
Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Ce vin a tous les défauts, même celui de me plaire. » Stéphane Planche
« J'ai oublié le nom de l'endroit, j'ai oublié le nom de la fille, mais le vin, c'était du Chambertin. » Hilaire Belloc
« Le thé peut parfaitement remplacer le vin au petit-déjeuner. » Anthelme Brillat-Savarin
« Le rock français... c'est un peu comme le vin anglais. » John Lennon
« Favorable : le fruit est dans le verre. Défavorable : le ver est dans le fruit. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
Jusqu'en août 2012, seule la culture des raisins était certifiée en culture biologique (exempte de produits de synthèse) à l'issue d'une période de conversion de 3 ans. Depuis, donc à partir du millésime 2012, la teneur des vins en dioxyde de soufre est également contrôlée pour l'obtention du label européen
.
Seuls les vins certifiés bio et affichant le label européen sur leur étiquette sont signalés comme tel sur notre site.
D'autres labels existent (Demeter, Biodyvin, Nature et Progrès...). Ceux-ci ont des cahiers des charges plus exigeants que celui de la culture biologique mais ne sont pas reconnus par les organismes publics.
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2025) : 93/100 « Le travail en biodynamie et la qualité du millésime ont donné un 2022 de haut nveau. Le fruit est brillant, avec une délicieuse richesse de fruits. L'équilibre en bouche se démarque par une sapidité rare, rendant l'ensemble savoureux à souhait. Les tanins subtils promettent une garde de vingt ans. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Mazeyres 2022 est aromatique, gras et racé. Des fleurs écrasées, de la sauge, de la menthe, des épices, beaucoup d'entre eux dans des endroits plus frais à Pomerol, ce qui a certainement été une aide en 2022. En conséquence, ce vin a conservé une énergie formidable. Des notes florales et savoureuses prolongent la finale nette et vivifiante. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 92/100
Ce beau domaine de 24 hectares est dirigé par Alain Moueix depuis 1992. Il y applique la même philosophie et les mêmes méthodes qu'à Fonroque (Saint-Émilion) : culture biologique depuis 2015, certification en biodynamie en 2018, recherche de fraîcheur et d'élégance grâce à des extractions maîtrisées... Mazeyres propose des vins délicats et mesurés, sans fard, avec une grande finesse de saveur qui s'accroit encore dans les derniers millésimes.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Ce pomerol est à mettre entre toutes les mains. On retrouve la patte du château avec la brillance du fruit qui le caractérise. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 89/100 « Le Mazeyres 2021 a un nez léger de fruits rouges rameux, de senteurs tertiaires et de sol forestier, joliment défini mais manquant juste d'un peu de vigueur. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture assez sucrée et confite et une acidité fine, des notes de myrtille et de cassis faisant surface vers la finale florale. Il possède un éclat qui manque peut-être à certains de ses pairs de Pomerol. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 90/100
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Bellegrave 2022 est un Pomerol puissant et vibrant. Graphite, cuir neuf, fruits noirs et lavande se déploient dans le verre. Le 2022 a beaucoup d'énergie pour correspondre à son volume et à son ampleur. Même avec toute son intensité évidente. Bellegrave est si expressif. L'assemblage de 75 % de merlot et de 25 % de cabernet franc fonctionne bien. »
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Comme son nom l'indique, Bellegrave est sur la couronne de graves alluvionnaires de l'Isle. Avec application, M. Bouldy propose depuis 40 ans un vrai Pomerol artisan, frais, aux tanins veloutés et énergiques, avec une excellente capacité de garde.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 91/100 « Bellegrave 2020 est bien défini et équilibré au nez, avec des arômes de mûre et de brioche, et des notes de truffe qui se développent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière marquée par le graphite. Très solide et structuré, presque comme un "mini-Lafleur", avec une finale bien définie et persistante qui présente une splendide minéralité. Très fin. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 94/100 Coupe de ♥ « Le superbe 2022 montre la voie contemporaine de Saint-Émilion, avec la recherche d'une expression très franche du duo merlot-cabernet franc. Un vin aromatique (réglisse, fruits noirs, fleurs...), plein de lumière, sincère, au corps plein, dessiné par une droiture fraîche en finale. »
En Magnum (Mai 2025) : « Millésime après millésime, la qualité du vin progresse, en conservant ses équilibres spécifiques, fondés sur la fraîcheur. Ce millésime solaire lui a donné un supplément de générosité et de gourmandise. Des notes de menthe sauvage et de fruits rouges très frais lui confèrent élégance et profondeur. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Fonroque 2022 est cossu, sensuel et assez profond. Les tannins soyeux enveloppent un noyau de cerise noire et de prune, de cuir neuf, d'épices, de menthol et d'espresso. Ce Saint-Émilion juteux et ouvert d'Alain Moueix est un gagnant. »
