Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
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Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Vinous (N. Martin - février 2025) : 90/100 « Le Clerc Milon 2015 a un bouquet lâche avec une dominante de fruits rouges. Il est légèrement herbacé et terreux dans son style et ne respire pas vraiment la typicité de Pauillac. La bouche est mi-corsée, charnue, avec des tannins souples et une acidité vive, bien qu'il manque un peu de complexité, surtout en fin de bouche. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 96/100 « Tenu par de superbes cabernet-sauvignon, ce 2022 est profond et structuré. Il déploie de belles notes de fruits rouges, avec un coté juteux et frais. Il s'étire très bien. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Duhart-Milon 2022 est un grand vin riche. Ample et expansif en bouche, il a beaucoup à offrir. Le Cabernet Sauvignon occupe le devant de la scène avec des notes de fruits noirs, de graphite et des nuances savoureuses expressives qui s'ouvrent à l'aération. D'immenses bandes de tanins crémeux enveloppent le tout, pour aboutir à une finale substantielle et explosive. Le 2022 est un Duhart impressionnant. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fin, subtil, fruité, parfumé et plus vanillé à l'agitation du verre. Délicat en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, le vin avance sur un toucher raffiné et un corps fondant. Il caresse le palais avant de s'achever long sur un grain fin. C'est délicieux ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 92/100
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 96/100 « Tenu par de superbes cabernet-sauvignon, ce 2022 est profond et structuré. Il déploie de belles notes de fruits rouges, avec un coté juteux et frais. Il s'étire très bien. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Duhart-Milon 2022 est un grand vin riche. Ample et expansif en bouche, il a beaucoup à offrir. Le Cabernet Sauvignon occupe le devant de la scène avec des notes de fruits noirs, de graphite et des nuances savoureuses expressives qui s'ouvrent à l'aération. D'immenses bandes de tanins crémeux enveloppent le tout, pour aboutir à une finale substantielle et explosive. Le 2022 est un Duhart impressionnant. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fin, subtil, fruité, parfumé et plus vanillé à l'agitation du verre. Délicat en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, le vin avance sur un toucher raffiné et un corps fondant. Il caresse le palais avant de s'achever long sur un grain fin. C'est délicieux ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 92/100
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « On perçoit la trame des cabernets qui lui confèrent de la droiture, une belle définition, mais son élevage est encore un peu marqué. La finale s’étire avec de l’éclat et des tanins fondus, sur des notes fumées. »
Vinous (A. Galloni - Décembre 2023) : 92/100 « Le Duhart-Milon 2021 est une très agréable surprise. Il y a très peu de merlot cette année, et cela semble se traduire par un Duhart-Milon sérieux, parfois sombre. La cerise noire, les graviers, les épices, la réglisse et le graphite se construisent magnifiquement avec le temps dans le verre. Le 2021 est magnifique. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 93/100
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 95/100 « Il est à la fois sérieux et délié comme il le faut, avec un côté très racé. Son équilibre très digeste est remarquable, il termine sur des tanins racés au toucher de soie, avec une pointe mentholée. »
J-M Quarin (mars 2023) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 92/100 « Duhart-Milon 2020 présente un bouquet élégant et bien défini, avec des arômes de fruits rouges mûrs, de crayon et de feuilles d'automne, qui gagnent progressivement en intensité dans le verre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins plutôt secs qui rendent de l'éclat et du charme pour le moment. Malgré cela, je me contenterais de le mettre en cave pendant trois ou quatre ans, car il a du potentiel. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2020) : 94/100 « Duhart 2016 confirme ses belle dispositions, le vin est solide, intense et doté d'une très belle matière avec une finale sapide et juteuse. »
