Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Parmi les crus les plus mûrs et les plus hédonistes de l'appellation jusqu'en 2000, Clinet a depuis, par touches successives (15% de cabernets dans les vignes, installation technique dernier cri...), gagné en distinction et en raffinement. Ceci sans perdre l'intensité aromatique et la profondeur de chair qui sont ses marques de fabrique. Aujourd'hui, Clinet tutoie incontestablement les sommets de Pomerol.
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2024) : 95/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité mûr. Touche crémeuse. Caressant à l'attaque, savoureux au milieu, le vin se développe sur un toucher crémeux et un corps fondant, avec du goût et une finale puissante. Fond boisé à fondre avec le temps. Attendre. »
Parmi les crus les plus mûrs et les plus hédonistes de l'appellation jusqu'en 2000, Clinet a depuis, par touches successives (15% de cabernets dans les vignes, installation technique dernier cri...), gagné en distinction et en raffinement. Ceci sans perdre l'intensité aromatique et la profondeur de chair qui sont ses marques de fabrique. Aujourd'hui, Clinet tutoie incontestablement les sommets de Pomerol.
Le millésime 2014 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2024) : 95/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité frais et crémeux. Immédiatement juteux dès l'entrée en bouche, le vin se développe savoureux, très fruité, certes moins velouté que le 2015, mais avec une stimulation plus vivante. Finale longue et profonde. C'est très bon. Une belle surprise. »
Vinous (N. Martin - février 2024) : 90/100 « Clinet 2014 manque un peu de vigueur au nez, des fruits noirs goudronneux avec des copeaux de crayon et du tabac, un peu rive gauche dans le style indiquant un peu de cabernet franc mûr. La bouche est moyennement corsée avec des tanins saturés, charnue avec une acidité fine, mais elle manque d'amplitude et de personnalité sur la finale où elle semble se laisser aller. »
Délicatement parfumé (bouquet aromatique toujours très floral, violette et pivoine en tête) et d'une élégante suavité quel que soit le millésime, La Conseillante occupe une place à part au sein des plus grands Pomerol, peut-être le plus attachant d'entre eux. Sa finesse et sa texture supérieurement sensuelle et raffinée ne sont pas sans évoquer les grands crus de la Côte de Nuits (côté Vosne-Romanée). Toutefois, derrière l'apparente amabilité de La Conseillante se cache un vin de belle énergie et doté d'une excellente aptitude à la garde.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 96/100 « 2022 regroupe à lui seul toute la justesse, la gourmandise et la profondeur que l'on attend d'un grand pomerol. Le nez séduit par ses notes de fruits bleus, de grillé et de tourbe. Le toucher est ample, classieux, avec un tanin poudré et juste. Un vin de grande garde. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 98/100 « La Conseillante 2022 est un vin magnifique et racé. Souple et très expressif, La Conseillante est positivement stellaire. Le 2022 est une Conseillante verticale, statuaire. Aussi séduisant que soit le 2022 à ce stade, il a manifestement besoin d'être conservé au cellier pour atteindre son apogée. Le temps passé dans le verre libère les arômes, avec des acides vifs qui gardent le contrôle. L'orange sanguine, la lavande, les épices, le menthol et l'espresso s'attardent sur la finale soutenue. La directrice technique Marielle Cazaux a produit ce qui est sans doute le vin le plus élégant de Pomerol. Le 2022 a été récolté du 5 septembre pour les merlots jusqu'au 20 septembre, date à laquelle le dernier cabernet franc a été rentré. Il a été élevé dans 70 % de bois neuf, 27 % de fûts déjà remplis et 3 % d'amphores. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 98/100