J.M Quarin (Février 2025) : 92/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, pur, subtil, au fruité frais. Délicat en entrée de bouche, délicat au milieu, avec du goût et un toucher raffiné, le vin se développe aromatique, en rebondissant, séveux, vers une longue finale à la tannicité noble. C'est très bon. Le meilleur jamais fait avec le 2020. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 91/100 « Un vin en demi-corps aux belles tonalités d'épices et de fruits rouges acidulés. On y sent une réelle sincérité d’expression, et on perçoit la maturité al dente des raisins dans cette finale ferme, encore serrée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 92/100 « Fonroque 2021 est un vin exotique et séduisant. Profond et intensément savoureux, le 2021 offre un mélange frappant de fruits de merlot et d'arômes de cabernet franc. Des fleurs écrasées, de la menthe, des épices, des pétales de rose et des fruits rouges brillants traversent ce Saint-Emilion soyeux et très expressif. »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Petit Gravet Aîné 2022 est un vin magnifique et exotique. Kirsh, fleurs séchées, moka et cuir neuf s'ouvrent. Mûr, charnu et étagé, le 2022 est définitivement du côté le plus mûr. De texture crémeuse et opulente, il a manifestement besoin de temps pour s'assagir après la mise en bouteille. Aujourd'hui, j'admire sa pureté. Il s'agit d'un vin sauvage qui ne manquera pas d'entraîner les lecteurs dans une véritable chevauchée au cours des deux prochaines décennies, voire plus. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et vive. Intensité normale. Nez très aromatique, fruité, frais et épicé. Délicat en entrée de bouche, bien fruité au milieu, avec un corps plus élancé que large, le vin évolue ascendant en finale. Il s'y montre légèrement ferme, mais sait rester parfumé. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 93/100
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 92/100 « Le Petit Gravet Ainé 2021 s'est bien présenté dès sa sortie de barrique. Dominé par 90 % de cabernet franc, il présente un bouquet frais et salin qui parvient à atteindre une maturité phénolique. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins croquants à l'attaque qui se transforment en un milieu de bouche à la texture crémeuse et une finale très cohérente, teintée de poivre blanc et de garrigue. Excellent ! »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Petit Gravet Aîné 2018 éblouit dès la sortie de la bouteille. La signature du cabernet franc est au premier plan dans ce saint-émilion qui affiche une magnifique présence aromatique ainsi que de la profondeur. Pétale de rose, moka, kirsh, menthol et sauge sont quelques-unes des nombreuses notes qui s'ouvrent avec un peu d'amabilité. Quelques années en bouteille feront des merveilles pour les tanins. Outre sa beauté saisissante, le Petit Gravet Aîné est l'un des vins les plus uniques et distinctifs de Bordeaux, le genre de vin qui reste gravé dans la mémoire. En un mot : magnifique ! »
À l'écart des modes et volontairement des classements, Coutet est une propriété unique en son genre : un vignoble de 13 ha (uniquement complanté en sélection massale autochtone, vieilles vignes jusqu'à 100 ans) qui n'a jamais connu de produits phytosanitaires, appartenant depuis le XVIIIème siècle à la même famille (David-Beaulieu, 14ème génération). Entouré de voisins prestigieux (entre Angélus, Grand-Mayne et les deux Beauséjour), Coutet produit sans artifice des vins fins, charnus et profonds sans être massifs, finement extraits sans sécheresse ni dureté tannique. Un cru authentique et particulièrement attachant dans sa démarche familiale et écocitoyenne.
Promu deux étoiles dans le Guide 2026 de la Revue du Vin de France.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 94/100 « Sa carrure tannique révèle une matière d'une magnifique concentration, avec un effet calcaire très fort qui singe la finale et prolonge les saveurs. Grande émotion à la dégustation de ce 2022 (60% merlot, 30% bouchet, 7% prayssac, 3% cabernet-sauvignon). Et la promesse d'une évolution gracieuse. »
À l'écart des modes et volontairement des classements, Coutet est une propriété unique en son genre : un vignoble de 13 ha (uniquement complanté en sélection massale autochtone, vieilles vignes jusqu'à 100 ans) qui n'a jamais connu de produits phytosanitaires, appartenant depuis le XVIIIème siècle à la même famille (David-Beaulieu, 14ème génération). Entouré de voisins prestigieux (entre Angélus, Grand-Mayne et les deux Beauséjour), Coutet produit sans artifice des vins fins, charnus et profonds sans être massifs, finement extraits sans sécheresse ni dureté tannique. Un cru authentique et particulièrement attachant dans sa démarche familiale et écocitoyenne.