Quarin (février 2020) : 94/100 « Nez très aromatique et très médocain. Touche d’encre, sur un fond de fruits frais et mûrs. Délicieux de part en part, ce vin fond dans la bouche, avec de la classe dans le toucher et une finale au grain tannique raffiné et même parfumé. C’est long, très bon et le meilleur que je connaisse. »
Vinous (Antonio Galloni - janvier 2020) : 93/100 « Le Duhart-Milon 2016 est absolument magnifique. Je suis agréablement surpris de constater à quel point il a gagné en texture et en poids au cours de son vieillissement. Sombre, ample et magnifiquement étagé dans le verre, le 2016 est tout à fait saisissant. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 90/100 « Le Duhart Milon 2015 a un nez ouvert sur le chocolat noir et les fruits rouges infusés par l'espresso. Le chêne masque peut-être une partie de la fraîcheur et de l'expression du terroir. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 97/100 « Les nombreux amateurs du cru seront ravis de déguster ce 2022 impressionnant de concentration et de densité, tout en conservant la "touche" Lynch-Bages qui lui confère ce toucher de tanins soyeux et ce velouté. Un vin charmeur taillé pour la longue garde. »
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 96/100 « Le Lynch-Bages 2022 présente un bouquet bien défini, très pur et concentré, avec des notes de fruits noirs, de cèdre et de graphite. Des notes de violette pressée apparaissent à l'aération. Ce vin a gagné en pixellisation en barrique. La bouche est tendue et vive, avec des touches de graphite qui s'épanouissent à l'aération, de sorte qu'il ne peut provenir que de Pauillac. Ce Lynch-Bages regorge d'énergie. Le 2022 donnera beaucoup de plaisir au cours des 30 prochaines années ou plus. Un vin superbe. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, belle, aux reflets noirs. Nez intense, subtil, fruité, suave et profond. Délicat en entrée de bouche, suave, le vin évolue juteux, ample et profond, vers une grande finale complexe. Trame très serrée comme souvent, mais la puissance de la saveur domine le tannin. Décantation bien venue. Millésime très identitaire. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 97/100 « Les nombreux amateurs du cru seront ravis de déguster ce 2022 impressionnant de concentration et de densité, tout en conservant la "touche" Lynch-Bages qui lui confère ce toucher de tanins soyeux et ce velouté. Un vin charmeur taillé pour la longue garde. »
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 96/100 « Le Lynch-Bages 2022 présente un bouquet bien défini, très pur et concentré, avec des notes de fruits noirs, de cèdre et de graphite. Des notes de violette pressée apparaissent à l'aération. Ce vin a gagné en pixellisation en barrique. La bouche est tendue et vive, avec des touches de graphite qui s'épanouissent à l'aération, de sorte qu'il ne peut provenir que de Pauillac. Ce Lynch-Bages regorge d'énergie. Le 2022 donnera beaucoup de plaisir au cours des 30 prochaines années ou plus. Un vin superbe. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, belle, aux reflets noirs. Nez intense, subtil, fruité, suave et profond. Délicat en entrée de bouche, suave, le vin évolue juteux, ample et profond, vers une grande finale complexe. Trame très serrée comme souvent, mais la puissance de la saveur domine le tannin. Décantation bien venue. Millésime très identitaire. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 97/100 « La matière est impressionnante, dense et charnue. A ce stade, l'élevage ressort encore un peu et l'enrobe. Un vin flamboyant, dans le style du cru, au grand potentiel : il faudra l'attendre. Il s'étire très longuement sur des tanins crémeux. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 93+/100 « Le Lynch-Bages 2020 présente un nez curieusement rétro, montrant des fruits noirs terreux mélangés à des feuilles de laurier et des copeaux de crayon. La bouche est moyennement corsée avec des tanins ronds et souples. Audacieux et affirmé, il présente beaucoup de concentration, bien qu'il n'ait pas la même précision en fin de bouche que ses pairs dans cette catégorie. Il s'agit là d'un autre grand vin qui entre peut-être dans une adolescence difficile. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 97/100 « Nez sur une aromatique fine, notes mentholées, cacao, fruits rouges grillés, cèdre. Bouche dense, ampleur généreuse équilibrée par une fraîcheur tonique. Tanins épicés et déjà affinés. Belle allonge sur cette complexité. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96/100 « Lynch-Bages 2018 a un bouquet décadent, presque sexy, avec de luxueux fruits noirs et myrtilles, une touche de glycérine qui se développe à l'aération. La bouche est dense et puissante avec une cerise noire luxuriante, de la myrtille et beaucoup de notes vanillées. La texture est soyeuse, la finale est merveilleuse de poids et d'équilibre, mais il est clair qu'il a besoin de nombreuses années en bouteille. »