Délicatement parfumé (bouquet aromatique toujours très floral, violette et pivoine en tête) et d'une élégante suavité quel que soit le millésime, La Conseillante occupe une place à part au sein des plus grands Pomerol, peut-être le plus attachant d'entre eux. Sa finesse et sa texture supérieurement sensuelle et raffinée ne sont pas sans évoquer les grands crus de la Côte de Nuits (côté Vosne-Romanée). Toutefois, derrière l'apparente amabilité de La Conseillante se cache un vin de belle énergie et doté d'une excellente aptitude à la garde.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « 2021 est de prime abord plus terrien, avec des notes de petites baies des bois, de papier d'Arménie et de baie de rose, mais il s'ouvre rapidement vers le paniers de fruits bleus. Dans un style en dentelle, il sera prêt d'ici quatre à cinq ans. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « La Conseillante 2021 est brillante, fraîche et fruitée, avec un beau caractère de fruits rouges et un bel équilibre. Les baies écrasées, le pétale de rose, la lavande, la craie, la menthe et le psice sont magnifiquement délimités. En 2021, La Conseillante est un Pomerol de tension, de nerf et de délicatesse plus que de volume. Le temps passé dans le verre fait ressortir des notes florales éclatantes qui prolongent la finale. L'assemblage est composé de 85 % de merlot et de 15 % de cabernet franc qui ont passé 18 mois en chêne français - 70 fûts neufs, 27 % de fûts déjà remplis et 3 % d'amphores. Le 2021 est un vin d'une grande classe. J'ai hâte de voir comment il va vieillir. Le 2021 possède un sens de la structure bourguignonne, faute d'un meilleur terme. Les vendanges ont commencé le 28 septembre pour les merlots, très tard par rapport aux dernières années, et se sont poursuivies jusqu'au 1er octobre. Les cabernets ont été récoltés les 6 et 12 octobre. Les valeurs d'alcool (13 %) et de pH (3,6) sont celles d'une autre époque. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
Délicatement parfumé (bouquet aromatique toujours très floral, violette et pivoine en tête) et d'une élégante suavité quel que soit le millésime, La Conseillante occupe une place à part au sein des plus grands Pomerol, peut-être le plus attachant d'entre eux. Sa finesse et sa texture supérieurement sensuelle et raffinée ne sont pas sans évoquer les grands crus de la Côte de Nuits (côté Vosne-Romanée). Toutefois, derrière l'apparente amabilité de La Conseillante se cache un vin de belle énergie et doté d'une excellente aptitude à la garde.
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 90/100 « La Conseillante 2011 a un bouquet en retrait mais délimité avec des arômes de terre, de bois de santal et de boîte à crayons, peut-être en manque d'un peu plus de fruit. La bouche est moyennement corsée avec des tannins fermes, un bon corps, mais il manque un peu de tension et de complexité. Un Pomerol plus musclé, c'est certain, mais il pourrait s'améliorer en vieillissant en bouteille. Solide, mais loin de la classe produite aujourd'hui par Marielle Cazaux. »
Délicatement parfumé (bouquet aromatique toujours très floral, violette et pivoine en tête) et d'une élégante suavité quel que soit le millésime, La Conseillante occupe une place à part au sein des plus grands Pomerol, peut-être le plus attachant d'entre eux. Sa finesse et sa texture supérieurement sensuelle et raffinée ne sont pas sans évoquer les grands crus de la Côte de Nuits (côté Vosne-Romanée). Toutefois, derrière l'apparente amabilité de La Conseillante se cache un vin de belle énergie et doté d'une excellente aptitude à la garde.
