde. Nez moyennement aromatique, fruité, mûr et suave. Caressant à l’attaque et finement charnu, le vin se développe savoureux, raffiné au toucher et très bien équilibré. Il s’envole en finale, long, séveux, savoureux et dense. C’est très bon ! Un superbe Outsider. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Le Clos de Boüard 2016 est un vin riche et puissant. La cerise rouge foncée, la framboise, le moka, la réglisse et le pétale de rose s'épanouissent dans ce Montagne Saint-Emilion succulent et puissant. Il s'agit d'un début impressionnant. Malgré cela, il sera intéressant de voir si ce vin peut être plus nuancé dans les prochains millésimes. »
Dans la même famille depuis 1609 (!), Moulin Haut-Laroque propose un Fronsac discipliné : mûr et riche sans excès, assagi par la douceur de ses merlots (65%) et par un élevage judicieux.
Dans la même famille depuis 1609 (!), Moulin Haut-Laroque propose un Fronsac discipliné : mûr et riche sans excès, assagi par la douceur de ses merlots (65%) et par un élevage judicieux.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 91/100 « Le Moulin Haut-Laroque 2020 s'est magnifiquement assemblé. Il offre un mélange excitant de cerise noire très mûre, de prune, de chocolat, de cuir neuf, de réglisse et d'épices, le tout dans un style racé et onctueux qui offre des tonnes de spontanéité. »
Dans la même famille depuis 1609 (!), Moulin Haut-Laroque propose un Fronsac discipliné : mûr et riche sans excès, assagi par la douceur de ses merlots (65%) et par un élevage judicieux.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (février 2022) : 90/100 « Caressant en entrée de bouche, très aromatique au milieu, très savoureux, le vin offre un déroulé moelleux. Il s'étire en finale long et tramé. C'est très bon. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 91/100 « Le Moulin Haut-Laroque 2019 est audacieux et somptueux dans le verre.Le fruit noir d'encre, le chocolat, le pice doux, la réglisse et le chêne neuf sont tous tournés vers le haut. Ce Fronsac tape-à-l'œil et extraverti a beaucoup à offrir. »
Dans la même famille depuis 1609 (!), Moulin Haut-Laroque propose un Fronsac discipliné : mûr et riche sans excès, assagi par la douceur de ses merlots (65%) et par un élevage judicieux.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 91/100 « Le Moulin Haut-Laroque 2018 est magnifique. De succulentes cerises noires, des prunes, du chocolat, des épices, du cuir neuf et de la réglisse se fondent dans le verre. Le style juteux et avancé est immensément séduisant. C'est un vin très bien fait. »
M. Durantou (propriétaire d'Église-Clinet décédé en 2020) produisait seulement 1500 caisses par an de son remarquable Lalande de Pomerol Les Cruzelles. Incomparablement supérieur aux Pomerol voisins de même prix.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Les Cruzelles se démarque par son délié en bouche, tout en offrant une densité ravissante. »
Vinous (N. Martin - février 2024) 93/100 « Le 2021 Les Cruzelles est tout aussi impressionnant qu'il l'était en primeur. L'assemblage est composé de 65 % de merlot et de 35 % de cabernet franc, avec le franc au premier plan. Les herbes séchées, le tabac, le cèdre, le cuir neuf, le menthol et la réglisse se succèdent en bouche. Profond et complexe, débordant d'énergie dynamique, le 2021 est un vin impeccable. »
M. Durantou (propriétaire d'Église-Clinet décédé en 2020) produisait seulement 1500 caisses par an de son remarquable Lalande de Pomerol Les Cruzelles. Incomparablement supérieur aux Pomerol voisins de même prix.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 93/100 « Le millésime 2018 Les Cruzelles a impressionné dès sa sortie de barrique. Maintenant en bouteille, il a développé un bouquet assez précoce et intense de mûre et de myrtille, une légère note salée et des senteurs terreuses émergeant avec le temps. La bouche est tout simplement merveilleuse : exquisément équilibrée, assez structurée mais pas inaccessible, l'acidité parfaitement jugée, avec une note ferreuse vers la finale. C'est le meilleur Lalande de Pomerol que l'on puisse trouver dans ce millésime. »
