Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin-décembre 2022) : 92/100 « La Chenade 2020 était très prometteur lorsque je l'ai dégusté en fût. En bouteille depuis le mois de mai, il a développé un joli nez de fruits rouges fondus, de menthe sauvage et de légers parfums de fenouil. Il est joliment délié et concentré. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples. Extrêmement pur, très harmonieux, ce Lalande-de-Pomerol monte discrètement en puissance vers une finale très satisfaisante et assez structurée. Superbe. »
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (février 2022) : 89/100 « Bouche moelleuse, au corps aérien et fondant, avec de la classe dans le toucher. Finale sèveuse et savoureuse, accompagnée d'une note d'orange confite dans la persistance. Très agréable. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « La Chenade 2019 est un vin racé et voluptueux qui ravira les lecteurs qui admirent les vins du regretté Denis Durantou. Pelucheux et succulent dans le verre, avec une présence formidable, le 2019 respire la classe du début à la fin. Les épices, le cèdre, le cuir et les accents de tabac se fondent dans un noyau de fruits à chair rouge. Persistant et vibrant du début à la fin, La Chenade est un gagnant. »
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2024) : 90/100 « Toujours un incontournable de Francs, Puygueraud se distingue par sa fraîcheur, sa concentration modérée, sa tendresse avenante en cœur de bouche. Déjà accessible et délicieux. »
Vinous (A.Galloni-décembre 2023) : 90/100 « Le Puygueraud 2021 est un joli rouge floral porté par des acides vifs et de beaux arômes. Moyennement corsé et assez gracieux, le 2021 est un charmeur. Les baies rouges séchées, le cèdre, le tabac doux et les épices persistent dans ce Côtes de Bordeaux délicat et discret. »
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A.Galloni-décembre 2022) : 91/100 « Le Puygueraud 2020 est devenu un vin magnifique. Des notes florales et épicées éclatantes apportent de la fraîcheur à ce Francs Côtes de Bordeaux fruité et souple. C'est le premier millésime où une partie du vin a été élevée en fûts, ce qui a donné au 2020 une fraîcheur attrayante que je n'avais pas ressentie en primeur. Confiture de framboise, fleurs blanches, pétale de rose et une touche de cannelle sont quelques-unes des notes qui agrémentent cet exquis Francs Côtes de Bordeaux de Nicolas Thienpont. »
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Propriété de 6 ha (92% merlot) acquise en 2011 par M. Thienpont (Pavie-Macquin, Larcis-Ducasse...). Après une période de rodage, Alcée prend son envol en 2016, se démarquant de ses voisins par l'accent mis sur la finesse, la minéralité et la distinction. Un vin plus en longueur qu'en largeur.
« Alcée est devenu le cru fétiche des amateurs soucieux de trouver d'excellents rapports qualité-prix parmi les vins du Bordelais », selon le Guide Bettane & Desseauve 2025.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A.Galloni-décembre 2023) : 91/100 « L'Alcée 2021 est rond, succulent et très expressif. Une multitude de notes de tête parfumées et savoureuses apportent une présence aromatique à ce charmant Côtes de Bordeaux de poids moyen de Nicolas Thienpont. Tous les éléments sont impeccablement équilibrés. L'acidité brillante vient renforcer le tout sur une finale agrémentée de jolies notes florales et salées. »
Propriété de 6 ha (92% merlot) acquise en 2011 par M. Thienpont (Pavie-Macquin, Larcis-Ducasse...). Après une période de rodage, Alcée prend son envol en 2016, se démarquant de ses voisins par l'accent mis sur la finesse, la minéralité et la distinction. Un vin plus en longueur qu'en largeur.
« Alcée est devenu le cru fétiche des amateurs soucieux de trouver d'excellents rapports qualité-prix parmi les vins du Bordelais », selon le Guide Bettane & Desseauve 2025.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin-janvier 2021) : 90/100 « Alcée 2018, The Castillon Côtes de Bordeaux de Nicolas Thienpont, présente un bouquet assez épais et dense de mûre opulente et de cassis. C'est certainement le plus somptueux des vins de Thienpont pour ce millésime. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins qui encadrent des couches de fruits noirs infusés de goudron et de tabac. Dichotomique par rapport au nez, la finale est structurée et d'un style un peu plus austère. J'apprécie la concentration et le caractère épicé de cet Alcée, qui mérite 2 à 3 ans de bouteille. Très beau, mais un peu comme un puzzle : il faut l'assembler dans sa tête ! »
En Magnum (avril 2021) : 92/100 « Voici l'un des meilleurs rapport qualité prix du millésime, confirmant l'irrésistible ascension de ce Castillon de grand charme, à la complexité aboutie avec un fruité pur et séduisant et à la finale très précise. »
Propriété de 6 ha (92% merlot) acquise en 2011 par M. Thienpont (Pavie-Macquin, Larcis-Ducasse...). Après une période de rodage, Alcée prend son envol en 2016, se démarquant de ses voisins par l'accent mis sur la finesse, la minéralité et la distinction. Un vin plus en longueur qu'en largeur.