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « La Conseillante 2009 présente un bouquet sophistiqué de grande classe avec des fruits noirs et rouges magnifiquement définis, mélangés à de la truffe noire et à des pétales de rose pressés. Le chêne est ici complètement absorbé. La bouche est moyennement corsée avec des tanins mûrs et saturés, une fine ligne d'acidité, fraîche et tendue avec une sensation de minéralité en finale. »
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2020) : 97/100 « L'Évangile 2017, 100 % merlot pour cette première fois, est tout aussi impressionnant en bouteille qu'en barrique. Les fruits noirs, les épices, le moka, le cuir et la réglisse infusent le 2017 avec une profondeur notable. Le temps passé dans le verre fait ressortir de jolies notes aromatiques en tête qui ajoutent de la fraîcheur. L'Évangile est un vin d'une beauté extraordinaire. Le gel a anéanti la moitié de la récolte potentielle, y compris tout le cabernet franc, ce qui signifie que le Grand Vin est 100% merlot. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 96/100 « Minutieux dans son toucher dès l’attaque, puis finement gras en milieu de bouche, fondant et parfumé, le vin prend une dimension supplémentaire entre le milieu et la finale, pour s’achever long, noble et surtout incrachable. »
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 93/100 « L'Évangile 2015 élaboré par le précédent vigneron Jean-Pierre Vazart, est dépassé par le Hosanna 2015 qui l'a précédé. Ce dernier manque un peu de vigueur et de tension. De légers arômes de cèdre et de truffe émergent avec le temps. Il est intéressant de noter que deux bouteilles dégustées à New York lors de Vinous Icons étaient plus fraîches et plus vives que celle de Londres. La bouche est légèrement meilleure, avec une texture visqueuse. Il est puissant et boisé, avec une bonne densité et une fraîcheur décente vers la finale grillée. Il se termine sur une note élevée, d'où ma note, mais les arômes sont insuffisants. »
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 90/100 « Le Château L'Évangile 2012 présente un peu plus d'exotisme au nez par rapport au 2012 La Fleur de Gay qui l'a précédé : des senteurs de chocolat noir et de camphre, qui coalescent joliment à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et de l'acidité, des cerises aigres mélangées à du poivre blanc et une douce adhérence avec des notes de cuir vers la finale. J'ai l'impression que ce vin a de la personnalité et de l'ADN de Pomerol, bien qu'il flirte avec l'exotisme. »
Un vigneron talentueux et exigeant, M. Durantou, au service d'un grand terroir au ras de l'église de Pomerol (entre Lafleur et Clinet), a révélé puis propulsé L'Église-Clinet parmi les plus grands crus de Pomerol. L'Église-Clinet est assurément l'un des plus subtils, par sa précision aromatique, sa finesse de grain et sa texture satinée. Bien trop tôt disparu en 2020, M. Durantou a heureusement trois filles unies et bien décidées à poursuivre avec brio l'œuvre de leur père.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 98/100 « L'Église-Clinet signe un millésime majeur. Nez profond de fruits noirs et zan, bouche dense et savoureuse, portée par des tanins d'une précision remarquable et une finale interminable. »
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 99/100 « Nöemie Durantou a remarqué que ce millésime est le meilleur qu'elle ait jamais connu en ce qui concerne le merlot, et étant donné que L'Eglise-Clinet 2022 contient 90 % de merlot, cela laisse présager un fabuleux Pomerol. Durantou a également mentionné que ses vins étaient un peu plus « timides » que le jour précédent, bien que le bouquet n'ait eu besoin que de quatre ou cinq minutes pour se déployer avec des parfums merveilleusement délimités et concentrés de cerises noires, de pivoine, d'orange sanguine et de pierre concassée. Exquisément équilibré, le palais a une texture de cachemire grâce à des tanins souples, qui gagnent en densité au fur et à mesure. La finale est puissante et très soutenue, masquant très bien les 14,6 % d'alcool grâce à sa colonne vertébrale acide, bien que l'on sente une pointe en fin de bouche. Le 2022 est un L'Eglise-Clinet construit pour le long terme et qui poursuit l'étonnante série de performances du domaine. »
J-M Quarin (février 2025) : 99/100 « Couleur sombre et profonde. Nez intense, fruité, sentant bon la framboise, une nuance de truffe. Complexe. Superbe entrée en bouche aérienne. Puis le vin se met à fondre, gras, sur une saveur de fruits noirs. Remarquablement équilibré, il évolue lentement, minutieux et profond vers une grande finale complexe et séveuse où reviennent des nuances de fruits noirs et d'épices. Le tout dans une grande délicatesse. C'est superbe et difficile à cracher. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 98/100
