Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Petit domaine situé à proximité de Troplong-Mondot et Valandraud, acquis en 2009 par Jacques Thienpont (déjà propriétaire du Ch. Le Pin). Cuvée aussi exceptionnelle que confidentielle (6 hectares) !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « L'If 2022 est vraiment magnifique. Sombre, racé et étagé, le 2022 capture toute l'intensité naturelle de l'année tout en restant si poli. L'If est composé de 80% de merlot (provenant de quatre parcelles) et de 20% de cabernet franc (provenant de deux parcelles), répartis sur l'ensemble du territoire de Saint-Émilion. Le 2022 a passé 14 mois en fûts de chêne français, dont 50 % neufs. Un peu plus de cabernet franc qu'à l'origine et une parcelle située sur le plateau de Saint-Étienne de Lisse (à partir de 2020) ont apporté plus de fraîcheur aromatique et de vivacité, ce qui est particulièrement bénéfique dans les millésimes torrides. Aussi bon que soit le 2022 aujourd'hui, j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de réserve. »
J-M Quarin (février 2025) : 96/100 « Couleur intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, fruité et subtil. Gras en entrée de bouche, gras au milieu, avec de la classe dans le toucher et beaucoup de goût, le vin caresse le palais. Il évolue juteux, profond et noble en finale sur un grain fin. C'est délicieux et très long. »
Petit domaine situé à proximité de Troplong-Mondot et Valandraud, acquis en 2009 par Jacques Thienpont (déjà propriétaire du Ch. Le Pin). Cuvée aussi exceptionnelle que confidentielle (6 hectares) !
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « L'If 2021 est un vin de puissance et de réserve. Il dégage une densité et une richesse notables, mais dans le style plus retenu de l'année. La cerise noire, le graphite, les épices, le cuir, le tabac et le chocolat remplissent les couches sans effort. Le 2021 est un vin magnifique, mais il ne sera pas prêt à être apprécié à sa juste valeur avant un certain nombre d'années. Malgré cela, il s'est révélé exquis lors de deux dégustations distinctes. »
Devenu premier grand cru classé en 2012, juste récompense de 20 ans d'effort de M. Neipperg (Canon-La Gaffelière, Clos de l'Oratoire) sur ce petit vignoble de 4,5 ha jouxtant Troplong-Mondot. Un très grand Saint-Émilion, charnu, intense et pénétrant, mais à la production confidentielle.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Un 2021 stylisé et d’une grande élégance. Il conjugue la race du terroir, la fraîcheur du millésime et la patte séductrice du vinificateur. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 95/100 « La Mondotte 2021 est une beauté dense et puissante, avec des profondeurs de cerise noire, de prune, de gravier, de terre brûlée, de cuir, de lavande et d'encens. En 2021, la Mondotte est assez savoureuse et sombre, un style avec de la fraîcheur et moins d'opulence que la plupart des années. C'est aussi un vin qui a besoin de temps. J'imagine que le 2021 sera toujours un saint-émilion assez sombre. »
Devenu premier grand cru classé en 2012, juste récompense de 20 ans d'effort de M. Neipperg (Canon-La Gaffelière, Clos de l'Oratoire) sur ce petit vignoble de 4,5 ha jouxtant Troplong-Mondot. Un très grand Saint-Émilion, charnu, intense et pénétrant, mais à la production confidentielle.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « La Mondotte 2016 est ouvert et généreux sur un nez intense de cerise noire, de mûre de Boysen, de tabac et de cèdre. A l'aération, il s'affine et perd de sa fougue initiale. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, un fin perlage d'acidité et beaucoup de somptuosité, bien que je la trouve un peu sèche et abrupte en finale, où je recherche plus de persistance. »
Second vin d’Ausone, rare (1 ha en production sur les 7 ha du vignoble d'Ausone), à peine moins puissant mais tout aussi racé et énergique que le Grand Vin. Et comme lui doté d'une remarquable capacité de vieillissement.