« Alcée est devenu le cru fétiche des amateurs soucieux de trouver d'excellents rapports qualité-prix parmi les vins du Bordelais », selon le Guide Bettane & Desseauve 2025.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2023) : 91/100 « Alcée 2016 semble n'avoir pratiquement pas bougé depuis que je l'ai goûté il y a quatre ou cinq ans. Le nez poli est marqué par de vives notes de mûre et de framboise, agrémentées de subtiles notes de graphite. La bouche est bien équilibrée et désarmante de pureté. Il a perdu un peu de la rigidité qu'il avait dans sa jeunesse. Bien qu'il soit tentant, je préférerais le revoir dans quelques années. »
L'obsession de M. Despagne est de produire le vin le plus vivant qui soit dans son domaine familial planté en variétés anciennes de merlots et cabernets. Après une culture biologique à la vigne, tout intrant ou procédé moderne est banni au cuvier : pas de neige carbonique, levures, enzymes, acide tartrique, copeaux de chêne... Un pur jus de raisin fermenté, élevé en barrique durant 12 à 18 mois et mis en bouteille sans filtration, ni collage, promis à une longue et belle garde.
L'obsession de M. Despagne est de produire le vin le plus vivant qui soit dans son domaine familial planté en variétés anciennes de merlots et cabernets. Après une culture biologique à la vigne, tout intrant ou procédé moderne est banni au cuvier : pas de neige carbonique, levures, enzymes, acide tartrique, copeaux de chêne... Un pur jus de raisin fermenté, élevé en barrique durant 12 à 18 mois et mis en bouteille sans filtration, ni collage, promis à une longue et belle garde.
Les Trois Croix est la propriété personnelle de M. Léon qui fut directeur technique de Mouton-Rothschild pendant plus de 20 ans. il s'attache à produire des Fronsac francs, digestes, parmi les plus élégants et distingués du secteur. Les robes ne sont pas des plus foncées mais la puissance et l'harmonie sont bien là. En confiance !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 92/100 « Le 2022 Les Trois Croix offre un magnifique bouquet avec des senteurs de mûres et de myrtilles, une délicieuse influence marine et une grande vigueur. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et beaucoup de notes de fruits noirs purs et croquants, complétés par une touche de poivre blanc et de piment de la Jamaïque en fin de bouche. Il s'agit d'un très beau Fronsac de l'un de ses producteurs les plus réguliers. »
J-M Quarin (février 2025) : 90/100 « Beau rouge sombre pourpre. Nez intense, au fruité mûr et fond de cassis. Délicat à l'attaque, savoureux au milieu, le vin offre un joli déroulé, du corps et une finale longue et séveuse. C'est très bon. »
Les Trois Croix est la propriété personnelle de M. Léon qui fut directeur technique de Mouton-Rothschild pendant plus de 20 ans. il s'attache à produire des Fronsac francs, digestes, parmi les plus élégants et distingués du secteur. Les robes ne sont pas des plus foncées mais la puissance et l'harmonie sont bien là. En confiance !
