Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 95/100 « Millésime de transition entre les anciens et le nouveau propriétaire, le 2022 est une belle réussite, fidèle à l'esprit de ce cru toujours accessible, jamais démonstratif mais bien équilibré. Un vin au joli fruit, avec de l'éclat et de la finesse. Il sera parfait dans une décennie. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2025) : 91/100 « L'équipe de Dominique Arangoïts n'a réalisé la mise en bouteille du Cos Labory 2022 qu'après son rachat par Michel Reybier. Il y a une certaine sévérité au nez, avec des touches de goudron fondu qui infusent les tonalités de fruits noirs en bouche. C'est un style un peu introverti avec une fluidité que j'aime bien. Il n'est pas trop complexe, mais équilibré avec une bonne longueur. Très bon. »
J.M Quarin (Février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité mûr. Touche d'encre et de crème. Tendre à l'attaque, puis gras en milieu de bouch, le vin caresse le palais. Il évolue en fondant, riche en saveurs, sur une tannicité très bien envelopée. C'est long et très bon. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 90/100
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 94/100 « Voilà une affaire à ne pas laisser passer. Ce cru classé discret, dans l'ombre des stars Cos d'Estournel, Montrose ou désormais Calon Ségur, joue depuis des années sa partition avec justesse. La dégustation des 2005, 2012 et 2019 démontre que les vins sont plus que sérieux, dans un style toujours équilibré et classiquement médocain. Une marque de grande confiance. »
J-M Quarin (mars 2022) : 92/100 « Le vin avance savoureux en prenant du goût entre le milieu et la finale, le tout sans jamais marquer le tannin. Belle longueur. Un superbe Outsider. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Rapport qualité/prix épatant en 2016.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 91/100 « Cos-Labory 2016 a un beau bouquet, assez avancé et ouvert, offrant des fruits noirs rameux, lacés de violette. La bouche mi-corsée présente des tannins souples, une acidité finement perlée, du tabac et du cèdre vers la finale de style classique, qui fait preuve d'une impressionnante persistance. Ce vin est le reflet d'un château en pleine évolution, et il suggère que la colline de Cos pourrait avoir deux vins de Saint-Estèphe qui valent la peine d'être recherchés. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2018) : 90/100 « Cos-Labory 2014 a un bouquet légèrement pincé au début, s'ouvrant progressivement sur des senteurs de mûre et de briary, juste une touche de graphite. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, des fruits noirs séveux lacés de graphite et de poivre noir, assez harmonieux avec une finale croustillante et posée, satisfaisante. Un excellent Saint-Estèphe traditionnel et peut-être l'un des meilleurs Cos-Labory que j'ai dégustés jusqu'à présent. »
Racheté en 2012 et rénové de fond en comble (vignoble, chai et château) par une filiale du Crédit Mutuel, Calon-Ségur a rapidement retrouvé le niveau d’excellence qui avait fait sa gloire au milieu du siècle dernier. Son style, mêlant race et exubérance, lui donne une place à part parmi les crus classés de Saint-Estèphe. C'est également le seul vignoble du Médoc à être à la fois d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur.
Racheté en 2012 et rénové de fond en comble (vignoble, chai et château) par une filiale du Crédit Mutuel, Calon-Ségur a rapidement retrouvé le niveau d’excellence qui avait fait sa gloire au milieu du siècle dernier. Son style, mêlant race et exubérance, lui donne une place à part parmi les crus classés de Saint-Estèphe. C'est également le seul vignoble du Médoc à être à la fois d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 98/100 « Depuis la dégustation en primeur, le cru s'est assagi. Dès le nez, il impose sa puissance et la maturité de son fruit. Un vin massif, ample, généreux et concentré. Il est équilibré par la fraîcheur et l'énergie qui se dégagent de sa finale. Á oublier en cave au moins dix ans. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92+/100 « Le Calon Ségur 2022 est un vin jeune, brut et puissant avec des tannins énormes. Aujourd'hui, je trouve le 2022 impénétrablement compact et difficile à lire. Cependant, le Calon Ségur était assez similaire en primeur, donc je ne peux pas dire que je sois terriblement surpris. Pour l'instant, le 2022 est un peu un mystère. »
J.M Quarin (Février 2025) : 97/100 « Couleur noire. Nez intense, fin, fruité et plus proche des fruits frais que des fruits noirs, ce qui le rend un peu vif. Minutieux en entrée de bouche et de suite très parfumé au milieu, avec un gras fin qui parcourt le palais, le vin m'apparaît un peu plus ferme qu'attendu dans son parcours final, même s'il demeure très aromatique et long. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 96/100