Comme l'ensemble des vignobles Vauthier (Ausone, La Clotte, Moulin Saint-Georges, Haut-Simard...), Chapelle d'Ausone a entamé sa conversion en agriculture biologique en 2020.
La millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 96/100 « La Chapelle d’Ausone 2020 développe une magnifique palette de notes épicées, un fruité mûr et ensoleillé se dégage. Un vin doté d’une formidable concentration en extraits secs, soulignés par un élevage encore présent. La masse tannique se fondra tranquillement dans une mati ère très dense, si dense qu’elle portera ce vin sereinement dans les prochaines décennies. »
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 93/100 « Chapelle d'Ausone a un nez ample de chêne grillé, qui continue d'ombrager le fruit noir sous-jacent. Pourtant, dans le verre, l'ensemble est cohérent et permet enfin au terroir de s'exprimer. La bouche est moyennement corsée, avec des tannins granuleux et une fine acidité. Il est très harmonieux, avec une finale précise et persistante. La minéralité et la tension sont merveilleuses. »
Sur un sous-sol de graves profondes (alluvions de l'Isle), Figeac a fort logiquement opté pour un encépagement plus médocain que libournais : 70% cabernet (moitié sauvignon et moitié franc), 30% merlot. D'où un naturel, une fraîcheur et une distinction sans pareils à Saint-Émilion. Le dernier classement 2022 a corrigé à juste titre l'omission du précédent en accordant à Figeac le titre de 1er grand cru classé A.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 Coup de ♥ « Un grand raffinement de nez et de texture. La matière fine en bouche se déploie avec une énergie incroyable.[...]La finale réglissée est d’une élégance inouïe, provoquant une salivation, à la fois douce et persistante, exceptionnelle. »
The Wine Advocate (Mars 2024) : 96+/100 « Transcendant les défis du millésime, le Figeac 2021 performe brillamment à la dégustation. [...] Il est pur et vibrant, son noyau enveloppant de fruits étant encadré par des tanins ultra-raffinés, et se terminant par une longue finale florale. Un vin que je ne manquerai pas d'ajouter à ma propre cave. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 94/100 « Le Figeac 2021 a été mis en bouteille la mi-juillet précédente après avoir été stocké en cuve pendant deux mois pour gagner en milieu de bouche. Il présente un bouquet sensuel avec des arômes purs de fraise des bois et de framboise, de boîte à crayons et de tabac qui émanent de la composante cabernet. Ce vin semble un peu fermé le jour même. La bouche est moyennement corsée avec un soupçon de chocolat noir et de cuir à l'entrée et une fine sapidité tout au long, s'épanouissant doucement vers sa finale composée, mentholée et rafraîchissante. »
Sur un sous-sol de graves profondes (alluvions de l'Isle), Figeac a fort logiquement opté pour un encépagement plus médocain que libournais : 70% cabernet (moitié sauvignon et moitié franc), 30% merlot. D'où un naturel, une fraîcheur et une distinction sans pareils à Saint-Émilion. Le dernier classement 2022 a corrigé à juste titre l'omission du précédent en accordant à Figeac le titre de 1er grand cru classé A.
La millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 100/100 « Figeac a toujours été un vin d'une grande personnalité, de celle qui vous marque. Avec ce 2018, on entre dans une autre dimension. Le vin est à la fois mélange d'énergie et perfection formelle. L'énergie, c'est la nature même de Figeac. [...] Ce qui est certain, c'est que le 2018 fera date. »
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 97/100 « La puissance sanguine et la chaleur de l’année ont pris du galon. Si l’on reste dans le profil solaire, le caractère de Figeac prend le dessus à l’élevage, affinant l’ensemble. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 98/100 « Le Figeac 2018 est un saint-émilion royal, aristocratique. Vertical au toucher, Figeac possède une énergie et une vivacité stupéfiantes dès le départ. La cerise noire, la prune, le moka, la réglisse, le pétale de rose et les épices s'ouvrent avec un peu d'amabilité. Le Figeac est un peu retenu aujourd'hui, mais ce ne sera plus un problème dans quelques années. Le Figeac n'est pas un vin évident, mais il est superbe. »
Sur un sous-sol de graves profondes (alluvions de l'Isle), Figeac a fort logiquement opté pour un encépagement plus médocain que libournais : 70% cabernet (moitié sauvignon et moitié franc), 30% merlot. D'où un naturel, une fraîcheur et une distinction sans pareils à Saint-Émilion. Le dernier classement 2022 a corrigé à juste titre l'omission du précédent en accordant à Figeac le titre de 1er grand cru classé A.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 97/100 « Figeac 2015 présente un bouquet opulent, infusé de menthe poivrée, avec des senteurs pures de fruits noirs, de violette et d'eucalyptus qui émergent avec le temps. Le chêne est bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec des tanins soyeux. Ce n'est pas un vin puissant de la Rive Droite, mais il est pixelisé et précis. La colonne vertébrale de l'acidité est bien jugée, et elle aplanit délicatement la finale saline et réglissée. Le 2015 est excellent »
J-M Quarin (février 2023) : 96/100 « Couleur sombre, intense, belle et profonde. Nez très aromatique, fin, au fruité mûr et encore une fois accompagné par de la fumée et du bois. Caressant à l'attaque, suave en milieu de bouche, le vin évolue savoureux, juteux et noble, avec beaucoup de profondeur dans la saveur. Grande longueur dans laquelle reviennent les arômes. Superbe. »
Sur un sous-sol de graves profondes (alluvions de l'Isle), Figeac a fort logiquement opté pour un encépagement plus médocain que libournais : 70% cabernet (moitié sauvignon et moitié franc), 30% merlot. D'où un naturel, une fraîcheur et une distinction sans pareils à Saint-Émilion. Le dernier classement 2022 a corrigé à juste titre l'omission du précédent en accordant à Figeac le titre de 1er grand cru classé A.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - octobre 2021) : 98/100 « Le Figeac 2010 a une teinte profonde. Le nez est d'abord assez introverti, avec des fruits noirs, de l'encens, des touches de figue et de mûre. La bouche est magnifiquement équilibrée avec un fin cordon d'acidité, un magnifique fruit pur, de la mûre et de la prune noire, doux compte tenu du millésime. Ce 2010 s'est adouci au cours des deux dernières années et gagne en profondeur en fin de bouche. Très persistant, il ne fait que commencer à montrer ce dont il est capable. »
Brillant jusque dans les petits millésimes (1992 fut un chef-d'œuvre), Angélus est devenu en 20 ans une star mondiale en produisant des vins denses, charnus et supérieurement veloutés tout en demeurant distingués.
La grande classe !
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 96/100 « Le vin a conservé sa robe violine et les parfums de fruits noirs de ses débuts. Le fruit soyeux, crémeux, et le velouté sont pour l'instant sous l'emprise d'un boisé tourbé. Mais grâce à la qualité très homogène de ses cabernets francs, Angélus 2019 présente, sous une tension ciselée, une matière imposante, stylée, à l'image du château. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 97/100 « L'Angélus 2019 a un nez dominé par le Cabernet Franc, des touches de Earl Grey et de cendres infusant le fruit noir presque sulfureux. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, tendue et croquante, une structure assez fine et arquée qui délivre une tension et une minéralité merveilleuses en finale. Sérieux. »
Brillant jusque dans les petits millésimes (1992 fut un chef-d'œuvre), Angélus est devenu en 20 ans une star mondiale en produisant des vins denses, charnus et supérieurement veloutés tout en demeurant distingués.