Un vigneron talentueux et exigeant, M. Durantou, au service d'un grand terroir au ras de l'église de Pomerol (entre Lafleur et Clinet), a révélé puis propulsé L'Église-Clinet parmi les plus grands crus de Pomerol. L'Église-Clinet est assurément l'un des plus subtils, par sa précision aromatique, sa finesse de grain et sa texture satinée. Bien trop tôt disparu en 2020, M. Durantou a heureusement trois filles unies et bien décidées à poursuivre avec brio l'œuvre de leur père.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le grand vin subjugue par sa dimension, son tranchant et sa précision. La générosité du style enveloppe une tension d'agrumes, le tout cerclé par des tanins poudrés d'une grande précision. Il se conservera au moins deux décennies. Ici, densité ne rime pas avec muscle, mais bien avec extrait savoureux. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « L'Eglise-Clinet 2021 est une merveille. Sombre, dense et aussi un peu sombre, le 2021 est bordé de généreux fruits noirs, de gravier, d'épices, de cuir neuf, de réglisse et d'encens. Les lecteurs devront lui laisser le temps de s'épanouir. J'admire particulièrement sa substance, sa résonance texturale et son équilibre général. Les lecteurs assez chanceux pour posséder le 2021 peuvent s'attendre à des années de consommation exceptionnelle une fois que les tanins se seront un peu assouplis. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 96/100
Trotanoy brille par la richesse et l'élégance de son bouquet en petits comme en grands millésimes. Cette régularité, qui lui permet d'être comparé parfois avantageusement à son grand frère Pétrus, a bâti sa réputation auprès des amateurs du monde entier. Propriété Moueix.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 95/100 « Le Trotanoy 2015 est impressionnant, même si je ne le classerais pas parmi les meilleurs de la dernière décennie. Il présente un bouquet engageant et complexe avec des arômes de cerise noire, de moka, de balsamique et de feuilles d'automne qui se combinent à merveille. Il a le nez d'un pomerol vieilli pendant plus de dix ans. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, un équilibre exquis et de l'assurance. Il est frais et vibrant avec un peu plus de clarté et de minéralité que le La Fleur-Pétrus. Le 2015 est un merveilleux Pomerol qui se boit délicieusement dès maintenant. »
Trotanoy brille par la richesse et l'élégance de son bouquet en petits comme en grands millésimes. Cette régularité, qui lui permet d'être comparé parfois avantageusement à son grand frère Pétrus, a bâti sa réputation auprès des amateurs du monde entier. Propriété Moueix.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 93/100 « Le Trotanoy 2012 offre un nez de mûre, de réglisse et d'huile de truffe, d'intensité modérée, et il gagne en complexité à l'aération. La bouche est bien équilibrée avec un fin cordon d'acidité, une douce accroche, beaucoup de poivre blanc mélangé à du clou de girofle, même si je cherche juste un peu plus de profondeur en finale. Fin, et revenant après 10 minutes, il semble prendre de l'ampleur. »
Trotanoy brille par la richesse et l'élégance de son bouquet en petits comme en grands millésimes. Cette régularité, qui lui permet d'être comparé parfois avantageusement à son grand frère Pétrus, a bâti sa réputation auprès des amateurs du monde entier. Propriété Moueix.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 94+/100 « Le Trotanoy 2010 est revêche et en retrait au nez, clairement un Pomerol exigeant une longue garde. La bouche est moyennement corsée, son châssis tannique audacieux commence à peine à s'adoucir. Il présente un superbe cordon d'acidité qui s'insinue dans le fruit noir tertiaire aux nuances de poivron, avec une prise en main douce mais insistante en finale. Il s'agit clairement d'un Pomerol de grande qualité et j'adore son arrière-goût de truffe. Excellent. »
Propriété ô combien familiale puisque Vieux Château Certan est un (le dernier ?) des très rares grands crus bordelais où les propriétaires, Alexandre Thienpont et son fils Guillaume depuis 2011, sont toujours les seuls maîtres de chai à bord. Grâce à ses cabernets francs (30% en moyenne), Vieux-Certan offre une version ferme, distinguée et raffinée de Pomerol, plus près de Lafleur que de Petrus. Son millésime 2022 croule sous les éloges, comme par exemple dans Vinous dont les deux dégustateurs (Galloni et Martin) l'ont chacun noté 100/100.