Racheté en 2012 et rénové de fond en comble (vignoble, chai et château) par une filiale du Crédit Mutuel, Calon-Ségur a rapidement retrouvé le niveau d’excellence qui avait fait sa gloire au milieu du siècle dernier. Son style, mêlant race et exubérance, lui donne une place à part parmi les crus classés de Saint-Estèphe. C'est également le seul vignoble du Médoc à être à la fois d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « Le vin se montre plus fermé que ses voisins, avec un fruit qui apparaît mûr et riche. Le nez est serré, intense, avec des notes de fruits noirs. À ce stade, la bouche est aussi très compacte et la finale stricte. Mais nous sommes confiants, car la texture est belle et il va s’harmoniser. »
Vinous (A. Galloni - Décembre 2023) : 97/100 et #39 du Top 100 des vins de l'année 2024 « Un Saint-Estèphe d'envergure et d'intensité verticale, le Calon Ségur 2021 éblouit dès la première dégustation. Les épices, le menthol, la réglisse, la cerise noire, la menthe et l'espresso sont quelques-unes des nombreuses notes qui se développent avec un peu d'attention. Le 2021 affiche un modeste taux d'alcool de 12,9 %, mais il possède une densité et une résonance texturale extraordinaires. Quel vin ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 94/100
Racheté en 2012 et rénové de fond en comble (vignoble, chai et château) par une filiale du Crédit Mutuel, Calon-Ségur a rapidement retrouvé le niveau d’excellence qui avait fait sa gloire au milieu du siècle dernier. Son style, mêlant race et exubérance, lui donne une place à part parmi les crus classés de Saint-Estèphe. C'est également le seul vignoble du Médoc à être à la fois d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Le Calon Ségur 2014 a un nez frais et vibrant, un peu arriéré et maussade, mais il y a de la concentration ici, juste bien enroulée pour le moment. Il y a des touches d’iode et d’embruns présents. La bouche est moyennement corsée avec des tanins mûrs et juteux, assez denses et charnus, mais il y a un poids et une colonne vertébrale énormes à l’arrière qui, je pense, le feront mûrir avec style. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « À sa race habituelle et à sa profondeur, Montrose 2021 ajoute un soupçon d’éclat et une grande distinction dans ses tanins. Un vin puissant certes, mais terriblement civilisé. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96+/100 « Montrose 2021 est un vin intérieur et sombre, un Montrose classique, en d'autres termes, juste atténué dans son intensité par la saison de croissance fraîche. Les épices, le tabac, le cèdre, le menthol, la terre brûlée, le gravier et une touche de chêne neuf s'ouvrent avec le temps, mais le 2021 est vraiment un vin qui nécessite une garde considérable pour atteindre son potentiel. Mais encore une fois, il s'agit du Montrose. L'élégance rencontre ici la puissance »
J-M Quarin (avril 2022) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, très aromatique et complexe au milieu, le vin grandit en finale, très frais, très savoureux, plus floral que d'habitude et néanmoins profond. Grande persistance à la tannicité raffinée et plus parfumée que de coutume à cet âge. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 100/100 « Grand nez profond de cabernet sauvignon évoquant l'âtre de la cheminée. En bouche, cette bouteille se distingue par sa stature au milieu du palais : le vin ne cesse de fondre accompagné d'une minutie de toucher extraordinaire. Très grande finale complexe et noble assortie d'un caractère juteux et un éclat de folie. Fabuleux retour en bouche sur des nuances de fruits noirs, d'épices, sans jamais marquer le tannin »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 99/100 « Le Montrose 2016 présente un bouquet très serré et extrêmement bien ciblé. C'est l'un des arômes les plus pixelisés dont je me souvienne sur un Montrose à ce stade, avec de la mûre, de la mûre de Boysen et du cèdre, et une vraie minéralité en dessous. La bouche est moyennement corsée, avec une belle densité et une merveilleuse salinité. Les tanins sont extrêmement précis et tranchants, et la finale est d'une brillance exceptionnelle. C'est un Montrose qui s'inscrira confortablement dans la lignée des grands millésimes de ce domaine de Saint-Estèphe. Comme l'indique ma note, il est à la hauteur des premiers crus. Époustouflant. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 95/100 « Montrose 2015 a un nez magnifique et vigoureux qui le place en tête de ses pairs. La mûre, l'iode, le cèdre et une plus grande minéralité se révèlent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés. Il est assez charnu pour un Montrose, ce qui en fait l'un des millésimes les plus accessibles. L'acidité est bien présente, avec un soupçon d'épices en fin de bouche. Excellent. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Le Montrose 2014 présente un bouquet engageant et complexe de fruits noirs, de boîte à crayons, de violette pressée et de terre chaude, qui gagne en intensité à l'aération. La bouche est moyennement corsée, avec d'excellents tanins qui encadrent le fruit noir riche en minéraux (en fait, c'est l'un des rives gauches 2014 les plus chargés en minéraux que j'ai dégustés), le chêne est parfaitement intégré et la finale a beaucoup de panache. Un vin magnifique qui entre à peine dans sa phase de dégustation. »