La grande classe !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - août 2020) : 97/100 « Angélus 2016 présente un bouquet intense et puissant, avec d'abondants arômes de cerise noire, de mûre de Boysen, de moelle d'orange et d'iode qui menacent de submerger les sens. La bouche mi-corsée présente des tanins souples, une acidité fine, un soupçon de poivre noir, ainsi qu'une précision et une persistance impressionnantes en fin de bouche. Il s'agit d'un Angélus exceptionnel qui a besoin de plusieurs années en bouteille pour exprimer tout son potentiel. »
J-M Quarin (février 2019) : 99/100 « Le meilleur jamais fait. Comme souvent à cet âge, j’ai fait un comparatif entre vin non décanté et décanté. Il apparaît plus ouvert et meilleur décanté. Couleur sombre, intense, belle, brillante et pourpre. Nez encore discret, au fruité mûr et suave. Il sent plus l’encre non décanté. Par contre, il gagne une note plus profonde, réglissée et viandée à la décantation. Avec les minutes se révèle alors une note de violette. Ample et minutieux en entrée de bouche, plein et riche au milieu, raffiné dans son toucher, suave au développement, le vin évolue dense et complet vers une finale noble, complexe et puissante. Pour l’instant, elle est un peu marquée par cette puissance, mais elle se fondra avec le temps. Du Grand Vin. »
Ni tout à fait Saint-Émilion, ni vraiment Pomerol, l’inimitable Cheval Blanc occupe une place à part au sein de la rive droite, sur le célèbre terroir de graves du plateau de Figeac. Inimitable car ses vins subjuguent dans une alchimie parfaite entre fraîcheur, subtilité et hédonisme, le tout sur des trames tanniques à la fois raffinées et fondantes, entre soie et cachemire.
La millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « un volume imposant, une trame tannique riche et dense mais d'une finesse incomparable, cristalline. »
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 98/100 « Cheval Blanc 2020 a un bouquet floral si joli qu'il vous séduira immédiatement : très bien défini et extrêmement pur avec une allure presque bourguignonne. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins saturés et une texture de cachemire. La finale, persistante et gracieuse, ne présente aucune aspérité. Captivant. Envoûtant. Combien d'autres adjectifs vous faut-il ? »
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 98/100 « D'une retenue admirable, le nez de graphite, évoquant la mine de crayon, enchaîne immédiatement avec une fraîcheur aromatique qui fait davantage penser au cabernet franc. Une magnifique texture veloutée enveloppe la bouche dès l'attaque, le cœur et la finale se lient avec plénitude dans un ensemble étiré avec grâce par des tanins dynamiques d'une délicatesse immense. »
Ni tout à fait Saint-Émilion, ni vraiment Pomerol, l’inimitable Cheval Blanc occupe une place à part au sein de la rive droite, sur le célèbre terroir de graves du plateau de Figeac. Inimitable car ses vins subjuguent dans une alchimie parfaite entre fraîcheur, subtilité et hédonisme, le tout sur des trames tanniques à la fois raffinées et fondantes, entre soie et cachemire.
La millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Août 2020) : 98/100 « Le Cheval Blanc 2016 présente un bouquet exquis de fruits noirs et rouges pixelisés, de pierre broyée, de violette et de chêne neuf parfaitement intégré ; il est tout à fait séduisant. La bouche mi-corsée révèle un soupçon de marmelade dès l'entrée. Puissant et dense, c'est un vin naissant impressionnant, presque capiteux, avec beaucoup de poigne et de nerf en fin de bouche. Il manque peut-être de détails cristallins pour le moment, mais il s'agit clairement d'une proposition à long terme. »
J-M Quarin (février 2019) : 99/100 « Couleur sombre, intense, profonde et belle. Nez très original, très aromatique, fin, fruité, pur, complexe et noble. Il est à la fois profond, vif et truffé. Moelleux à l’attaque, suave au développement, fondant et riche en milieu de bouche, le vin se montre complexe, juteux, noble, savoureux et gras. Il évolue sur des tanins fins, vers une grande finale qui enthousiasme par la délicatesse de son grain et la précision de ses arômes. C’est du Cheval Blanc en diable ! »
Ni tout à fait Saint-Émilion, ni vraiment Pomerol, l’inimitable Cheval Blanc occupe une place à part au sein de la rive droite, sur le célèbre terroir de graves du plateau de Figeac. Inimitable car ses vins subjuguent dans une alchimie parfaite entre fraîcheur, subtilité et hédonisme, le tout sur des trames tanniques à la fois raffinées et fondantes, entre soie et cachemire.
La millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 98/100 « Le Cheval Blanc 2015 est sublime au nez avec des arômes de fruits rouges, de bois de santal, des touches de tabac et de fleurs séchées. Le chêne est parfaitement intégré et très bien focalisé. La bouche est finement osée, fraîche et tendue, avec une ligne d'acidité vive, une réelle profondeur et une prise insistante suggérant que ce vin vieillira avec panache. Sérieux et captivant du début à la fin, c'est l'un des vins du millésime. »
J-M Quarin (février 2020) : 99/100 « Nuances de fruits mûrs associées à la délicatesse de la violette. Raffiné dès l’entrée en bouche, juteux au milieu, particulièrement aromatique et complexe, avec beaucoup d’éclat dans la saveur, le vin évolue long, juteux, sur une texture tannique minutieuse et une saveur très noble. C’est incrachable. »
Ni tout à fait Saint-Émilion, ni vraiment Pomerol, l’inimitable Cheval Blanc occupe une place à part au sein de la rive droite, sur le célèbre terroir de graves du plateau de Figeac. Inimitable car ses vins subjuguent dans une alchimie parfaite entre fraîcheur, subtilité et hédonisme, le tout sur des trames tanniques à la fois raffinées et fondantes, entre soie et cachemire.
La millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 95/100 « Le Cheval Blanc 2014 a un bouquet presque inspiré de la rive gauche, des parfums de fruits noirs goudronneux, de tabac et de sous-bois qui se déploient dans le verre, mais pas aussi « immédiats » que le Canon. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, charnue, très bien équilibrée et nuancée avec l’une des rares finales que je décrirais comme « précises » qui vous invitent à revenir pour la prochaine gorgée. Excellente. »
Impossible de résister à la complexité indicible de son bouquet, floral et fruité, épicé et réglissé, comme à la profondeur inouïe de sa finale fraîche et somptueuse. Du très grand art, toute la gloire du cabernet franc sur coteau calcaire. Alain Vauthier et ses enfants, Pauline et Édouard, gèrent les 7 ha d'Ausone comme un (très) grand cru bourguignon. Magistral !
La millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 98/100 « L'Ausone 2020 a un bouquet très vif et précis, avec un mélange de fruits rouges et noirs, de pierre concassée, de truffe noire et de cèdre qui gagne en intensité dans le verre. Moyennement corsé, le palais est composé et raffiné avec des tanins fins. La finale pixelisée, tendue mais brillamment définie, se prolonge encore et encore. Il s'agit de l'un des meilleurs vins des Vauthier de ces dernières années. »
J-M Quarin (mars 2023) : 99/100 « Couleur sombre, pourpre, brillante et vive. Nez intense, fin, au fruité mûr. Nuances de caramel et de truffe. Il évolue noble, complexe et vanillé dans le verre. Ultra minutieux en entrée de bouche, avec de suite beaucoup de goût, le vin se développe sur un corps fondant, à la texture minutieuse. Il évolue à la fois caressant et délicatement ferme, vers une finale très longue. Tannicité noble. Déroulé et expression complexe. C'est superbe ! »
Impossible de résister à la complexité indicible de son bouquet, floral et fruité, épicé et réglissé, comme à la profondeur inouïe de sa finale fraîche et somptueuse. Du très grand art, toute la gloire du cabernet franc sur coteau calcaire. Alain Vauthier et ses enfants, Pauline et Édouard, gèrent les 7 ha d'Ausone comme un (très) grand cru bourguignon. Magistral !