Propriété ô combien familiale puisque Vieux Château Certan est un (le dernier ?) des très rares grands crus bordelais où les propriétaires, Alexandre Thienpont et son fils Guillaume depuis 2011, sont toujours les seuls maîtres de chai à bord. Grâce à ses cabernets francs (30% en moyenne), Vieux-Certan offre une version ferme, distinguée et raffinée de Pomerol, plus près de Lafleur que de Petrus. Son millésime 2022 croule sous les éloges, comme par exemple dans Vinous dont les deux dégustateurs (Galloni et Martin) l'ont chacun noté 100/100.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 99/100 « La finesse du style de la famille Thienpont et le cabernet parfaitement élevé offrent un 2022 légendaire. Dans la lignée des 2019 et 2020, il séduit par ses tanins nobles et sa grâce racée. Cinquante années de garde l'attendent, au bas mot. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 100/100 « Le Vieux Château Certan 2022 est un véritable coup de foudre. Le lecteur trouvera un vin magique, un Pomerol qui satisfait à la fois les sens intellectuels et hédonistes. Vertical et explosif, avec une présence étonnante, le 2022 VCC a tout simplement tout ce qu'il faut. Le temps passé dans le verre révèle une myriade de nuances. Les fruits bleus et violacés, la lavande, les épices, le menthol, la réglisse et la prune s'envolent littéralement du verre. Les tanins sont présents, mais ils sont presque enterrés par le fruit profond et stratifié du vin. Mais plus que tout, c'est l'équilibre, le sens total de l'harmonie, qui est le plus impressionnant. Je ne peux tout simplement pas demander plus au 2022, d'où sa note élevée et bien méritée. Bravo ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 99/100
Propriété ô combien familiale puisque Vieux Château Certan est un (le dernier ?) des très rares grands crus bordelais où les propriétaires, Alexandre Thienpont et son fils Guillaume depuis 2011, sont toujours les seuls maîtres de chai à bord. Grâce à ses cabernets francs (30% en moyenne), Vieux-Certan offre une version ferme, distinguée et raffinée de Pomerol, plus près de Lafleur que de Petrus. Son millésime 2022 croule sous les éloges, comme par exemple dans Vinous dont les deux dégustateurs (Galloni et Martin) l'ont chacun noté 100/100.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 99/100 « La finesse du style de la famille Thienpont et le cabernet parfaitement élevé offrent un 2022 légendaire. Dans la lignée des 2019 et 2020, il séduit par ses tanins nobles et sa grâce racée. Cinquante années de garde l'attendent, au bas mot. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 100/100 « Le Vieux Château Certan 2022 est un véritable coup de foudre. Le lecteur trouvera un vin magique, un Pomerol qui satisfait à la fois les sens intellectuels et hédonistes. Vertical et explosif, avec une présence étonnante, le 2022 VCC a tout simplement tout ce qu'il faut. Le temps passé dans le verre révèle une myriade de nuances. Les fruits bleus et violacés, la lavande, les épices, le menthol, la réglisse et la prune s'envolent littéralement du verre. Les tanins sont présents, mais ils sont presque enterrés par le fruit profond et stratifié du vin. Mais plus que tout, c'est l'équilibre, le sens total de l'harmonie, qui est le plus impressionnant. Je ne peux tout simplement pas demander plus au 2022, d'où sa note élevée et bien méritée. Bravo ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 99/100
Propriété ô combien familiale puisque Vieux Château Certan est un (le dernier ?) des très rares grands crus bordelais où les propriétaires, Alexandre Thienpont et son fils Guillaume depuis 2011, sont toujours les seuls maîtres de chai à bord. Grâce à ses cabernets francs (30% en moyenne), Vieux-Certan offre une version ferme, distinguée et raffinée de Pomerol, plus près de Lafleur que de Petrus. Son millésime 2022 croule sous les éloges, comme par exemple dans Vinous dont les deux dégustateurs (Galloni et Martin) l'ont chacun noté 100/100.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Le grand vin vin profite d'un équilibre d'antan, avec une ossature svelte enrobée par un fruit pulpeux et gourmand. Au nez, c'est un festival, avec une intensité minérale et iodée irrésistible. La bouche est allongée par les tanins quasi-médocains (23% de cabernets franc et sauvignon) qui ponctuent la finale. »