Promu deux étoiles dans le Guide 2026 de la Revue du Vin de France.
À l'écart des modes et volontairement des classements, Coutet est une propriété unique en son genre : un vignoble de 13 ha (uniquement complanté en sélection massale autochtone, vieilles vignes jusqu'à 100 ans) qui n'a jamais connu de produits phytosanitaires, appartenant depuis le XVIIIème siècle à la même famille (David-Beaulieu, 14ème génération). Entouré de voisins prestigieux (entre Angélus, Grand-Mayne et les deux Beauséjour), Coutet produit sans artifice des vins fins, charnus et profonds sans être massifs, finement extraits sans sécheresse ni dureté tannique. Un cru authentique et particulièrement attachant dans sa démarche familiale et écocitoyenne.
Promu deux étoiles dans le Guide 2026 de la Revue du Vin de France.
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 90/100 « Ce 2022 annonce une maturité poussé qui souligne l'ampleur, le gras du cru, avec cette manière de policer les tanins. C'est un vin plein, un peu extravagant. Il séduira les palais en quête de douceur et de richesse. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Clos de l'Oratoire 2022 est un vin magnifique et sensuel. En même temps, c'est un véritable concentré de puissance. Le 2022 est un assemblage de 80% de merlot et de 20% de cabernet franc, donc un peu plus de franc que ce qui était autrefois la norme. Cette caractéristique, associée à des vendanges plus précoces, a permis d'accroître l'intensité aromatique et la structure du vin. Des notes de pétale de rose, d'herbes séchées, d'écorce d'orange, de menthe et de sauge s'harmonisent avec un noyau de fruits rouges foncés. Donnez-lui du temps. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 93/100
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clos de l'Oratoire 2021 est un vin magnifique et dynamique. Énergique et brillant, le 2021 grésille de tension. Des acides vifs et des veines de tannins donnent au vin sa personnalité vibrante. Les arômes de fruits rouges et violacés, de lavande, de pétale de rose, de menthe et de moka abondent. C'est un très, très beau Clos de l'Oratoire. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
La millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 92/100 « Clos de l'Oratoire 2020 présente un bouquet vif et pur de mûres et de framboises mêlées à des notes de cèdre et de pot-pourri. Une dose judicieuse de chêne neuf ajoute à la complexité. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et des fruits rouges infusés de graphite, avec une finale linéaire, fraîche et presque rive gauche. Excellent. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 90/100 « Doté d'une générosité naturelle, le vin est construit sur une matière enrobée charmeuse. C'est un vin bien calibré, mené avec une certaine précision, à l'enveloppe séduisante, jusqu'à une allonge qui assume la richesse de ce millésime 2020. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Clos Saint-Julien 2022 est un coup d'éclat de la propriétaire Catherine Papon Nouvel. Paradoxalement, il semble avoir mieux supporté les fortes chaleurs et la sécheresse que le Petit Gravet Aîné, même s'il y a plus de merlot ici. Il faut dire que cette minuscule parcelle est perchée sur le célèbre plateau calcaire de Saint-Émilion. Des arômes de fruits noirs d'encre, de chocolat, de réglisse, de lavande et de menthol tapissent le palais. La finale longue et soutenue est de toute beauté. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, fruité, subtil, profond et particulièrement frais, tout en étant bien mûr. Minutieux en entrée de bouche, très, très savoureux au milieu, avec de la classe dans le toucher et un déroulé ascendant, le vin monte, monte, long, ample, parfumé et même complexe. Grande persistance séveuse. C'est délicieux et d'une grande précision. Une qualité d'expression qui laisse penser qu'une marche supérieure est accessible. Bravo et à suivre ! »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 95/100
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2024) : 94/100 « Clos Saint-Julien 2021 est sublime. Délicat, soyeux et merveilleusement nuancé, le Clos Saint-Julien est exquis dans ce millésime. avande, prune, épices, menthol, réglisse et moka ne sont que quelques-unes des nombreuses nuances qui traversent ce Saint-Émilion exceptionnellement raffiné et subtil. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 91/100
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 96/100 « Le Clos Saint-Julien 2020 est une beauté magnifique et somptueuse. Crème de cassis, myrtille, lavande, réglisse et épices infusent le 2020 avec des tonnes de nuances à la hauteur de sa personnalité flamboyante. Le Clis Saint-Julien est un Saint-Émilion capiteux et voluptueux qui livre vraiment la marchandise. Superbe. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 94/100 « Le Clos Saint-Julien 2019 est tout aussi fabuleux en bouteille qu'il l'était en barrique. Dense et explosif au toucher, le 2019 capture le côté le plus opulent de l'année dans un style grandiose. Des arômes de fruits bleus foncés et violacés, de lavande, de clou de girofle, de menthol et de réglisse enveloppent le palais, magnifiquement encadré par des contours doux et somptueux. La propriétaire Catherine Papon-Nouvel a une fois de plus produit un vin captivant à partir de son petit vignoble de 1,2 hectare situé sur le plateau calcaire de Saint-Émilion. »
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Entré dans le guide de la Revue du Vin de France en 2026.