La millésime 2012 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2023) : 99/100 « Couleur sombre, pourpre, brillante et vive. Nez intense, fin, au fruité mûr. Nuances de caramel et de truffe. Il évolue noble, complexe et vanillé dans le verre. Ultra minutieux en entrée de bouche, avec de suite beaucoup de goût, le vin se développe sur un corps fondant, à la texture minutieuse. Il évolue à la fois caressant et délicatement ferme, vers une finale très longue. Tannicité noble. Déroulé et expression complexe. C'est superbe ! »
Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 95+/100 « L'un des vins du millésime, l'Ausone 2012 présente une profondeur, une intensité aromatique et un équilibre général magnifiques. Les fruits rouges sombres à noyau, le menthol, la réglisse, la fumée et les herbes savoureuses s'épanouissent alors que ce Saint-Émilion étagé et séduisant montre son pedigree pur et sa classe. Un séjour prolongé en bouteille devrait permettre au 2012 de s'étoffer encore davantage, mais il est déjà très spécial aujourd'hui. Je me souviens avoir dégusté le 2012 directement de la barrique avec Alain Vauthier au printemps 2013. Le vin fini et mis en bouteille est tout aussi exceptionnel. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
La millésime 2022 dans la presse :
Bettane+Desseauve (Guide 2024) « Ce domaine continue de nous régaler avec des cuvées d’une concentration et d’une densité sans peu d’équivalents dans le secteur. Issu d’un terroir très particulier, le Hauterivien, le petit-chablis est sans doute le meilleur de l’appellation. »
La Revue du Vin de France (juillet 2024) : 90/100 « Si l'iode marque fortement le premier nez, l'expression aromatique d'un fruit bien mûr (pêche blanche) n'est pas en reste. Cela se traduit par une matière volumineuse avec la sensation d'un fruit sucré. Gourmand et salin. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
Bourgogne Aujourd'hui (août 2023) : 18/20 « Issue de 1.25 hectares de vignes de 55 ans, cette formidable cuvée de chablis révèle des arômes doux, élégants, de fleurs, de fruits jaunes et blancs. Bouche grasse, riche, ciselée, longue et pure. »
Vinous (N.Martin - août 2024) : 91/100 « Le Chablis Croix Aux Moines 2022 présente un bouquet plus austère, qui se déploie joliment à l'aération pour révéler des parfums finement délimités de pavé mouillé et d'embruns. La bouche est bien équilibrée avec une acidité fine, tendue et fraîche avec juste ce qu'il faut de citron acide en fin de bouche. Il s'agit d'un Chablis Village de bonne facture. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
Bourgogne Aujourd'hui (août 2023) : 16.5/20 « Arômes riches, élégants, précis, d'agrumes, d'ananas frais, de noisettes grillées... Bouche élégante, avec un fruité juteux, mûrs, frais, de l'énergie, une belle longueur et beaucoup de potentiel. »
Vinous (N.Martin - août 2024) : 92/100 « Le Chablis Troesmes 1er Cru 2022 présente un bouquet net et précis avec une minéralité fine, des touches de pierre à fusil étouffant le fruit malique. La bouche est bien équilibrée avec une fine acidité, une belle profondeur et une utilisation habile du chêne. De légères notes de fruits rouges surprennent en finale de ce délicieux Chablis issu d'un de ses climats les moins connus. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Les gelées d'avril 2021 ont été dramatiques à Chablis : la récolte 2021 du Domaine Pommier est à peine le quart d'une récolte normale.
Le millésime 2021 dans la presse :
Bourgogne Aujourd'hui (août 2024) : 17/20 « Le domaine exploite 1,76 hectare de vignes de 50 ans dans ce premier cru. Arômes fins de fleurs blanches, d'agrumes... Bouche riche, juteuse, tonique avec un fruité citronné très agréable et un fond minéral-salin bien typé. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Les gelées d'avril 2021 ont été dramatiques à Chablis : la récolte 2021 du Domaine Pommier est à peine le quart d'une récolte normale.