En Magnum (2022) : 93/100 « Arôme dévellopé de cèdre, terriblement marqué par le microclimat des graves de bord de Gironde dans son apparente souplesse, qui cache un excellent corps et surtout une élégance de toucher de bouche et d'élevage digne de notre attente. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N.Martin - mai 2024) : 99/100 « Montrose 2010 présente un nez époustouflant de fruits noirs puissants, intenses et riches en minéraux, qui s'arrondit à l'aération. Des notes de pot-pourri complètent les notes de tabac. La bouche est fraîche, vibrante et lourde, mais paradoxalement, elle est d'une merveilleuse finesse. Il y a une symétrie dans ce Montrose, couplée à une longueur extraordinaire qui vous laisse sur votre faim. Brillant. »
J-M Quarin (février 2023) : 97/100 « Couleur sombre, intense et très légèrement évoluée. Nez remarquable pour sa maturité pleine de fraîcheur. Il sent bon les fruits noirs. Nuances boisées élégantes. A l'aveugle, la bouche rappelle château Latour. Le gras, la puissance, l'enveloppe du corps, associés à beaucoup de fruits, font merveille. Finale très savoureuse, à la fermeté légitime, parce que trop jeune. Nuance calcaire dans la persistance finale. Les gourmands le goûteront sinon attendre deux ou trois ans. »
En Magnum (2022) : 95/100 « Très riche de couleur et de texture, noblement mentholé, avec un velouté de texture particulier où l'on sent l'influence de Jean-Bernard Delmas et du style mis au point à Haut-Brion. Long, complexe, peut-être un peu moins typé grand médoc du nord que ne le seront les 2018 et les 2020. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Cos 2021 est doté d’une admirable trame, avec du nerf et de la profondeur. Un grand classique, tout en équilibre, soyeux et digeste. »
J.M Quarin (Février 2024) : 96/100
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 93/100 « Cos d'Estournel 2021 a conservé un nez dominé par le Cabernet Sauvignon, avec des arômes de mine de crayon infusant le fruit noir, et une touche de chocolat noir et de terreau apparaissant à l'aération. Il est bien défini et composé, bien qu'il n'ait pas la complexité de certains des grands millésimes récents du domaine. La bouche est moyennement corsée avec des tanins légèrement crayeux à l'entrée. D'une profondeur modeste, il est assez sapide, avec une touche de vivacité dans le fruit. Ce n'est pas un Cos d'estournel flamboyant, mais il est très bien composé et se prolonge de façon séduisante en fin de bouche. Donnez-lui cinq à sept ans en bouteille. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (août 2019) : 98/100 « Le meilleur jamais fait ! Couleur sombre, intense, pourpre et belle. Nez intense, fin, au fruité mûr. Puissant. Moelleux à l’attaque, puis dense et fondant, avec de la classe dans le toucher, le vin glisse entre le milieu et la finale, ascendant dans son déroulé, complexe et long. Il possède beaucoup d’énergie, beaucoup de goût aussi. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 100/100 « Dans ma dernière critique du Cos d'Estournel 2016, j'ai écrit : “ Je soupçonne qu'il va se refermer pendant un certain temps dans sa jeunesse ”. Peut-être qu'il commence déjà à se refermer, car bien que ce vin ait été profondément impressionnant, il n'est pas arrivé à la cheville des bouteilles éthérées précédentes, malgré son « fruit noir pixelisé » au nez et son « équilibre sublime » en bouche. J'ai dégusté le vin deux fois par la suite, mais cette fois avec une carafe de 4 à 6 heures, et cela a révélé le Cos d'Estournel qui m'a émerveillé depuis que je l'ai dégusté pour la première fois hors du tonneau. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 93/100 « Cos d'Estournel 2014 a un bouquet magnifique. Comparé directement au Montrose, il est un peu plus exubérant et précis, avec des couches de fruits noirs pruneaux riches mais délimités, agrémentés de pétales de rose et de chocolat noir. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins. Il présente une belle profondeur de fruit, une symétrie et une sapidité qui vous incitent à en redemander. D'une texture soyeuse, c'est un Cos d'Estournel qui donnera beaucoup de plaisir dans les années à venir. »
J-M Quarin (juin 2018) : 94/100 « Caressant à l'attaque, savoureux en milieu de bouche, un tantinet austère tout en restant agréable, le vin s'achève savoureux et un peu plus marqué par le tannin que d'autres. Bonne longueur. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2012 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 95/100 « Tout en élégance et en raffinement. »
