Catalogue
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Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
- Apogée :
- 2015-2025
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2026-2036
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2020 est noté 95/100 par La Revue du Vin de France « Le vin est solidement constitué mais aussi très racé, et trouve son équilibre. Il possède beaucoup de fond et une superbe définition de tanins qui s'harmonisent en finale. » (Septembre 2023)
Noté 92/100 par N. Martin « Meyney 2020 présente un bouquet très estuarien, tel qu'on pourrait l'imaginer en train de contempler l'estuaire de la Gironde par un jour d'hiver couvert. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, très bien équilibrée avec une acidité élégante. Avec beaucoup de fraîcheur et de concentration en fin de bouche, c'est un Meyney splendide qui continue sur sa lancée. » (Décembre 2022)
Le millésime 2020 est noté 92/100 par Jean-Marc Quarin « Couleur sombre, intense, pourpre et jeune. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr et pur. Délicat en entrée de bouche, très aromatique au milieu, le vin fond au palais, sur un toucher délicat, avec une présence plutôt discrète. Finale séveuse et plus parfumée que sur d'autres millésimes. » (juin 2023)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 3 à 5 ans
- Apogée :
- 2028-2042
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2019 est noté 91/100 par Jean-Marc Quarin « Nez très aromatique, fin, fruité, pur et subtil. Caressant à l'attaque, très fruité en milieu de bouche et plutôt parfumé pour un Saint-Estèphe, le vin offre une trame tannique distinguée dans la persistance. » (Mars 2022)
Noté 95/100 par La Revue du Vin de France « Le cru dispose d'un terroir fantastique, digne d'un cru classé. Ceci explique d'ailleurs qu'il jouisse d'une admirable réputation, méritée au regard des nombreux grands vins qui ont été produits ici. On peut encore trouver quelques vieux millésimes très en forme ( comme les admirables 1986 ou 1989). Le château n'élabore toutefois pas des vins pour les amateur pressés, à l'image des 2019 ou 2018 ; une décennie en cave est indispensable pour en profiter pleinement.» (Décembre 2022)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2026-2038
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Noté 94/100 par La Revue du Vin de France « Le cru dispose d'un terroir fantastique, digne d'un cru classé. Ceci explique d'ailleurs qu'il jouisse d'une admirable réputation, méritée au regard des nombreux grands vins qui ont été produits ici. On peut encore trouver quelques vieux millésimes très en forme ( comme les admirables 1986 ou 1989). Le château n'élabore toutefois pas des vins pour les amateur pressés, à l'image des 2019 ou 2018 ; une décennie en cave est indispensable pour en profiter pleinement.» (Décembre 2022)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 3 à 5 ans
- Apogée :
- 2028-2040
- Alcool potentiel :
- 14.5%
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2022-2034
- Alcool potentiel :
- 14%
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2018-2028
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2020-2032
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
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- Attendre 3 à 5 ans
- Apogée :
- 2027-2036
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Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Le millésime 2020 est noté 93/100 par Jean-Marc Quarin « Couleur sombre, intense et jeune. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr. Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec un corps plein et charnu, le vin glisse en bouche, long et séveux. Les sensations délivrées s'accélèrent dans le dernier tiers du palais. C'est long et très bon » (septembre 2023).
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2025-2035
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Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Le millésime 2019 est noté 93/100 par Jean-Marc Quarin «Pointé comme ma meilleure note en Primeurs, ce vin confirme ce statut en finale. Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité mûr et épicé» (Mars 2022)
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2024-2035
- Alcool potentiel :
- 13%
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Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
- Apogée :
- 2022-2033
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Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
- Apogée :
- 2018-2030
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Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2026-2035
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Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
Le millésime 2019 est noté 96/100 par le Guide Bettane et Desseauve 2024
Noté 95/100 par La Revue du Vin de France «Ce cru jouit d'une réputation et d'une cote d'amour très fortes et justifiées auprès d'une large communauté d'amateurs. Son succès tient au charisme d'Henri Duboscq, homme attachant et visionnaire, mais aussi au style des vins produits ici, toujours flamboyants et suaves à souhait. Et qu'on ne s'y trompe pas : ils vieillissent aussi à merveille en cave ! Tous les derniers millésimes sont très recommandables en particulier le 2019.» (Décembre 2022)
Noté 92/100 par Jean-Marc Quarin « Moelleux en départ de bouche, parfumé au milieu, avec un corps fondant et beaucoup de goût, le vin caresse le palais juteux, noble et incrachable. C'est très bon. » (Fev. 2022).
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2023-2035
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Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
Noté 94/100 par la Revue du Vin de France « Le cru est en pleine forme ces dernières années, avec des vins parmi les plus constitués de son histoire, sans renier le caractère avenant et séduisant qui a fait leur succès. Aucune déception avec le 2018, très raffiné et fin, mais aussi intense et profond. » (Nov. 2021)
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- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2026-2040
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Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2024-2040
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Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
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- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2026-2036
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Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Noté 94/100 par la Revue du Vin de France « Le vin se révèle délicieux, fin et gourmand. Son côté digeste et son équilibre le rendent déjà irrésistible » (Sept. 2021).