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
Bourgogne Aujourd'hui (août 2023) : 16.5/20 « Arômes expressifs, fins, de fruits bien mûrs, frais, éclatants... Bouche riche, gourmande, avec un grain délicat, à la fois « sucré », gourmand et salin. »
Vinous (N.Martin - août 2024) : 92/100 « Le Chablis Fourchaume 1er Cru 2022 présente un nez séduisant : pommes vertes, ardoise et senteurs légèrement limoneuses qui s'épanouissent dans le verre, d'un style assez classique. La bouche est bien équilibrée avec une entrée en matière acidulée, fraîche et croquante, avec une belle ampleur en finale tout en gardant de la tension. Une pointe de poivre en fin de bouche complète le tableau. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014). Leurs vins, vinifiés et longuement élevés sous bois pour Croix aux Moines et les 1ers crus, ont une richesse et une amplitude qui tranchent avec l'extrême vivacité habituelle des Chablis.
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Les gelées d'avril 2021 ont été dramatiques à Chablis : la récolte 2021 du Domaine Pommier est à peine le quart d'une récolte normale.
Le millésime 2021 dans la presse :
Bourgogne Aujourd'hui (août 2024) : 16.5/20 « Robe dorée, brillante. Arômes expressifs de fruits jaunes, de fleurs, enrobés de discrètes notes boisées-grillées. Bouche pleine, grasse, tendue, saline, « taillée » pour bien évoluer dans le temps. »
Vinous (N. Martin - juillet 2023) : 90/100 « Le Chablis Fourchaume 1er Cru 2021, qui a passé six mois sur les lies fines, a un joli bouquet de pêche, défaisant la maigreur du millésime. Il devient assez mentholé avec le temps. La bouche est bien équilibrée avec des notes de pamplemousse et de moelle d'orange et une acidité fine, joliment composée avec une finale simple mais assez tendue. C'est un Fourchaume bien fait. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014).
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (octobre 2024 ) : 94/100 « Belle pureté de pinot nordiste, frais, à maturité parfaite. Le fruit est scintillant. Un vin de moyenne garde, remarquable d'harmonie et de relief. »
Isabelle et Denis Pommier ont débuté en 1990 avec seulement 2 ha. Ils ont pas à pas progressé, dans la constitution de leur vignoble (aujourd'hui 16 ha) comme dans leurs pratiques culturales (travail des sols, ébourgeonnage, certifié bio à partir du millésime 2014).
« Peut-être le domaine à la progression la plus spectaculaire ces quinze dernières années de tout le Chablisien », d'après le guide Bettane & Desseauve 2025.
Cité dans le guide de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (octobre 2024 ) : 94/100 « Belle pureté de pinot nordiste, frais, à maturité parfaite. Le fruit est scintillant. Un vin de moyenne garde, remarquable d'harmonie et de relief. »
Chef de file de l'appellation Marsannay, le domaine Fournier donne à l'amateur l'occasion, aujourd'hui rare, d'acquérir à prix contenus de grands pinots du nord de la Côte de Nuits. Fort de 21 ha dont 17 ha à Marsannay, ce domaine produit des vins enthousiasmants, à la robe profonde, charnus et intenses, toujours sur le fil entre richesse et fraîcheur, gourmandise et finesse.
Noté une étoile dans le guide de la Revue du Vin de France, et parmi les propriétés à suivre du guide Bettane & Desseauve : « Laurent Fournier, avec son humour, son intelligence et sa délicatesse, est un des talents les plus brillants de la nouvelle génération bourguignonne. »
Chef de file de l'appellation Marsannay, le domaine Fournier donne à l'amateur l'occasion, aujourd'hui rare, d'acquérir à prix contenus de grands pinots du nord de la Côte de Nuits. Fort de 21 ha dont 17 ha à Marsannay, ce domaine produit des vins enthousiasmants, à la robe profonde, charnus et intenses, toujours sur le fil entre richesse et fraîcheur, gourmandise et finesse.