En Magnum (avril 2021) : 97/100 « Impressionnant par sa robe noire et son corps monumental qui sera à la mesure du nouveau chai. Profondeur, éclat et évidente typicité Bages avec déjà le tabac blond et le cèdre. Grand avenir en perspective. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 97/100 « Nez sur le fruité noir mûr, menthe sauvage, cacao. Bouche profonde, du gras, grande expression aromatique, beaux tanins gras et mûrs. finit riche et complexe. Un beau Lynch-Bages dans tous son ADN. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 97/100 « Le Lynch-Bages 2016 est primaire mais concentré au nez avec des senteurs de myrtille et de violette écrasée. C'est puissant, sensuel et tout à fait glorieux. La bouche est moyennement corsée avec des tannins accrocheurs, affirmée et structurée tout en conservant une grande fraîcheur. Une subtile note marine apparaît en fin de bouche. C'est l'un des vins les plus profonds produits par le domaine ces dernières années... peut-être même jamais ? »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 95/100 « Lynch-Bages 2010 a un nez serré : fruits noirs introvertis, cèdre et menthe. Des touches de fleur d'iris et de boîte à crayons émergent à l'aération. Ces arômes disent : « Revenez plus tard ». La bouche est moyennement corsée, avec un fruit noir séveux, une acidité fine et une prise ferme. Elle est linéaire en fin de bouche, mais elle est fraîche avec une note marine sous-jacente attrayante qui anime et complexifie la finale. Ce vin est exceptionnel, mais il ne s'adresse qu'à ceux qui ont de la patience. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 92/100 « Lynch-Bages 2009 est très bien défini au nez, tout en étant puissant avec beaucoup de fruit à revendre : mûre, fraise des bois, canneberge mélangés à du cèdre et une légère touche mentholée. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples, une acidité fine et légèrement épicée avec une superbe concentration. Il exerce une douce emprise du début à la fin, puis offre une finale engageante et épicée qui persiste en bouche. Excellent. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2005 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 98/100 « Sphérique et velouté en bouche, matière onctueuse et tanins relevés par une fraîcheur mentholée. Finit très long sur une déclinaisons de senteurs élégantes. Irrésistible ! »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 93/100 « Lynch-Bages 2005 est plus opulent au nez avec des notes camphrées de fruits noirs et rouges, d'écorce d'orange desséchée et de sauge. Avec le temps, il développe une belle composante florale. La bouche est moyennement corsée avec des tanins serrés, audacieux et cuivrés avec beaucoup de substance. Ce n'est pas un vin timide, mais il est agrémenté de poivre blanc en fin de bouche. Peut-être est-il un peu effronté pour les mêmes ? Mais donnez-lui du temps car il finira par s'adoucir. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le 2021 confirme sa grandeur ! Le vin offre un raffinement et une subtilité absolument magnifiques. Doté d’un fruité frais, il déroule en bouche avec beaucoup de suavité et de soyeux. La matière est superbe, le fruit est posé et les tanins sont en dentelle. Un des vins les plus charmeurs du millésime. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 93/100 « Le Pontet Canet 2021, qui contient un peu plus de petit verdot que d'habitude, a été mis en bouteille en juillet. Il présente un bouquet très attrayant avec des notes pures de fruits noirs, de cèdre et de légères fleurs d'iris. Il n'est pas puissant, mais il est élégant. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et une acidité vive. Un soupçon de moka se cache à l'arrière-plan, mais la finale est d'une fraîcheur satisfaisante, presque citrique. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 96/100