Vinous (A. Galloni - février 2024) : 98/100 « Vieux Château Certan 2021 pourrait bien être le vin du millésime en Rive Droite. Intensément aromatique et nuancé, d'un équilibre exceptionnel, le 2021 est d'emblée d'une grande classe. Bien sûr, il n'a pas la richesse ou la densité de la plupart des millésimes précédents, mais il compense largement par une sublime harmonie et une grande fraîcheur. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
Propriété ô combien familiale puisque Vieux Château Certan est un (le dernier ?) des très rares grands crus bordelais où les propriétaires, Alexandre Thienpont et son fils Guillaume depuis 2011, sont toujours les seuls maîtres de chai à bord. Grâce à ses cabernets francs (30% en moyenne), Vieux-Certan offre une version ferme, distinguée et raffinée de Pomerol, plus près de Lafleur que de Petrus. Son millésime 2022 croule sous les éloges, comme par exemple dans Vinous dont les deux dégustateurs (Galloni et Martin) l'ont chacun noté 100/100.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 95/100 « Le Vieux Château Certan 2015 peut être très variable d'une bouteille à l'autre. Après deux exemples décevants, celui-ci est sorti du lot. Il présente un bouquet intense et puissant de cerise noire, de tabac, d'épices brunes et d'arômes limoneux. Il est très complexe et convaincant. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins granuleux et fermes, entourés de beaucoup de chair. Il est vibrant, avec un peu de chocolat noir et d'espresso en fin de bouche, sans pour autant masquer le terroir. Je dois mettre un point d'interrogation à ma note en raison de sa variabilité. »
En Magnum (2024) : 98/100 « Une magnifique rencontre entre puissance, opulence, fraîcheur et intensité. Grand millésime, associant beaucoup de séduction générosité et saveur. »
Comme Pétrus, Le Pin est 100% merlot. Mais si Pétrus a adopté ces dernières années un style plus classique, Le Pin reste un vin d'hédoniste, souvent exubérant, parfois même exotique. Et contrairement à Pétrus, Le Pin est beaucoup plus rare (500 caisses par an).
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2024) : 97/100 « Après une série de millésimes puissants, 2021 renoue avec un style fringant, où l'accessibilité et la délicatesse sont les maître-mots, rappelant les équilibres des bordeaux d'il y a trente ans, avec la précision technique d'aujourd'hui. Jacques Thienpont, le propriétaire, souligne que son 2021 lui rappelle la grande réussite de son 1994, considéré comme la meilleur réussite de ce millésime. On ne peut tomber que sous son charme, avec une forme d'immédiateté, alliant des petites baies noires, du pot-pourri et du zan. Le toucher est remarquable, avec des tanins en taffetas, et un équilibre quasi-ligérien. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 91/100 « Le Pin 2021 s'est révélé magnifique. L'élevage a fait des merveilles dans la construction de la texture. Sombre, souple et super expressif, le 2021 est fabuleux dès le départ. Les acides brillants résonnent sur la finale saisissante. La cerise noire, la prune, le cuir, les épices, le graphite et le jasmin lui confèrent une touche exotique. Le temps passé dans le verre libère les arômes. Le 2021 est un vin magnifique. »
Petrus s'est imposé depuis les années 50 comme le vin le plus prisé (et le plus spéculatif) de Bordeaux, fort de son encépagement pur merlot, de sa suavité délicate, de ses tanins raffinés et d'une distribution exclusive (production 25000 à 30000 bouteilles par an). Disponible en caisse bois d'origine d'une bouteille.
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Le Petrus 2011 a beaucoup de fruit au nez, élégant et floral, groseille et framboise, fruit d'une touche de pierre broyée et de pétale de rose pressé. La bouche est moyennement corsée avec une finale ronde, veloutée et assez dense. »
Petit vignoble de 8 ha de vieilles vignes (70% merlot), appartenant à Clos Fourtet. Superbe vin, équilibré et au fruité savoureux, pour un prix somme toute très modeste, devenu à juste raison grand cru classé en 2012. Entièrement d'accord avec La Revue du Vin de France : « Le meilleur rapport qualité/prix de Saint-Émilion ».