Noté une étoile dans le guide de la Revue du Vin de France, et parmi les propriétés à suivre du guide Bettane & Desseauve : « Laurent Fournier, avec son humour, son intelligence et sa délicatesse, est un des talents les plus brillants de la nouvelle génération bourguignonne. »
Le millésime 2022 dans la presse :
Bourgogne Ajourd'hui (avril - mai 2025) : 94/100 « Vinifiée avec 50% de vendange entière, cette cuvée révèle un nez frais, riche, de fruits noirs, d'épices et une fine note de moka. Le vin est concentré, plein, gras, tout en présentant un style un peu plus juteux, plus frais que le 2023, avec la même classe. Un grand vin de garde. »
Vinous (N. Martin - octobre 2023) : 91-93/100 « Le Marsannay Les Longeroies 2022 offre au nez des senteurs de mûre, de haie sauvage et de sol forestier, avec une légère touche d'olive noire. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs croquants et des tanins fins. La finale est un peu compacte pour le moment, mais elle est surabondante de fraîcheur et de tension. Une pointe de poivre blanc apparaît en fin de bouche. Quel beau Marsannay ce sera. »
Chef de file de l'appellation Marsannay, le domaine Fournier donne à l'amateur l'occasion, aujourd'hui rare, d'acquérir à prix contenus de grands pinots du nord de la Côte de Nuits. Fort de 21 ha dont 17 ha à Marsannay, ce domaine produit des vins enthousiasmants, à la robe profonde, charnus et intenses, toujours sur le fil entre richesse et fraîcheur, gourmandise et finesse.
Noté une étoile dans le guide de la Revue du Vin de France, et parmi les propriétés à suivre du guide Bettane & Desseauve : « Laurent Fournier, avec son humour, son intelligence et sa délicatesse, est un des talents les plus brillants de la nouvelle génération bourguignonne. »
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Les Longeroies rouge se montre à la fois crayeux et onctueux : étoffé, riche mais friand, il offre une maturité enviable pour le millésime. »
Bourgogne Aujourd'hui (Avril 2023) : 17/20 « Floral doux, notes d'épices et de fruits noirs... La bouche est solide, avec de la rondeur, des tanins fins et une finale réglissée. Un vin de caractère. »
Vinous (N. Martin - novembre 2022) : 90-92/100 « Le Marsannay Les Longeroies 2021 a subi un élevage difficile jusqu'à la malo. Il a un bouquet très parfumé et posé, minéral comme le Clos du Roy, les 50% de tiges sont magnifiquement assimilés. La bouche a plus de corps que le Clos du Roy, avec une structure assez ferme, de la mûre et des touches de myrtille en fin de bouche. »
Chef de file de l'appellation Marsannay, le domaine Fournier donne à l'amateur l'occasion, aujourd'hui rare, d'acquérir à prix contenus de grands pinots du nord de la Côte de Nuits. Fort de 21 ha dont 17 ha à Marsannay, ce domaine produit des vins enthousiasmants, à la robe profonde, charnus et intenses, toujours sur le fil entre richesse et fraîcheur, gourmandise et finesse.
Noté une étoile dans le guide de la Revue du Vin de France, et parmi les propriétés à suivre du guide Bettane & Desseauve : « Laurent Fournier, avec son humour, son intelligence et sa délicatesse, est un des talents les plus brillants de la nouvelle génération bourguignonne. »
Trois Terres est une sélection des vieilles vignes de ses trois meilleures parcelles à Marsannay : Es Chezots, Longeroies et Clos du Roy (toutes trois candidates au futur classement en 1er cru).
Le millésime 2022 dans la presse :
Bourgogne Ajourd'hui (avril - mai 2025) : 94/100 « Issue d'un assemblage de parcelles dans Les Longeroies, Clos du Roy et Es Chezots, cette cuvée exprime des arômes riches, complexes, de fleurs sucrées, de fruits noirs... Le vin est complet : dense, concentré, charnu, juteux, long et harmonieux. Grand vin de garde ! »
Vinous (N. Martin - octobre 2023) : 88-90/100 « Le Marsannay Trois Terres Vieilles Vignes 2022 présente au nez des touches discrètes d'écaille de poisson et d'olive noire, mariées proprement aux fruits noirs. Belle délimitation. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière douce. Des touches de figues et de dattes teintent le fruit noir. A-t-il été cueilli un jour ou deux plus tard que la date optimale ? Il semble trop sucré à mon goût et par rapport au millésime précédent. »