Le millésime 2023 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Décembre 2025) : 95/100 « La dimension calcaire jaillit du nez, puis viennent les nuances florales. Les tanins parfaitement stylisés dessinent ce 2023 d'une magnifique étoffe. Une grande profondeur pour évoluer sereinement. Une propriété reprise en 2021 par l'œnologue de Pingus (Ribera del Duero, Espagne), Peter Sisseck, et l'homme d'affaire suisse Silvio Denz en 2010, se hisse vers le haut de la hiérarchie saint-émilionnaise. »
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Entré dans le guide de la Revue du Vin de France en 2026.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 94/100 Coup de ♥ « Encore renfrogné, ce 2022 affirme sa densité saillante. Les tanins encore batailleurs méritent trois à quatre ans de cave pour libérer une matière mûre et solide. La dimension calcaire insiste fortement en finale. »
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Entré dans le guide de la Revue du Vin de France en 2026.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 92/100 « Dans ce millésime assez tardif, Rocheyron s'élance avec une droiture extrêmement salivante. »
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2026) : 95/100 Coup de ♥ « La part des cabernets franc (35%) et sauvignon (15%) apporte une fraîcheur particulière à ce 2022 haut en couleur et en concentration. Il parvient à conserver de l'éclat, une élégance dans son grain de texture et une allonge pleine extrêmement savoureuse. Il évoluera avec panache et sérénité. »
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre, intense et pourpre. Nez moyennement aromatique, fruité et truffé. Charnu à l'attaque, charnu en milieu de bouche, le vin fond sur le palais, juteux et plus uni que jamais dans son déroulé. Voilà qui lui donne une belle allure. Bonne longueur sans angle tannique. »
Vinous (N. Martin - février 2025 ) : 94/100 « Le Canon La Gaffelière 2022, de l'écurie Von Neipperg, a eu besoin de temps pour s'ouvrir dans le verre. D'abord discret, il offre des arômes de fruits rouges, de sous-bois et de calcaire qui gagnent en cohésion à l'aération. La bouche est fraîche et vibrante, avec des tanins crayeux et une acidité argentée. Il est tendu et linéaire, mais avec une grande quantité de fruits rouges acidulés qui animent la finale. Ce Canon La Gaffelière de style classique et légèrement poivré devrait vieillir en bouteille. Il est excellent. »
Bettane + Desseauve (Guide 2026) : 97/100
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Le charme discret de ce vin aux tanins crémeux est enthousiasmant. Le cru se révèle au mieux de sa forme dans les années sèches et chaudes grâce à la composition de ses argiles. L'exposition sud se ressent dans la profondeur du vin. Son fruit noir très prononcé présente une chair densifiée par un tanin qui reste frais grâce aux massales de cabernet franc. Encore sous l'emprise du bois, sa matière, riche et enrobée à la trame élégante, est parfumée d'une pointe fumée. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93/100 « Canon-La-Gaffelière 2019 est assez percutant et gras au nez. La mûre et la framboise, le cèdre et la menthe émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins arrondis, assez pelucheux mais cohérents, se déployant vers la finale veloutée avec un pinceau de poivre blanc en fin de bouche. L'un des vins de Saint-Emilion les plus accessibles de ce millésime ».