Petit vignoble de 8 ha de vieilles vignes (70% merlot), appartenant à Clos Fourtet. Superbe vin, équilibré et au fruité savoureux, pour un prix somme toute très modeste, devenu à juste raison grand cru classé en 2012. Entièrement d'accord avec La Revue du Vin de France : « Le meilleur rapport qualité/prix de Saint-Émilion ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 90/100 Coup de ♥ « La famille Cuvelier signe encore une réussite en 2021. C'est un saint-émilion typique établi en demi-corps, à l'élevage boisé judicieux qui met en valeur le fruit et des notes d'épices charmantes. N'hésitez pas à l'ouvrir dès à présent. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 91/100 « Le Côte de Baleau 2021 est un délice. Dodu, juteux et en avant, le 2021 est un beau choix à boire dès maintenant et au cours de la prochaine décennie. Les tannins soyeux enveloppent un noyau de cerises rouges sucrées, avec des touches de cèdre, de tabac à pipe, de menthe et de moka qui persistent. Charmant. »
Petit vignoble de 8 ha de vieilles vignes (70% merlot), appartenant à Clos Fourtet. Superbe vin, équilibré et au fruité savoureux, pour un prix somme toute très modeste, devenu à juste raison grand cru classé en 2012. Entièrement d'accord avec La Revue du Vin de France : « Le meilleur rapport qualité/prix de Saint-Émilion ».
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 91/100 « Le vin de ce domaine de la famille Cuvelier,[...] offre un profil dynamique et sensible, caractérisé par un fruit généreux. Classé en 2012, confirmé en 2022, le cru a produit sur les sols argilo-calcaire et argilo-sableux du plateau, un 2018 d'une complexité relative mais d'une jolie texture. »
Racheté en 2008 par la famille Vauthier, ce cru idéalement situé entre La Gaffelière et Canon La Gaffelière a nécessité une importante restructuration : les 10 hectares ont été intégralement replantés pour atteindre une densité digne d’un premier grand cru classé (12600 pieds à l’hectare).
La forte proportion de cabernets francs dans l’assemblage (40%) tempère la nature solaire du terroir (exposé sud), et apporte aux vins une trame élégante tout en longueur. Les millésimes récents nous convainquent qu’il est urgent de s’intéresser à Haut-Simard.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint Georges...), Haut-Simard a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Haut-Simard 2022 est un vin explosif. Une explosion de cerise rouge foncé/prune rouge, de moka, de cuir neuf et de pétales de rose envahit le palais. Vibrant et exubérant, le 2022 n'a besoin que de quelques années en bouteille pour s'épanouir pleinement, même s'il est déjà très impressionnant aujourd'hui. Le Haut-Simard est le joyau caché de la gamme Vauthier cette année. »
Racheté en 2008 par la famille Vauthier, ce cru idéalement situé entre La Gaffelière et Canon La Gaffelière a nécessité une importante restructuration : les 10 hectares ont été intégralement replantés pour atteindre une densité digne d’un premier grand cru classé (12600 pieds à l’hectare).