M. Durantou (propriétaire d'Église-Clinet décédé en 2020) produisait seulement 1500 caisses par an de son remarquable Lalande de Pomerol Les Cruzelles. Incomparablement supérieur aux Pomerol voisins de même prix.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 90/100 « Délicat en entrée de bouche, parfumé au milieu, fondant, sèveux, avec un goût finement truffé, le vin prend de l’allure entre le milieu et la finale, sans cesse conduit par beaucoup d’éclat aromatique. C’est incrachable. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2020) : 93/100 « Cerise noire surmûrie, mûre, chocolat, épices, cuir neuf et réglisse sont quelques-unes des nombreuses notes qui parcourent le 2017 Les Cruzelles. Onctueux et d'une maturité flamboyante, avec des tonnes d'intensité, le 2017 est une autre beauté à tomber par terre dans cette gamme de Denis Durantou. »
Depuis sa reprise en 1998 par M. De Neipperg (Clos de l'Oratoire, Canon-La Gaffelière, La Mondotte), d'Aiguilhe fait partie de la nouvelle génération de crus très ambitieux qui portent l'appellation des Côtes de Castillon à un niveau jamais atteint. Il vient de gagner une deuxième étoile dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 89+/100 « Le Château d'Aiguilhe 2019 présente un nez intense de mûre, de framboise, de cèdre et de poivre noir. La bouche est moyennement corsée, avec des arômes de fruits noirs séchés, une bonne extraction, mais j'ai besoin d'un peu plus d'expression du terroir sur la finale. »
Depuis sa reprise en 1998 par M. De Neipperg (Clos de l'Oratoire, Canon-La Gaffelière, La Mondotte), d'Aiguilhe fait partie de la nouvelle génération de crus très ambitieux qui portent l'appellation des Côtes de Castillon à un niveau jamais atteint. Il vient de gagner une deuxième étoile dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 94/100 « La propriété des Neipperg brille depuis toujours sur le socle calcaire de Castillon. [...] Stephan Von Neipperg et son fils Ludovic engagent aujourd'hui leur domaine dans une démarche éco-responsable. Les vins changent, le bois neuf a été réduit, [...] Les vins y gagnent en précision et n'ont jamais été aussi équilibrés, à l'instar du millésime 2018. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 92/100 « D''Aiguilhe 2018 offre un mélange fascinant de fruits rouges/violacés d'encre et beaucoup de structure pour correspondre. Il est impressionnant dans son groupe de pairs, mais a également besoin d'un peu de temps pour être à son meilleur. Le 2018 n'est pas aussi spectaculaire qu'il l'était en primeur, mais son énergie et sa profondeur sont intrigantes. »
Depuis sa reprise en 1998 par M. De Neipperg (Clos de l'Oratoire, Canon-La Gaffelière, La Mondotte), d'Aiguilhe fait partie de la nouvelle génération de crus très ambitieux qui portent l'appellation des Côtes de Castillon à un niveau jamais atteint. Il vient de gagner une deuxième étoile dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 92/100 « Le d'Aiguilhe 2016 est absolument délicieux. Succulent, nuancé et invitant, le 2016 a tant à offrir. La cerise mûre, la prune, le chêne français, le moka, le cuir neuf et les épices s'étoffent tous sans effort. Profond, généreux et résonnant, le 2016 capture tout ce que le millésime a de meilleur à offrir. Les tanins doux et soyeux ajoutent à l'attrait considérable du vin. Il serait agréable de voir un peu moins d'exagération dans le chêne. Le vin n'en a vraiment pas besoin. En 2016, le d'Aiguilhe est très joli. »
Depuis sa reprise en 1998 par M. De Neipperg (Clos de l'Oratoire, Canon-La Gaffelière, La Mondotte), d'Aiguilhe fait partie de la nouvelle génération de crus très ambitieux qui portent l'appellation des Côtes de Castillon à un niveau jamais atteint. Il vient de gagner une deuxième étoile dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2018) : 90/100 « Le 2015 d'Aiguilhe est un vin riche et voluptueux. Confiture de framboise, pétale de rose, épices et réglisse infusent ce vin capiteux et exotique de Stephan Von Neipperg. Je donnerais au 2015 au moins un an ou deux de plus pour s'épanouir pleinement. Le moka, le poivre blanc et les notes crayeuses confèrent au vin un registre supérieur attrayant. »
Avec 12 ha cultivés en biodynamie, certifié depuis le millésime 2007, Clos Puy-Arnaud est un des grands Côtes de Castillon qui n'ont rien à envier aux Saint-Émilion voisins.