Le millésime 2019 est noté 92/100 par Jean-Marc Quarin «le vin avance savoureux en prenant du goût entre le milieu et la finale, le tout sans jamais marquer le tannin. Belle longueur. Un superbe Outsider.» (Mars 2022)
Le millésime 2019 est noté 93/100 par la Revue du Vin de France « Un vin qui séduit par son équilibre, son côté admirablement digeste et sa finale en finesse.» (Septembre 2022)
Noté 94/100 par La Revue du Vin de France « Voilà une affaire à ne pas laisser passer. Ce cru classé discret, dans l'ombre des stars Cos d'Estournel, Montrose ou désormais Calon Ségur, joue depuis des années sa partition avec justesse. La dégustation des 2005, 2012 et 2019 démontre que les vins sont plus que sérieux, dans un style toujours équilibré et classiquement médocain. Une marque de grande confiance.» (Décembre 2022)
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2022-2034
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Rapport qualité/prix épatant en 2016.
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2022-2034
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
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Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
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- Prêt à boire
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
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- Attendre 3 à 5 ans
- Apogée :
- 2028-2038
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Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
- Apogée :
- 2024-2038
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Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
Le millésime 2014 est noté 94/100 par N.Martin « Le Calon Ségur 2014 a un nez frais et vibrant, un peu arriéré et maussade, mais il y a de la concentration ici, juste bien enroulée pour le moment. Il y a des touches d’iode et d’embruns présents. La bouche est moyennement corsée avec des tanins mûrs et juteux, assez denses et charnus, mais il y a un poids et une colonne vertébrale énormes à l’arrière qui, je pense, le feront mûrir avec style. » (février 2024)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Prêt à boire
- Apogée :
- 2024-2035
- Alcool potentiel :
- 14%
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Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2021 est noté 96/100 par J-M Quarin « Minutieux en entrée de bouche, très aromatique et complexe au milieu, le vin grandit en finale, très frais, très savoureux, plus floral que d'habitude et néanmoins profond. Grande persistance à la tannicité raffinée et plus parfumée que de coutume à cet âge. » (avril 2022)
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- Attendre 5 à 10 ans
- Apogée :
- 2030-2045
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Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Coup de ♥ du Guide Hachette 2024 « Un grand Montrose assurément que le 2020 du cru. [...] La bouche conjugue avec une harmonie parfaite puissance, douceur, finesse, fraîcheur, longueur. L'élégance même ».
Le millésime 2020 est noté 98/100 par La Revue du Vin de France « C'est le plus aristocratique de l’appellation, mais aussi le plus serré à ce stade. D’une précision superbe et d’une définition irréprochable, il n’a pas encore libéré tout son potentiel, mais le muscle est là et tout est en place pour donner, d’ici dix ans, un vin exceptionnel. » (Septembre 2023)
Noté 99/100 par N. Martin (Vinous), et classé en tête de l'ensemble des Bordeaux rouges 2020 « Ce vin est beaucoup plus détaillé que le 2019 ou le 2018. C'est un Montrose symétrique, d'une précision et d'une minéralité infaillibles, dont la texture soyeuse dissimule la puissance sous-jacente. Il s'agit sans équivoque d'un vin brillant et d'une référence pour ces dernières années. » (Février 2023)
Également noté 99/100 par A. Galloni (Vinous) « Le 2020 est un classique moderne pour Montrose et l'un des grands vins de la rive gauche. » (Février 2023)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 10 ans et plus
- Apogée :
- 2035-2050
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Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2016 est porté aux nues, 20/20 pour M. Quarin « vin éblouissant ! Son éclat est inénarrable » et 19,5/20 pour la Revue du Vin de France « voici une réussite majeure pour le château... et pour tout Bordeaux ».
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- Prêt à boire
- Apogée :
- 2023-2042
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Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2014 est noté 96/100 par N. Martin « Le Montrose 2014 présente un bouquet engageant et complexe de fruits noirs, de boîte à crayons, de violette pressée et de terre chaude, qui gagne en intensité à l'aération. La bouche est moyennement corsée, avec d'excellents tanins qui encadrent le fruit noir riche en minéraux (en fait, c'est l'un des rives gauches 2014 les plus chargés en minéraux que j'ai dégustés), le chêne est parfaitement intégré et la finale a beaucoup de panache. Un vin magnifique qui entre à peine dans sa phase de dégustation. » (Février 2024)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2025-2040
- Alcool potentiel :
- 13.5%
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Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2010 est noté 97/100 par J-M QUARIN : « Couleur sombre, intense et très légèrement évoluée. Nez remarquable pour sa maturité pleine de fraîcheur. Il sent bon les fruits noirs. Nuances boisées élégantes. A l'aveugle, la bouche rappelle château Latour. Le gras, la puissance, l'enveloppe du corps, associés à beaucoup de fruits, font merveille. Finale très savoureuse, à la fermeté légitime, parce que trop jeune. Nuance calcaire dans la persistance finale. Les gourmands le goûteront sinon attendre deux ou trois ans. » (Septembre 2023)
En savoir plus- À boire ou à garder :
- Attendre 1 à 2 ans
- Apogée :
- 2025-2045