La forte proportion de cabernets francs dans l’assemblage (40%) tempère la nature solaire du terroir (exposé sud), et apporte aux vins une trame élégante tout en longueur. Les millésimes récents nous convainquent qu’il est urgent de s’intéresser à Haut-Simard.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint Georges...), Haut-Simard a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) « Avec 40% de cabernet franc, ce cru se distingue avec éloquence. Les notes boisées et vanillées bien mariées et adjointes de cerise fraîche et de mûre, le caractère rond et velouté du palais composent un ensemble convaincant, porté par une belle fraîcheur. Un vin d’élégance au joli potentiel. »
J-M Quarin (mars 2023) : 92/100 « Minutieux en entrée de bouche, juteux au milieu, avec de l'éclat dans la saveur et du corps, le vin file droit, vers une finale à la trame minutieuse. Grain fin. C'est incrachable. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 93/100 « Haut-Simard 2020 est inhabituel cette année car il comprend 40% de cabernet franc. Cela se traduit dans le profil aromatique et l'énergie générale du vin. Les fruits rouges brillants, les herbes séchées, la menthe, la sauge et le tabac s'ouvrent d'abord. Le 2020 est un peu réticent, mais il offre une énergie formidable et des tonnes de nuances. »
Racheté en 2008 par la famille Vauthier, ce cru idéalement situé entre La Gaffelière et Canon La Gaffelière a nécessité une importante restructuration : les 10 hectares ont été intégralement replantés pour atteindre une densité digne d’un premier grand cru classé (12600 pieds à l’hectare).
La forte proportion de cabernets francs dans l’assemblage (40%) tempère la nature solaire du terroir (exposé sud), et apporte aux vins une trame élégante tout en longueur. Les millésimes récents nous convainquent qu’il est urgent de s’intéresser à Haut-Simard.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint Georges...), Haut-Simard a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 92/100 « Le Haut-Simard 2019 a été récolté du 18 septembre au 5 octobre. À l'aveugle, on pourrait croire qu'il s'agit d'un vin de la rive gauche ; les 40 % de cabernet franc sont très expressifs et confèrent des arômes attrayants de cèdre et de tabac blond. La bouche est fraîche et vibrante en attaque, avec des tanins souples mais assez fermes. Beaucoup plus salin et certainement plus complexe que le Simard, il offre un poids impressionnant et une touche d'épices en finale. Très classe. »
Racheté en 2008 par la famille Vauthier, ce cru idéalement situé entre La Gaffelière et Canon La Gaffelière a nécessité une importante restructuration : les 10 hectares ont été intégralement replantés pour atteindre une densité digne d’un premier grand cru classé (12600 pieds à l’hectare).
La forte proportion de cabernets francs dans l’assemblage (40%) tempère la nature solaire du terroir (exposé sud), et apporte aux vins une trame élégante tout en longueur. Les millésimes récents nous convainquent qu’il est urgent de s’intéresser à Haut-Simard.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint Georges...), Haut-Simard a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
Le millésime 2018 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 92/100 « Vin délicieux, au toucher de bouche soyeux, se développant parfumé et sans angle tannique. Belle longueur savoureuse. Là encore, le cabernet franc joue un rôle majeur. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 91/100 « Le Haut-Simard 2018 est vif et expressif sur le plan aromatique, avec une structure de poids moyen et des tonnes de verve. La cerise rouge sucrée, l'orange sanguine, la menthe, la sauge, la lavande et les pétales de rose agrémentent ce saint-émilion vibrant et magnifiquement nuancé. »
Racheté en 2008 par la famille Vauthier, ce cru idéalement situé entre La Gaffelière et Canon La Gaffelière a nécessité une importante restructuration : les 10 hectares ont été intégralement replantés pour atteindre une densité digne d’un premier grand cru classé (12600 pieds à l’hectare).
La forte proportion de cabernets francs dans l’assemblage (40%) tempère la nature solaire du terroir (exposé sud), et apporte aux vins une trame élégante tout en longueur. Les millésimes récents nous convainquent qu’il est urgent de s’intéresser à Haut-Simard.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint Georges...), Haut-Simard a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 93/100 « Haut-Simard 2016 présente un bouquet de premier ordre avec de magnifiques arômes bien définis de mûre, de bruyère et de framboise qui jaillissent du verre [...] La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs séveux, une densité et une concentration fines et une ligne d'acidité très fine. Le chêne (30 % de bois neuf) est parfaitement intégré et la finale est longue. C'est le meilleur Haut-Simard que j'ai goûté. Excellent. »
J-M Quarin (avril 2017) : 91/100 « Bouche minutieuse à l’attaque, se développant raffinée au toucher et fondante. Le vin évolue juteux et noble avec beaucoup de goût et une longue finale séveuse. Un délice ! »