Sans concession, le grand vin qui a fait la réputation du domaine est une cuvée authentique, droite, profonde, et taillée pour la garde.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Clos Puy Arnaud 2022 est un vin dense et extraverti. Les fruits noirs d'encre, la réglisse, le menthol et le clou de girofle sont amplifiés. Habituellement, le Clos Puy Arnaud est plus raffiné, mais en 2022, le millésime domine et parle fort. Malgré cela, il s'agit d'un vin convaincant. J'ai hâte de le déguster en le laissant vieillir en bouteille. »
J.M Quarin (Février 2025) : 90/100 « Couleur sombre, intense et jeune. Nez très aromatique, au fruité très mûr et truffé. Délicat en entrée de bouche, savoureux au milieu, avec un corps tendre, le vin finit séveux et long sur une tannicité finement crayeuse. »
Avec 12 ha cultivés en biodynamie, certifié depuis le millésime 2007, Clos Puy-Arnaud est un des grands Côtes de Castillon qui n'ont rien à envier aux Saint-Émilion voisins.
Sans concession, le grand vin qui a fait la réputation du domaine est une cuvée authentique, droite, profonde, et taillée pour la garde.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Un charme immédiat se dégage de ce vin. La matière peu concentrée cette année-là favorise l’expression minérale insistante, une particularité de ce vin floral, nuancé et énergique. Une personnalité forte et contemporaine. »
Avec 12 ha cultivés en biodynamie, certifié depuis le millésime 2007, Clos Puy-Arnaud est un des grands Côtes de Castillon qui n'ont rien à envier aux Saint-Émilion voisins.
Sans concession, le grand vin qui a fait la réputation du domaine est une cuvée authentique, droite, profonde, et taillée pour la garde.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) 94/100 Coup de ♥ « Une concentration de fruit hors normes, un relief de saveurs revigorantes. »
Vinous (Antonio Galloni - décembre 2022) : 95/100 « Le Clos Puy Arnaud 2020 est l'un des grands vins de ce millésime. Des notes de fruits rouges d'encre, d'orange sanguine, d'épices et de moka se succèdent sur le palais. Des tanins soyeux enveloppent la finale riche et invitante. L'énergie saline et la précision de ce vin sont tout simplement irréelles. Il s'agit d'un vin au caractère et à la personnalité extraordinaires. »
Avec 12 ha cultivés en biodynamie, certifié depuis le millésime 2007, Clos Puy-Arnaud est un des grands Côtes de Castillon qui n'ont rien à envier aux Saint-Émilion voisins.