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 98/100 « Concentré mais raffiné. 2020 est [...] très intenseen saveurs, magnifique de texture et promis à un bel avenir. »
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 95/100 « Assez structuré en finale (plus que les millésimes précédents) avec une poignée douce et insistante. Ce vin est incontestablement plus classique que le 2019 récemment dégusté à l'aveugle et devrait bien mûrir en bouteille. Excellent. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2017 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2021) : 97/100 « Dans un style qui n'est pas sans évoquer les grands vins bourguignons, 2017 est aussi un vin de texture, avec une petite touche poudrée et un grain très fin. Allongé et svelte, mais tellement persistant. »
Vinous (Antonio Galloni - Mars 2020) : 95/100 « Le Pontet-Canet 2017, un magnifique et séduisant Pauillac, est racé et exceptionnellement poli, avec des notes florales en tête qui font ressortir l'éclat naturel des fruits rouges. Les tanins super soyeux ajoutent à l'immédiateté et à l'attrait du vin. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2015 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2021) : 94/100 « Double décanté. Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité mûr et suave. Touche crémeuse. Bouche tendre, savoureuse, aimable, mais manquant d'envolée en milieu de bouche. Jolie finale à la tannicité enrobée, à la saveur un peu dépouillée par la double décantation. »
Vinous (N. Martin - février 2025) : 93/100 « Pontet Canet 2015 présente un beau bouquet avec un mélange de fruits rouges et noirs, de cèdre et de subtiles senteurs de tabac. La bouche est moyennement corsée avec des tannins charnus et mûrs, une texture douce et un éclat de chêne neuf de grande classe avec une pointe d'épices qui anime la finale. Le 2015 est d'une grande pureté malgré ses dix ans d'âge - c'est un vin que je garderais en cave. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2012 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 93/100 « La bouche est veloutée, assise sur une matière en demi-puissance, mais le coeur de bouche est harmonieux. Les tanins sont bien intégrés et l'ensemble séduit par sa texture élégante et soyeuse. Très plaisant 2012. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Pontet-Canet 2010 est d'une couleur sensiblement profonde par rapport à ses pairs. Le nez est exceptionnellement mûr et doux, plus de fruits rouges que de fruits noirs, peut-être un peu confituré et confiturier. Je n'aurais jamais deviné qu'il s'agissait d'un 2010 de la Rive Gauche. La bouche est moyennement corsée et charnue, avec beaucoup de fruits rouges teintés de graphite. D'un style accessible et sensuellement satisfaisant, il manque juste d'un peu d'épine dorsale en finale. J'ai de meilleurs souvenirs des bouteilles précédentes, mais je n'ai pas pu identifier de défaut spécifique. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Pontet-Canet 2010 est d'une couleur sensiblement profonde par rapport à ses pairs. Le nez est exceptionnellement mûr et doux, plus de fruits rouges que de fruits noirs, peut-être un peu confituré et confiturier. Je n'aurais jamais deviné qu'il s'agissait d'un 2010 de la Rive Gauche. La bouche est moyennement corsée et charnue, avec beaucoup de fruits rouges teintés de graphite. D'un style accessible et sensuellement satisfaisant, il manque juste d'un peu d'épine dorsale en finale. J'ai de meilleurs souvenirs des bouteilles précédentes, mais je n'ai pas pu identifier de défaut spécifique. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2008 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Une rencontre fortuite avec le Pontet-Canet 2008 avant une petite dégustation de vins sud-africains m'a rappelé à quel point c'est un beau vin. Il y a beaucoup de fruits noirs au nez, agrémentés de graphite. Le cèdre est moins présent que dans la dégustation précédente. La bouche est moyennement corsée, un peu plus sèche et plus austère que les millésimes récents, mais clairement bien équilibrée avec une surabondance de fraîcheur sur la finale légèrement herbacée. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».