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 89/100 « Les Trois Croix 2021 conserve un bouquet plutôt discret, mais bien défini, avec des notes de fruits noirs, de réglisse et de feuilles d'automne. La bouche est moyennement corsée avec des tanins doux, relativement charnue et caressante. Il est assez savoureux en fin de bouche avec un arrière-goût légèrement épicé. A déguster dans les huit à dix prochaines années. »
Les Trois Croix est la propriété personnelle de M. Léon qui fut directeur technique de Mouton-Rothschild pendant plus de 20 ans. il s'attache à produire des Fronsac francs, digestes, parmi les plus élégants et distingués du secteur. Les robes ne sont pas des plus foncées mais la puissance et l'harmonie sont bien là. En confiance !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin-février 2020) : 92/100 « La bouche est moyennement corsée avec des tannins très fins, une superbe ligne d'acidité et une finale sublime, très minérale, qui est de la pure classe. Ce vin est hautement recommandé. »
Les Trois Croix est la propriété personnelle de M. Léon qui fut directeur technique de Mouton-Rothschild pendant plus de 20 ans. il s'attache à produire des Fronsac francs, digestes, parmi les plus élégants et distingués du secteur. Les robes ne sont pas des plus foncées mais la puissance et l'harmonie sont bien là. En confiance !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 92/100 « Les Trois Croix 2016 est doté d'un superbe bouquet de cerises rouges et de framboises vivaces, agrémenté de pétales de rose et de senteurs de graphite. La bouche fraîche est moyennement corsée et bien équilibrée, offrant des tannins serrés et une fine perle d'acidité. La finale dense et solide suggère que ce vin aura besoin de trois ou quatre ans en bouteille. »
Sous la conduite de M. Thunevin (Valandraud), La Vieille Cure présente un profil plus gourmand et moins carré qu'auparavant et se révèle comme une des propriétés majeures de Fronsac.
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre, intense et vive. Nez moyennement aromatique, fruité et crayeux. Délicat en entrée de bouche, savoureux et rond au milieu, le vin caresse le palais avant de finir sur une touche tannique plus crayeuse et sans dureté. »
Sous la conduite de M. Thunevin (Valandraud), La Vieille Cure présente un profil plus gourmand et moins carré qu'auparavant et se révèle comme une des propriétés majeures de Fronsac.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - January 2022): 93/100 « La Vieille Cure 2019 est fabuleuse en bouteille comme elle l'était en barrique. Cerise rouge surmûrie, moka, épices, cuir neuf, réglisse, tabac et cèdre sont au rendez-vous dans ce Fronsac résolument flamboyant. Tous les éléments sont si bien équilibrés. »
Sous la conduite de M. Thunevin (Valandraud), La Vieille Cure présente un profil plus gourmand et moins carré qu'auparavant et se révèle comme une des propriétés majeures de Fronsac.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 92/100 « Le millésime 2018 de La Vieille Cure est une véritable bombe de plaisir. Riche, somptueux et d'une beauté exotique, le 2018 s'empare de tous les sens et ne se relâche jamais. Fruits noirs d'encre, épices, cuir neuf, réglisse, moka et chocolat se développent au fur et à mesure que ce Fronsac exubérant et profondément étagé montre ses courbes douces et ses charmes considérables. En un mot : fabuleux. »
Sous la conduite de M. Thunevin (Valandraud), La Vieille Cure présente un profil plus gourmand et moins carré qu'auparavant et se révèle comme une des propriétés majeures de Fronsac.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin-février 2020) : 91/100 « La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, une fine acidité, un chêne bien intégré et une finale détaillée et pleine de caractère qui est très satisfaisante. Ce Fronsac s'est certainement bien développé depuis son passage en barrique et nous le recommandons. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Montlandrie 2022 est un autre vin stellaire dans cette gamme des sœurs Durantou. Un bon pourcentage de cabernets (30%) dans l'assemblage apporte une élévation aromatique et une structure de soutien magnifique. Montlandrie est un vin complet. Il offre des arômes saisissants, un fruité étagé aux nuances sépia et un équilibre exquis, ainsi qu'une finale magnifiquement articulée et soutenue qui est tout simplement captivante. Le Montlandrie est un vin fabuleux dans son groupe de pairs, ou dans tout autre groupe d'ailleurs. »
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur noire. Nez intense, sentant bon les fruits mûrs et la truffe. Notes crémeuses et florales à l'agitation du verre. Raffiné dès l'entrée en bouche et très vite plein et juteux, le vin glisse dans le palais, monte et progresse encore en finale. Très bonne longueur. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Montlandrie peut être consideré comme le grand cru : pourtant issu de jeunes vignes, ce vin se demarque par une chair dense, cerclée par des tanins en taffetas. »
Jean-Marc Quarin (Avril 2022) 92/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, au fruité pur et mûr, se révélant profond à l'agitation du verre. Minutieux à l'attaque, avec du ressort au milieu et un raffinement aromatique et tannique, ce vin très bien construit s'allonge en finale, délicat et incrachable. Bonne longueur. » .