Sans concession, le grand vin qui a fait la réputation du domaine est une cuvée authentique, droite, profonde, et taillée pour la garde.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 93/100 « Depuis son rachat en 2000 et sa conversion en agriculture biodynamique, le cru de Thierry Valette produit l'un des rouges à dominante de merlot les plus intéressants de la Rive droite. 2019 est un modèle de profondeur et d'élégance savoureuse. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 94/100 « Le Clos Puy Arnaud 2019 est fabuleux, comme il l'était en barrique. Pelucheux et magnifiquement étagé, avec des contours doux et des tanins soyeux. Les fruits noirs, le moka, les clous de girofle, la réglisse, la violette et les épices se développent alors que ce flamboyant Castillon Côtes de Bordeaux s'ouvre avec un peu d'air. En un mot : superbe »
Sélection des meilleures parcelles du Château de Carles (10 ha sur les 20 ha du Domaine), certainement le vin le plus fin et le plus ambitieux de Fronsac, faisant depuis 2000 jeu égal avec les meilleurs crus classés des coteaux de Saint-Émilion. Un grand vin qu'il faut savoir attendre 6 à 8 ans au minimum.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Haut-Carles 2022 est formidable. Les fruits noirs, le chocolat, l'espresso, la réglisse, la lavande et les fleurs séchées courent à travers le palais. Profond, charnu et assez puissant, le Haut-Carles a beaucoup à recommander. Les lecteurs trouveront un Fronsac qui équilibre l'opulence des textures et l'énergie du style. »
Sélection des meilleures parcelles du Château de Carles (10 ha sur les 20 ha du Domaine), certainement le vin le plus fin et le plus ambitieux de Fronsac, faisant depuis 2000 jeu égal avec les meilleurs crus classés des coteaux de Saint-Émilion. Un grand vin qu'il faut savoir attendre 6 à 8 ans au minimum.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 90/100 « Haut-Carles 2020 se montre bien plus démonstratif. Il propose une richesse qui séduira les palais en quête d'onctuosité. »
Le Point (mai 2024) : 15/100
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 92/100 « Le Haut-Carles 2020 est stellaire. Soyeux, profond et merveilleusement délinéé, le Haut-Carles 2020 impressionne dès le départ. Il montre une profondeur et une densité terribles, sans pour autant être lourd. Le fruit rouge foncé, l'orange sanguine, les épices, la menthe, les herbes séchées et le moka sont tous finement tricotés dans ce Fronsac éblouissant et merveilleusement élégant. »
Sélection des meilleures parcelles du Château de Carles (10 ha sur les 20 ha du Domaine), certainement le vin le plus fin et le plus ambitieux de Fronsac, faisant depuis 2000 jeu égal avec les meilleurs crus classés des coteaux de Saint-Émilion. Un grand vin qu'il faut savoir attendre 6 à 8 ans au minimum.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 93/100 « Matière harmonieuse mise en évidence par la sincérité du fruit. Ce cru se révèle techniquement bien bordé par un élevage millimétré. Haut-Carles continue d'impressionner par sa maîtrise et son style toujours tout en rondeur et en buvabilité immédiate. Assurément l'une des références du Fronsadais. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 92/100 « Le Haut-Carles 2018 est impressionnant. Des fruits noirs d'encre, de la lavande, des épices, du menthol, de la réglisse, de l'orange sanguine et de la menthe s'entremêlent dans un Fronsac opulent mais aussi nuancé pour sa taille. Magnifiquement mûr, généreux et invitant, le Haut-Carles a beaucoup à offrir. Il s'agit là d'un excellent millésime. »
Sélection des meilleures parcelles du Château de Carles (10 ha sur les 20 ha du Domaine), certainement le vin le plus fin et le plus ambitieux de Fronsac, faisant depuis 2000 jeu égal avec les meilleurs crus classés des coteaux de Saint-Émilion. Un grand vin qu'il faut savoir attendre 6 à 8 ans au minimum.
Débutée en 2003, l'aventure de Clos Louie est un cas d'école : vignoble de poupée (2,3 ha) sur un beau terroir argilo-calcaire de Castillon, culture attentive en biodynamie, double tri manuel pendant les vendanges, vinifications peu interventionnistes, élevage doux en demi-muids de 500 litres.
Louison et Léopoldine est l'autre vin du Clos Louie, hommage au cabernet franc (80%) sur des vignes âgées de 50 ans et plus. Fruité net et éclatant, fraîcheur aromatique remarquable : une véritable pépite !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 91/100 « Cabernet franc et merlot jouent à parts égales dans Louison et Léopoldine 2022, un vin plein d’éclat et doté d’un relief dynamique et salivant. Une fraîcheur très séduisante dans ce millésime solaire. »