Vinous (N. Martin - janvier 2022) : 92/100 « Cos d'Estournel 2012 a un bouquet parfumé avec des arômes de mûre, de cèdre, de sous-bois et de poivre noir, tous bien définis et concentrés, avec plus de vigueur que beaucoup de ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec des tannins fins, une bonne acidité, peut-être un peu stricte et sèche en finale, mais j'admire son intensité et l'expression de son terroir. Il y avait des différences entre les bouteilles, l'une dominée par le bois, l'autre plus typique de Cos d'Estournel avec beaucoup de fruit. »
J-M Quarin (juin 2018) : 94/100 « Moelleux dés l'attaque, juteux en milieu de bouche, fondant, enveloppant et puissant, très savoureux, même si le tannin est un brin présent, le vin s'achève long et sèveux. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2025) : 97/100 « Cos d'Estournel 2010 est d'un style différent du 2009. Il est beaucoup plus frais au nez et surtout montre davantage de typicité, tout en étant aussi énergique que 2009. Les fruits noirs se mêlent au goudron fondu et à la fumée. La bouche possède une profondeur et une dimension immenses, moins ostentatoire que 2009, avec une attaque plus ferme et plus de sapidité en fin de bouche. Bien que je puisse comprendre que certains préfèrent le 2009, Cos d'Estournel 2010 est tout simplement plus... Cos d'Estournel, mais attention, il gagnera à rester quelques années de plus en bouteille. Magnifique. »
Second vin de Nénin. Une belle matière, avec un élevage bien maîtrisé : voilà une excellente introduction, d'un prix raisonnable, à l'univers des Pomerol.
Second vin de Nénin. Une belle matière, avec un élevage bien maîtrisé : voilà une excellente introduction, d'un prix raisonnable, à l'univers des Pomerol.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « La Fugue de Nénin 2022 est souple, ouverte et très jolie. Des fleurs écrasées, des fruits rouges brillants, du poivre blanc et des épices s'élèvent joliment dans ce Pomerol attrayant et de poids moyen de Nénin. »
Second vin de Nénin. Une belle matière, avec un élevage bien maîtrisé : voilà une excellente introduction, d'un prix raisonnable, à l'univers des Pomerol.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Octobre 2024) : 90/100 « Le vin est porté par la vitalité de son fruit et un élevage qui lui confère des senteurs d'agrumes. Une expression vivifiante de 2020. »
Second vin de Nénin. Une belle matière, avec un élevage bien maîtrisé : voilà une excellente introduction, d'un prix raisonnable, à l'univers des Pomerol.
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Mazeyres 2022 est aromatique, gras et racé. Des fleurs écrasées, de la sauge, de la menthe, des épices, beaucoup d'entre eux dans des endroits plus frais à Pomerol, ce qui a certainement été une aide en 2022. En conséquence, ce vin a conservé une énergie formidable. Des notes florales et savoureuses prolongent la finale nette et vivifiante. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 92/100
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Ce pomerol est à mettre entre toutes les mains. On retrouve la patte du château avec la brillance du fruit qui le caractérise. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 89/100 « Le Mazeyres 2021 a un nez léger de fruits rouges rameux, de senteurs tertiaires et de sol forestier, joliment défini mais manquant juste d'un peu de vigueur. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture assez sucrée et confite et une acidité fine, des notes de myrtille et de cassis faisant surface vers la finale florale. Il possède un éclat qui manque peut-être à certains de ses pairs de Pomerol. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 90/100
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2023) : 94/100 « Même dans les millésimes les plus solaires, les vins conservent une admirable fraîcheur. Mazeyres 2018 en constitue un brillant exemple, s'inscrivant parfaitement dans cette dynamique de primauté du fruit. Déjà très avenant, le vin possède néanmoins un réel potentiel d'évolution. »
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Mazeyres 2016 présente un profil exotique parsemé de fruits rouges brillants, aromatiques et surmûris. L'orange sanguine, la menthe et les notes florales traversent le vin - un style de pomerol résolument ouvert - et pourtant le 2016 reste gracieux et moyennement corsé, avec le parfum typique des sols plus sablonneux. »
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2017) : 91/100 « Mazeyres 2015 est un joli vin savoureux avec une intensité aromatique assez forte qui correspond bien à sa personnalité moyenne. Les fleurs écrasées, la menthe, le pétale de rose, le tabac et la cerise rouge sucrée sont tous joliment délimités. Les tanins soyeux ajoutent de la finesse à ce Pomerol accessible et de poids moyen. »
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.