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 91+/100 « Montlandrie 2021 est un vin puissant et charnu. La cerise noire, le gravier de prune, l'encens, la terre brûlée, le tabac, le menthol et le clou de girofle sont au rendez-vous. En primeur, le Montlandrie était plus léger, mais il a gagné beaucoup de volume en milieu de bouche en vieillissant. Il sera intéressant de voir s'il s'adoucit. Le 2021 est un vin intrigant qui pourrait bien surprendre avec le temps. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2023) : 93/100 « Beau rouge sombre. Nez très aromatique, au fruité mûr. Nuance de réglisse. Délicat en entrée de bouche, aromatique au milieu, avec un corps fondant, le vin se développe ascendant et complexe. Longue finale séveuse, profonde, avec beaucoup de goût et aucun angle tannique. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 94/100 « Montlandrie 2020, le Côtes de Castillon de la famille Durantou, est fabuleux. C'est un autre vin très sérieux dans cette gamme. Un noyau de fruits sombres de merlot s'ouvre progressivement, libérant des notes compliquées d'épices, de cuir, d'encens et de réglisse. Il y a vraiment de la profondeur et de la gravité. Quelques années en cave semblent prudentes, car il y a beaucoup de vin ici. La pureté des saveurs est tout simplement saisissante. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 94/100 « Beaucoup d'allant pour ce cru présentant un joli muscle et une ampleur qui tapisse le palais. Très beau rebond qui en fait une priorité pour son immense rapport qualité prix. »
J-M Quarin (mars 2019) : 93/100 « Quel résultat ! On le doit à la main de l'homme et à l'effet de la climatologie de 2018 sur ce superbe terroir à dominante calcaire. Couleur sombre, intense et belle. Nez intense, fin, puissant, profond et légèrement truffé. Minutieux à l'attaque, très fruité au développement, avec de la majesté dans le toucher, le vin évolue sur une puissance contenue, vers une grande finale sèveuse, à la tannicité particulièrement équilibrée. C'est superbe. Denis Durantou ne ménage pas ses efforts pour bâtir dans ce coin de Castillon un grand cru. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 90/100 « Le Montlandrie 2018 présente le bouquet le plus mûr des 2018 de Denis Durantou, avec de copieuses cerises noires mêlées à des senteurs de myrtille et d'orange sanguine, presque exotiques compte tenu de la saison de croissance. La bouche est bien équilibrée avec des fruits noirs foncés, des notes de mine de crayon qui deviennent plus proéminentes vers la finale, où, comme je l'ai remarqué depuis la barrique, la composante boisée est juste un peu trop présente. Donnez-lui 2 à 3 ans en bouteille. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 91/100 « Nez très aromatique, au fruité mûr et profond. Délicat à l’attaque, suave au développement, avec un superbe toucher de bouche et beaucoup d’éclat dans la saveur, le vin s’achève long, savoureux, sur un grain fin. »
Vinous (N. Martin-février 2020) : 91/100 « La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, une texture très soyeuse avec des notes d'épices indiennes et brunes vers la finale élégante. D'un style accessible, ce vin pourra être bu au cours de la prochaine décennie. »
En 2008, Denis Durantou acquit ce Château pour lequel il eut un véritable coup de foudre. Splendide vignoble argilo-calcaire de 12 ha sur la première ligne de coteau de la Dordogne, Montlandrie est à Castillon (qu'il surplombe directement) l'équivalent d'Ausone à Saint-Émilion.
Comme dans ses autres propriétés (L'Église-Clinet, Les Cruzelles, La Chenade...), Denis Durantou mit en oeuvre tout son savoir-faire et son perfectionnisme pour y produire un vin frais et floral, doté d'un fruité croquant et juteux. Peu de crus bordelais méritent aussi bien le qualificatif de "vin vibrant" que Montlandrie.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (février 2019) : 93/100 « Le meilleur vin jamais fait. La note est exceptionnellement élevée pour un cru produit dans les côtes de Castillon. Couleur sombre, intense, pourpre et belle. Nez intense, fin, fruité, pur et mûr. Minutieux à l’attaque et de suite noble dans son toucher et ses arômes au développement, le vin évolue complexe, plein d’énergie. Il s’envole en finale sans jamais perdre son gras. C’est superbe. Un merveilleux Outsider. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 90/100 « Le Montlandrie 2016 présente un bouquet attrayant et bien défini de mûre, de framboise, de cèdre et d'arômes subtils de figue, le chêne étant bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec des tannins succulents, et un style assez goudronneux, avec une douce adhérence sur la finale saline, presque inspirée du Left Bank. Un vin fin, mais un peu sombre pour l'instant. »